AIF - 18/07/2013
Naufrage du « Rainbow » - La pollution stagne mais la grogne monte
Il y a deux jours, le Rainbow sombrait. Après avoir pollué l’ensemble des plages de Septimanie. Aujourd’hui, après quarante-huit heures, le pétrole n’a pas polluée de nouvelles plages frôceuses. La pollution semble donc stagner. Toutefois, la situation méditerranéenne semble se noircir. Un nouveau pays est aujourd’hui touché par la pollution littorale, la Tunisie. De même, au vue de l’ampleur de la situation, l’Espagne et le Maroc ont aujourd’hui pris la décision d’appeler à l’aide la communauté internationale et méditerranéenne afin de les aider à nettoyer leur plage. Les deux pays demandent à leurs voisins du bassin méditerranéen de leur venir en aide pour colmater la brêche, toujours présente sur le navire.
Les premiers mécontentements voient également le jour en Frôce. Ainsi, les mouvements écologistes, réunies aujourd’hui à Aspen afin d’évoquer les premières décisions gouvernementales, ont affirmé dans un communiqué rejeter les première décisions du gouvernement. Selon, Loïc Dubois, représentant de Greenpeace en Frôce, « ce ne sont pas quelques hommes qui vont réussir à nettoyer seuls l’ensemble des plages polluées et mettre un terme à la pollution. Nous demandons l'envoie de l'armée dans les zones sinistrées, et davantage de moyens humains et financiers. » Les mouvements écologistes réclament également un débat méditerranéen sur la circulation des navires polluants en Méditerranée.