AIF 02/07 - Statistiques honorables pour l'économie frôceuse

[Ilan Luvuhu]

AIF - 02/07/2013
Economie : Statistiques positives pour la Frôce

L'économie frôceuse n'en finit plus de s'améliorer depuis le début de l'année 2013, après un premier trimestre euphorique, le deuxième a été un peu plus calme mais reste un bon cru comparativement à la situation européenne et mondiale.

Alors que nombre de nos voisins s'enfoncent dans la stagnation ou la récession, la croissance trimestrielle est de 1 % et le chômage chute d'un point pour atteindre 6,9 % de la population active, un plus bas depuis le 1er trimestre 2012.

Le seul petit point noir est l'inflation annuelle qui reste haute (4,5 %) bien qu'en légère baisse par rapport au 1er trimestre.

Croissance : 1 % (T1 : 2,8 %)
Chômage : 6,9 % (T1 : 7,9 %)
Inflation : 4,5 % (T1 : 5,3 %)

PIB : 1 036,2 Md Plz (T1 : 1 025,9 Md Plz)
PIB / habitant : 33 318,33 plz / hab. (T1 : 32 988,50 plz / hab.)

[Valentino Borgia]

Appelé par une émission de télévision politique de fin de journée, Valentino Borgia a répondu :

- Ces chiffres sont l'ultime avertissement adressé par l'économie nationale au gouvernement centriste. Toucher, négativement parlant, aux réformes engagées par les gouvernements Borgia et Tomas, et vous ne verrez plus ces chiffres de si tôt. Comprenez bien que les chiffres sont positifs certes mais fragiles. Il s'agit d'un équilibre précaire qu'une série de décisions malheureuses pourrait totalement renverser.
Il est temps que ceux qui nous gouvernent aujourd'hui admettent une bonne fois pour tout que la seule alternative qui vaille, c'est l'alternative libertarienne et le projet de société que nous avons défendu ces 5 dernières années Mesdames Tomas, de Cassagne, Monsieur Rogin, et moi même, entre autres.

[Marc de St Imberb]

Marc de St Imberb s'exprima en sortant de sa voiture, avant un Conseil des Ministres Exceptionnel.

En agissant avec intelligence lors de mon passage au Ministère de l'Economie, j'ai eu à coeur de poursuivre l'élan qui avait été précédemment donné et de permettre un grand élan économique en Frôce. Le PIB par habitant a fortement augmenté, et le chômage a diminué de 1%. Ces chiffres sont très bons, mais il y a encore du pain sur la planche; la croissance a baissé, et j'aurais à coeur dans les prochains mois de la faire augmenter durablement. Pour ce faire, le gouvernement présentera très bientôt de nouveaux projets. Je vous remercie.

[Thomas François]

Appelé à Réagir, le Premier Ministre Thomas François s'est confié à la presse :

Si la croissance est positive, nous ne pouvons que nous en réjouir ! Nous allons faire tout ce qui en notre pouvoir pour maintenir cette croissance. En ce qui concerne l'avertissement qui nous a été lancé par Monsieur Borgia, les premières mesures du gouvernement François I passent seulement l'assemblée nationale. Cette petite baisse n'est donc due uniquement par ceux qui ont provoqué la hausse. Surement les premiers effets néfastes de la politique libertarienne ?

[Fabio Martini]

Au cours d'une visite, un journaliste interrogea Fabio sur ces statistiques.

Je laisse les avis sur la croissance aux autres politiques, chacun apporte sa propre touche, mais je trouve stupéfiant que personne ne parle de l'inflation. Cette augmentation réduit le pouvoir d'achat de nos concitoyens, c'est une problématique que le nouveau gouvernement doit étudier et résoudre dans les plus brefs délais.

[Debora Da Silva]

Intervention de la ministre de l'Economie, des Finances et du Travail:

Certains de mes prédécesseurs méditeront encore pendant longtemps sur ces chiffres en fonction de leur bilan et de leur conviction personnelle.

Ce que je peux vous dire pour l'heure et grâce au travail de mon prédécesseur direct, c'est que je continuerai à stabiliser ce taux de chômage au tour des 6.9%, voir même de le baisser. La croissance doit être maintenue à un taux variant entre 1 et 1.5%.

L'inflation qui reste importante ne doit pas se répercuter sur le travail et sur la population la moins aisée.

Je développerais plus tard et en détail mes intentions au regard de ces chiffres.