International : Vague de critiques contre le discours de M. de la Tour
Effectivement, le départ d’une délégation était un évènement suffisamment rare pour être signalé. D’après des sources proches du ministère des affaires étrangères, les accusations portées par le ministre de la Tour à l’encontre de la Russie et de la Chine et de leur éventuelle responsabilité dans les 90 000 victimes civiles syriennes ont été perçues comme « infamantes et irresponsables ». L’effet a été tel qu’une très large partie des représentants des nations européennes ont saluées le fond du discours mais ont dénoncé la forme de celui-ci. « L’art de la diplomatie ne se résume pas dans un discours frontal qui n’a ni tact ni finesse » nous a déclaré un proche conseiller de M. Laurent Fabius, le ministre des affaires étrangères français, lui aussi surpris par l’attitude de son homologue frôceux. Les plus critiques sur le fond comme sur la forme du discours sont les alliés de la Chine et de la Russie, à savoir l’Iran et la Syrie.
Certaines nations et particulièrement les représentants russe et syrien, ont annoncé la possibilité de répondre par des décisions économiques ou diplomatiques nuisibles aux intérêts de la Frôce suite aux provocations du ministre frôceux. Il se murmure que le ministre de l’énergie russe souhaiterait annuler l’accord conclu entre l’Etat Frôceux et l’Etat Russe concernant une réduction du prix du gaz, négocié il y a plusieurs années par l’ancien ministre des affaires étrangères, M. Arthur Carapin, aujourd’hui décédé. Seul soutien du ministre de la Tour : les Etats-Unis qui ont été les seuls à saluer à la fois le fond et la forme du discours. Cette réaction s’explique notamment par les positions très libérales de M. Charles de la Tour, dont son soutien à l’OTAN, lorsqu’il appartenait encore au Mouvement Libéral et Démocrate de l’ancien Président de la République, Louis-Damien Lacroix de Beaufoy. Le plus décevant restera sans doute l’action de réaction de la Corée du Sud et du Japon suite au discours du ministre frôceux et de son intérêt prioritaire d’une solution pacifique pour le conflit entre les deux Corées.