[ADL] Meeting Salusa - novembre 2012

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Valentino Borgia
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[ADL] Meeting Salusa - novembre 2012

Message par Valentino Borgia »

Le second meeting de l'ADL est sur le point de commencer. Les moyens déployés sont légèrement moindres. L'ADL n'a pas encore les capacités d'un grand parti et la logistique est limitée.
Cependant, les militants, convaincus ou curieux, sont bien là. Dans la foule qui s'est rassemblée à l'entrée du lieu du meeting, on peut apercevoir des couples d'âge mûrs qui apportent un soutien au nouvel homme fort libertarien. Au micro des journalistes libertariens qui couvrent l’événement, ils déclarent généralement « être présents pour soutenir l'unique initiative crédible pour l'avenir du pays ». Les jeunes sont plus exaltés et déclarent soutenir « pleinement le Ron Paul frôceux » ou encore s'être « engagés dans un combat noble et porteur contre les Etatistes engrossis ».
En général, le discours est primaire et se résume à des lâchés de slogans ou d'invectives. Mais parfois quelques pépites émergent.
C'est notamment le cas du jeune Cyril, 27 ans, informaticien qui déclare être là « pour défendre ses libertés de citoyen et d'homme », et clairement dénoncer les dérives « d'un Etat glouton ».

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Géraldine, 38 ans, jeune maman, apparaît très détendue et nous raconte ses déconvenues avec l'Education frôceuse avec laquelle elle a eu à faire pour ses deux enfants, âgés de 12 et 8 ans.
Enfin, Firmin, retraité des transports routiers, dénonce les impôts obligatoires qu'ils soient directs ou indirects. Le badge qu'il porte à la poitrine affiche clairement ses convictions libertariennes. « Les impôts tuent notre libido » lâche-t-il alors que les journalistes internes au parti s'éloignent.


30 minutes plus tard, le lieu est quasi plein. En fond, on peut entendre « Don't stop believing » du groupe Journey. (http://youtu.be/B6EeVzcIQs8) Quelques quinquagénaires font pour l'occasion un peu d'Air Guitar dans une bonne humeur quasi générale. L'espoir est là. Le retrait du PPL leur semble être finalement une bonne nouvelle et la discrétion de l'UPF en a rassuré certains qui craignaient d'avoir à composer avec les nationalistes durant la campagne.
Enfin, le lieu est plein. Les lumières s'éteignent. Sur l'écran géant qui s'allume apparaissent quelques mots « Des questions d'organisation et de sécurité du territoire ».
Un léger bouhaha reste présent.
Il ne fait pas chaud aujourd'hui à Salusa, mais le soleil, bien que peu présent, suffit à réchauffer les corps.


La musique de Journey s'arrête enfin. Une voix, au micro, annonce le thème de la soirée et lance un « êtes-vous prêt ? » plus proche d'un concert que d'un meeting politique.
L'assemblée, en liesse, éructe un « oui » aigu et strident.

Aussitôt, Dies Irae de Verdi résonne.


http://youtu.be/DdT1Mw4QJT8

Des figurants, en costume, entrent sur la scène, brandissant des drapeaux de toutes les nationalités, les agitant fermement dans une frénésie de masse hypnotisante. Le défilé semble désordonné et fait penser à une bataille épique se déroulant sous les yeux même des militants.

On peut reconnaître le drapeau frôceux, bien sûr, mais aussi les drapeaux des régions de Frôce, quelques étendards de grandes villes telles qu'Anglès, Salusa et Orgues les Bains.
L'Italie, l'Espagne et la France figurent en bonnes places. A noter également que fidèle à son parcours, est présent le drapeau costaricain. Cependant, tous les observateurs ont noté l'absence étonnante de la bannière étoilée.

Le requiem de Verdi arrive bientôt à sa fin lorsque des feux d'artifice illuminent le ciel aux couleurs de la citoyenneté mondiale, le vert et le jaune, cette dernière couleur étant également celle des libertariens.

S'en suit donc un petit feu d'artifice aux couleurs frôceuses. Lorsqu'à la toute fin de la musique, les trompettes sonnent, les lumières s'éteignent pour ne garder qu'un faisceau blanc qui éclaire le pupitre.

Un homme apparaît, c'est Valentino Borgia. Des applaudissements envahissent l'atmosphère pendant de longues secondes, sans musique, uniquement une ovation à laquelle le Président de l'ADL n'est pas encore habituée.


- Mesdames et Messieurs, citoyens de Salusa, citoyens du monde, merci de m'accueillir chez vous, dans la ville la plus à l'ouest et la plus au sud du pays !

Applaudissements à tout rompre.

- Merci, merci. Avant que nous n'entrions dans le vif du sujet, j'aimerais vous offrir une petite séquence plutôt amusante et assez révélatrice de ce que je pense au plus profond de moi-même : nous sommes tous libertariens mais certains d'entre nous ne le savent pas.

Une voix off prend alors le relais, sur le ton des informations d'après guerre, la voix grinçante et envolée :

« Nous sommes tous des libertariens. Nous sommes entourés de libertariens. Saviez-vous par exemple que le célèbre héros Robin des Bois a été, et est toujours, l'un de nos plus célèbres représentants.

Un figurant habillé en robin des bois apparaît sur scène, mimant des gestes d'archer.
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S'il est perçu aujourd'hui comme le héros du partage et de la solidarité, aux limites des valeurs socialistes, Robin des Bois ne faisait rien d'autre que de reprendre les impôts injustes perçus par le pouvoir royaliste pour les restituer aux particuliers.

Mais notre cher archer des bois anglais n'était pas le seul à manier les flèches et les valeurs libertariennes. Guillaume Tell, libérateur de la Suisse, récupéré par les confédérationnistes, a su rassembler son peuple autour de lui pour sauvegarder des libertés individuelles qu'il estimait bafouées.


Une figurant mimant Guillaume Tell fait son apparition. Il se rapproche de Robin des Bois à qui il sert la main.

Après un anglais, un suisse, voilà un Français, briseur des chaînes de l'Etat, injuste et cruel, qui a su démontrer que prendre ses responsabilités et agir était la meilleure des solutions : Edmond Dantès, le Comte de Monte Cristo, qui prit ce titre pour intégrer le système afin de mieux le confondre, à la manière des libertariens frôceux d'aujourd'hui.
Victime de la justice étatiste, Edmond Dantès revient pour faire reconnaître son innocence et laver son honneur. Au delà de l'esprit vengeur, il ne souhaite qu'une chose : la liberté et la paix,


Alors qu'un figurant vient rejoindre les autres militants déguisés, quelqu'un arrive d'une tyrolienne survolant les militants, médusés. L'homme porte de grosses lunettes, un blaser noir et une … baguette magique.


La voix off poursuit :

Harry Potter, héros de la jeunesse d'aujourd'hui, combat le racisme et les différences entre les Sangs de Bourbe et les Sangs Purs, luttant sans cesse pour mettre fin à la dictature de ceux qui prétendent détenir la vérité et le pouvoir, soutenu par le Ministère, l'institution par excellence. »

Valentino Borgia reprend la parole :

- On les applaudit bien fort. Je vous remercie. Comme vous le voyez, ces personnages de fiction, sont internationaux, anglais, français, suisse et tous sont libertariens, car nous sommes internationaux. Nous ne sommes pas les enfants de frontières, nous sommes les créatures de territoires, de paysages, d'étendues sauvages. Nous ne sommes pas fait pour rester cloisonnés et enfermés.
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Mesdames et Messieurs, passons au cœur de notre réunion d'aujourd'hui : les affaires intérieures du pays et la sécurité du territoire.
Aujourd'hui, je vous l'annonce, vous allez apprendre des choses concernant les projets de l'ADL car nous avons décidé de répondre à nos adversaires politiques qui, bien malencontreusement, se sont fait dérober des morceaux de leur projet concernant la décentralisation qu'ils préparent pour notre pays. Vu que nos chers amis du Parti Social-Démocrate ont trouvé le moyen, bien involontairement, de diffuser en masse, lors de la campagne, des informations propagandistes, je me sens dans l'obligation de leur répondre en montrant que moi aussi, j'ai travaillé.

Ce sont alors des hués qui envahissent la foule en désapprobation de l'accusation en substance contre le PSD.

Bien. Mesdames et Messieurs, l'ADL a évoqué depuis le début de cette campagne la mise en place prochaine d'une décentralisation totale sur le territoire. Nous avons travaillé et nous avons des éléments concrets à vous dévoiler.
Pour autant, il me semble important de nous arrêter sur un autre aspect, celui de la sécurité de notre territoire et cela afin de rappeler aussi que le libertarianisme ce n'est pas Zéro Etat, c'est un Minimum d'Etat.

Si l'Alternative Démocrate Libertarienne accède aux responsabilités, nous ne conserverons que 3 ministères régaliens, plus un ministère des affaires sociales, et parmi ces ministères il y aura celui de l'Intérieur, supposé gérer nos forces de police. Disons le tout net : la sécurité est une priorité de notre programme politique. Sans police, pas de libertés individuelles garanties. Sans police, pas de propriétés privées sécurisées. C'est d'une logique implacable.
Pour rester en adéquation avec nos valeurs, nous appliquerons simplement une règle de gestion : la restructuration de la police avec la diminution des effectifs, non pas par la suppression de policiers dans les services territoriaux et urbains mais dans la suppression de la police de proximité, réformée il y a presque un an par le gouvernement McGregor et qui me semble être un gouffre financier et d'une utilité tout à fait incertaine.
Cela ira dans le bon sens concernant notre volonté d'abaisser le pouvoir des maires. Dites vous bien que ces derniers exerçaient un certain pouvoir sur la police de proximité, ce qui me semble être une aberration totale, vu l'extraordinaire influence que ce type de prérogatives implique.
L'ADL réaffectera une partie des effectifs dans les polices territoriales et urbaines et mettra en place une prime au départ volontaire pour 60 % des effectifs de l'ancienne police de proximité.
Cependant, cependant, Mesdames et Messieurs, tout doit être clair. Les effectifs qui auront été réaffectés seront sur la durée supprimés, par le biais des départs à la retraite et le non remplacement d'un nombre équivalent des réaffectés et des départs.

Oui la police a son importance sur notre territoire. Il est hors de question de négliger cette institution de la République, garante de nos valeurs et libertés. L'ADL se fera un devoir de veiller à la bonne évolution de notre force de sécurité.

Les applaudissements répondent à la promesse du Président. Les plus âgés sont les plus satisfaits. Ils ont la conception la plus proche des libertariens « de base » alors que les jeunesses penchent souvent vers un libertarianisme anarchiste, supposant moins de police, moins de justice et moins de défense.
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La suppression de la police de proximité va de pair avec notre volonté de décentralisation car si forces de sécurité il y a, elles pourront tout à fait être l'oeuvre des Assemblées de Quartier que nous comptons mettre en place dans les premières semaines suivant notre élection.

Comme je le disais, nos adversaires électoraux ont maladroitement égaré des parties de leur projet concernant la décentralisation qu'ils appellent de leurs vœux. Afin d'assurer une certaine égalité entre les camps, il me semble indispensable de vous dévoiler le projet de l'ADL dans ce même domaine. Je serai le plus clair possible.

Les lumières jouent un jeu qui permet alors aux spectateurs de découvrir un plan synthétisant ce que le Président va leur annoncer.

Tous les pouvoirs régaliens, police, justice, défense sont conservés par l'Etat. L'Etat est représenté par son Premier Ministre, toujours selon les institutions de notre République, et par le gouvernement, désormais formé de trois ministres : Ministre de l'Intérieur et des Libertés, Ministre de la Justice et des Institutions, Ministre de la Défense du Territoire.
A cela, l'ADL souhaite ajouter un autre ministère avec, pour prérogatives, la gestion coordonnées de tout ce qui touche aux affaire sociales : emploi, égalité salariale et sociale, santé, éducation …

Quelques hués, principalement provenance des rangs des étudiants s'élèvent mais pas suffisamment pour entraîner une réaction en chaîne ou pour perturber le meeting.

Pour des domaines tels que la santé et l'éducation, le ministère n'aura à sa charge que le contrôle passif, autrement dit le maintien des fonctions liées aux inspections, soit d'hygiène, pour les hôpitaux, soit d'enseignement pour les enseignants, soit du travail pour les entreprises.
Toutefois, soyons clairs : j'insiste sur le contrôle passif qui n'aura aucunement pour but de s'ingérer dans la gestion des hôpitaux, écoles et entreprises, désormais privés. Seuls des avis et des rapports seront rendus publiques dans un devoir d'information de la population qui aura alors en toute connaissance de cause le choix.

Une fois cette réorganisation opérée au sommet de l'Etat, le maillage de l'administration sera revu et ira de pair avec la diminution du nombre de fonctionnaires sur tout le territoire.

Les militants, adhérant pleinement à cette mesure, entonnent des « Tino, Tino » en signe de soutien.


Nous ne mettrons certainement pas en place d'entités régionales, car nous souhaitons aller au cœur des choses pour donner le pouvoir décisionnel à des Assemblées de Quartier qui agiront comme des mairies annexes, avec des pouvoirs, bien entendu, plus étendus.

Les Assemblées de Quartier, Mesdames, Messieurs, seront chargées de :
- élire un président, pour une année.
- recenser tous les deux ans le nombre d'habitants dans le quartier géré
- décider du plan d'occupation des sols
- de l'organisation de manifestations culturelles dans les bâtiments ou les lieux susceptibles d'accueillir ce genre d'évènements.
- statuer sur les questions d'éducation
- statuer sur les questions de garde d'enfants
- statuer sur les questions de santé
- statuer sur les questions d'aménagement du territoire
- statuer sur les questions de transport en concertation avec les autres Assemblées de la ville et du territoire qui en dépend.
- statuer sur les questions de logement, aussi bien en terme de construction que de rénovation.
- statuer sur les questions de sécurité civile, notamment par l'organisation de « groupes citoyens » chargé d'assurer la sécurité du quartier. Ces groupes citoyens seront soumis au même code déontologique et aux mêmes règles que la police frôceuse.
- statuer sur les questions économiques, en terme d'installation de nouvelles entreprises et de mesures susceptibles d'attirer les investisseurs.
- statuer sur les questions sportives et culturelles

Les Assemblées de Quartier seront automatiquement formées de tous les citoyens habitant lesdits quartiers, suivant le dernier recensement national. Une actualisation suivra au fur et à mesure.
Le Président de l'Assemblée n'aura qu'un rôle de gestionnaire, chargé notamment de l'organisation des réunions mensuelles et des votes.

Cette volonté de décision collective émane d'un constat : l'individu ne peut rien à lui seul dans le monde actuel mais peut tellement une fois associé par petits groupes. L'entité des Assemblées nous semble le meilleur compromis entre la volonté de l'Etat d'un peuple sans cohérence et aveugle et l'individu souvent démuni.

Pour autant, ces Assemblées de Quartier ne pourront pas s'opposer à la volonté d'une entreprise, d'une école, d'un hôpital de s'installer sur leur territoire. Les décisions et votes des Assemblées a uniquement une valeur consultative, car il n'est pas possible de recréer une attitude étatiste à plus petite échelle selon ma conception du monde.

Applaudissements nourris
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Bien évidemment, les entrepreneurs qui se retrouveront face à une Assemblée « hostile » n'auront aucun intérêt à forcer la décision négative du quartier. Mais l'Assemblée de Quartier ne pourra jamais interdire formellement et définitivement.

« Liberté, liberté ! » chantent des militants enthousiastes habillés de costumes impeccables.


De plus ces Assemblées ne pourront pas s'ingérer dans les affaires privées des structures sanitaires, sociales, économiques ou culturelles installées sur leur territoire.
Elles n'auront pas non plus la capacité d'être reconnues comme une personne morale devant la justice dans le but de porter plainte pour diverses raisons sauf en cas de transgression de la loi avérée mais uniquement concernant d'autres personnes morales.

Ces Assemblées de Quartier ne seront soumises à aucun impôt et ne seront pas hiérarchiquement parlant placées sous l'autorité du maire.
Ce dernier, dans notre projet, ne conserve qu'un rôle symbolique, à l'image de notre Président de la République. Il sera là pour centraliser, Dieu que je n'aime pas ce terme, - rires partagés - les actions et décisions des Assemblées afin d'en dresser des rapports conservés dans les mairies. Cette cohérence du territoire maintenue, les Assemblées seront parfaitement en mesure d'exercer leurs prérogatives.

Les maires ne seront plus nommés par l'Etat, chose totalement impensable me semble-t-il au XXIème siècle. Leur mode d'élection n'a pas encore été tranché. Nous réfléchissons soit à la faire élire par les habitants de la ville et du territoire qui en dépend, soit par l'Assemblée Nationale.
Le maire conservera, cependant, la possibilité de coordonner la mise en place des décisions des Assemblées, notamment par l'organisation de travaux suite à l'agrandissement du réseau de transport ou à la rénovation de la voirie.

Vous l'avez compris mes chers amis. Le projet est vaste et prendra du temps mais il sera accompli.
Hors de question de refaire le coup aux Frôceuses et aux Frôceux en promettant puis en abandonnant. Alors je sais bien qu'aujourd'hui, on vient nous dire que le projet est dans les cartons et que, comme par hasard, il s'est fallu d'un cheveu pour qu'il se concrétise lors de la mandature sortante. A d'autres, suis-je tenté de dire.

Les hués envahissent le lieu. Valentino Borgia doit s'interrompre et peine à reprendre le dessus.

Le débat sur la Décentralisation a été lancé il y a de cela de nombreuses semaines et nos ministres n'y ont que peu participé. Ils avaient sans doute d'autres occupations : combattre les terroristes, ce que je salue, ou se taper dessus les uns les autres, ce qui m'effare encore aujourd'hui.

Des sifflets partent de partout en guise de désapprobation de l'attitude du gouvernement sortant.

Notre projet est le bon, j'y crois plus que tout et vous pouvez me faire confiance pour le mener à bien. Mais il nous faudra être unis, fidèles et convaincants. Ceux d'en face nous caricaturent. Ils nous singent, nous font passer pour des naïfs voire des extrémistes.

L'assemblée se mue en cris de désapprobation. On peut entendre des slogans simplistes contre Marc de Saint Imberb qui a tenu tête à Valentino Borgia lors du dernier débat, notamment.

Comptez sur moi pour leur rappeler notre vraie nature : être libertarien c'est croire dans les capacités de chacun !

Les applaudissements reprennent leur droit. Au final, les militants présents semblent rassurés. Ils en savent plus sur les projets de leur parti.


La seule question qui demeure, Messieurs Dames, c'est : supporterez-vous autant de liberté ?

A ces derniers mots, quelques notes de piano accompagnent le président. Au mot « liberté », il lève les bras au ciel pour montrer les étoiles. Aussitôt le premier refrain de la chanson Line up the stars du groupe Ivyrise commence et emballe une assemblée enthousiaste et totalement acquise.

http://youtu.be/jILRI0KRUok

Alors que la musique se poursuit, Valentino Borgia se rapproche des militants, échangeant sourires et poignées de main. Valentino est plus à l'aise. Certains le félicitent pour ses débats, d'autres semblent le conseiller pour l'avenir. Valentino prend peu à peu conscience que, quelque soit le résultat, une aventure a véritablement commencé avec cette campagne.
Vers la fin de la chanson, il remonte sur l'estrade, accompagné de Clotaire Lemaunier, et d'autres membres de son équipe de campagne. Ils saluent tous une dernière fois les militants
.
Président de l'Alternative Démocrate Libertarienne
Maire A.D.L. d'Anglès
Prof/Cherch. à l'université d'Anglès
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David Caldo
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Re: [ADL] Meeting Salusa - novembre 2012

Message par David Caldo »

Bonjour,
je n'ai pas été mis au courant de votre venue dans ma localité,
à aucun moment je n'ai pu vous donner mon aval,
vous ne m'avez pas demandé l'autorisation de vous présenter en meeting chez moi.

je ne demanderai pas de dommage par rapport à ce problème, mais la prochaine fois merci de m'en faire appel
et vous aurez mon aval.
toutes interventions de personnalités externe se verra demander une indemnité de 10 000Plz
un arrêté de notre municipalité sera saisie pour en débattre
cordialement
Verrouillé

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