[PPL] Réunion publique de Casarastra (Archipel Cofonoria)

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Jean-Baptiste Marshall
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[PPL] Réunion publique de Casarastra (Archipel Cofonoria)

Message par Jean-Baptiste Marshall »

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Parti Pour la Liberté
Meeting d'ouverture du Parti Pour la Liberté (PPL)
- Casarastra (Archipel Cofonoria) -


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Il est 18 heures, les premiers militants font leurs rentrées dans la salle, capable d'accueillir un peu plus de 45 000 personnes. L'immense salle avait été décoré aux couleurs du parti (bleu et rouge). Au niveau de la scénographie, tout avait été prévu pour s'inspirer des conventions républicaines et démocrates d'outre-Atlantique. Jean-Baptiste aimait ce genre de démonstration de force. La politique, lors de tels évènements, reste du spectacle. De la musique, des énormes écrans vidéos et bien entendu un discours inspiré et simple qui frappe là où cela fait mal, surtout pour les adversaires.
Des drapeaux frôceux sont distribués à l'entrée, ainsi que des t-shirts, des casquettes et des pancartes électorales.

19 heures, la salle est presque pleine. L'ambiance y est déjà au rendez-vous.
Des clips de campagne et des témoignages défile sur l'écran principal, derrière le pupitre où Jean-Baptiste tiendra son discours.

19 heures 30. Les lumières baissent tout à coup d'intensité. Sur l'écran prinicpal toujours, est projeté un clip musical. La chanson 'Born Free' du chanteur américain Robert Ritchie alias 'Kid Rock' résonna dans toute la salle, faisant ainsi monter l'ambiance d'un cran supplémentaire.

La chanson était sur le point de se terminer quand Jean-Baptiste Marshall fit irruption dans la salle sous les acclamations plus que nourris de ses militants. Il fendit la foule pour rejoindre son pupitre.

Sous l'ovation que lui réserva ses fidèles supporters, Jean-Baptiste tenta de prononcer les premiers mots.

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Merci ! Merci ! Quelle ambiance. (rires)

Il laissa l'audience se calmer d'elle même tout en profitant de l'accueil qu'il lui était réservé.

Mes très chers amis,

Merci. Oui, je tiens à vous remercier sincèrement toutes et à tous de vous être déplacé si nombreux en ce lieu ainsi que pour votre accueil plus qu'enthousiaste, plus que chaleureux.


Une nouvelle campagne s'est ouverte. Une de plus. Un combat de plus à mener. Chaque jour, nos idées avances dans ce pays. Chaque jours, les frôceux prennent un peu plus conscience que le socialisme, ça ne marche pas, et que la Gauche n'apporte pas de solution à leur problème. Chaque jour, les gens s'exaspèrent devant le laxisme de la Gauche en matière de délinquance, de sécurité, d'immigration, etc. Chaque jour, les frôceuses et les frôceux qui travaillent en ont ras-le-bol de voir l'Etat sur leur dos, les mains dans leurs poches. Les frôceuses et les frôceux en ont ras-la-casquette d'être materné par l'Etat nounou. Chaque jour, les frôceux et les frôceuses ont soif de liberté. Chaque jour, de plus en plus de frôceux nous rejoignent.

Des applaudissements retentirent.

Si j'ai choisi de tenir cette première réunion publique ici, ce n'est pas un hasard. J'aime cette ville. Casarastra. J'aime cette région, l'Archipel Conoforia. Et plus que tout, j'aime la Frôce. Et je tiens à rappeler à certain que cette région fait partie de la République Frôceuse et qu'elle en fera toujours partie.

Ovation des militants.

Si je suis ici ce soir, c'est pour aborder les questions internationales mais je ne pouvais en ce lieu esquiver les récents évènements et la question de l'indépendance de Conoforia.

Comme je l'ai toujours dit : il n'y a pas de problème, il n'y a que des solutions. Ainsi, à mon sens, le problème cofonarien peut trouver une issue positive pour tous si l'Etat frôceux adopte la forme fédérale. En conséquence, l'Archipel Cofonoria, tout comme la Province des Prigors et l'Île de l'Agrume, disposeraient de leur propre gouvernement et de leur propre Constitution. Je l'ai toujours dit : il faut d'avantage de décentralisation et d'avantage d'autonomie pour les régions. Les récent évènements, bien qu'inacceptables sur la forme, soulignent sur le fond, une attente de plus en plus forte, peut-être légitime, d'une partie de la population cofonarienne.
La mise en place d'un Etat fédéral est une position que j'ai toujours défendue et qui s'avérerait - je pense - tout à fait efficace si elle était mise en place et ce, pour toutes les régions, y compris l'Archipel Cofonoria.
Ce que nous refusons, c'est l'indépendance de l'Archipel. Ce que nous prônons, c'est une Frôce fédérale, une Frôce Unie.


Les militants se levèrent tout en applaudissant pour approuver les propos de Jean-Baptiste.

Sur le plan international cette fois. En effet, la politique étrangère est un sujet à mon sens trop absent du débat politique. De plus, la Frôce a une place à tenir dans le monde. Mais elle ne le fait pas. Notre rôle n'est pas d'aller armer les islamistes en Syrie, il n'est pas non plus d'apporter un quelconque crédit à la création d'un nouvel Etat terroriste au Proche-Orient. Non, notre rôle est de défendre la démocratie, la liberté et les droits fondamentaux dans le monde et de rejeter la barbarie, l'islamisme, les dictatures et les régimes totalitaires.

La première décision que je prendrai une fois à l'Hôtel Belley sera d'abroger purement et simplement l'innommable traité de reconnaissance Frôce/Palestine.


Tonnerres d'applaudissements.

La Frôce ne reconnaitra pas d'Etat à des terroristes en puissance qui massacrent leur propre peuple et qui "éduquent" leurs enfants dans la haine envers les juifs.

Applaudissements répétés.

Deuxième grande décision, l'intégration de la Frôce au commandement intégré de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord.

Troisième grande décision, permettre à la Frôce de se doter de l'arme nucléaire, facteur de dissuasion et de sécurité pour le peuple frôceux en ces temps troublés.


Applaudissements.

Nous sommes dans un monde de plus en plus instable et à une époque de plus en plus dangereuse. Depuis le 11 septembre 2001, le doute n'est plus possible. Le visage de l'ennemi n'est plus le même que lors du siècle précédent. Il ne s'agit plus de la barbarie rouge et brune mais de la barbarie verte, j'ai nommé, l'islam radical. Ce dernier est tout aussi dangereux.

Nous vivons dans une période où cette guerre contre le terrorisme et la barbarie est devenue plus visible depuis le 11 septembre 2001 et où des filières terroristes frappent ou tentent encore actuellement de frapper aux quatre coins de l'Europe et du monde.

Nous avons vaincu le nazisme puis le communisme, nous pouvons désormais vaincre l'islam radical.


Applaudissements.

La Frôce s'opposera fermement aux "républiques" islamistes existantes, elle mettra fin à ses relations avec les pays ayant un soutien actif envers les organisations terroristes, elle promouvra les Droits fondamentaux et la démocratie dans le monde entier, elle se tiendra au côté d'Israël, elle soutiendra et favorisera les élections réellement libres, justes et multipartistes et enfin, elle soutiendra les démocraties menacées, naissantes ou fragiles.

Ovation.

Une fois à Belley, je n'intègrerait pas la Frôce à l'Union Européenne puisque celle-ci se construit contre la volonté des peuples, ce qui est purement anti-démocratique. Nous ne participerons pas à cette vaste fumisterie qu’est la construction européenne actuelle.

Applaudissements.

En tant que Premier ministre, j’assurerais la sécurité de la Frôce, des frôceuses et des frôceux d'abord mais aussi celle de nos amis et alliés. Dans un tel contexte international, il serait risqué de relâcher notre effort de défense. C’est pourquoi le budget de la défense sera augmenté.

Applaudissements.

La prolifération nucléaire des pays de l'axe du mal est évidemment une des menaces les plus graves à la sécurité internationale. En effet, la situation iranienne est plus que préoccupante. Si l’Iran se dotait de l’arme nucléaire, l'existence même d’Israël serait mise en danger face au désir d’épuration ethnique du président iranien Mahmoud Ahmadinejad. L’Iran ne doit pas se doter de l’arme nucléaire. J'en fais également une priorité. Pour éviter cela, soyons tout à fait franc, toutes les options sont sur la table, y compris le recours à la force.

Applaudissements.

Mes chers amis, l'heure du choix approche. La Frôce a un rôle indispensable à jouer dans le monde. J’ai un projet ambitieux pour l’avenir de notre pays. Je refuse le déclin du rôle de la Frôce dans le monde.

La parole de la Frôce doit et sera respectée, mais aussi, admirée en tant que puissance d’avenir, prête à construire et défendre le monde de demain.
Faisons de ce monde, un monde plus sûr pour la liberté.

Vive la République et Vive la Frôce !


Sur ces dernières paroles, Jean-Baptiste Marshall reçu un réel triomphe de cris d'approbations de d'applaudissements de la part de l'ensemble de ses militants.

Puis, l'hymne frôceux retentit, Jean-Baptiste appela quelques jeunes militants à le rejoindre sur scène au premier rang pour entonner ensemble l'hymne national.
Une fois l'hymne terminé, Jean-Baptiste descendit de la scène, fendit la foule en serrant un maximum de mains.
Ancien Leader de la Droite Libérale Conservatrice frôceuse

Ancien Président de la Cour Suprême
Ancien Vice-Président de l’Assemblée Nationale
Ancien Représentant Parlementaire à l'Assemblée Nationale


Chevalier de l'Ordre de la République
Verrouillé

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