Mairie de Sante-Marie-les-Bains
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Brochure de présentation
Généralités:La ville de Sainte-Marie-les-Bains est une ville de Frôce qui compte 19 260 habitants (dernier recensement) et qui se situe à la pointe sud de la Province des Prigors. Son climat méditerranéen offre des températures douces, et le mistral, qui est le vent dominant, permet de rafraîchir les températures estivales élevées. Les habitants de la ville sont les Banomarisiens et les Banomarisiennes
Quartiers:La ville se divise en 5 quartiers distincts:
- La Vieille Ville
- Le Port
- Ripert
- Riquier
- Constantine
Histoire:
La ville de Saintes-Marie-les-Bains est fondée en 1289 par les Génois à la pointe sud de la province des Prigors dans le but de défendre les rives sud du royaume et d'assurer un point de ravitaillement aux corsaires qui combattent les pirates barbaresques en mer Méditerranée. En effet les Gênois viennent d'écraser quelques années auparavant la flotte de la cité de Pise et sont désormais les seuls maîtres dans cette partie de la Méditerranée. La ville fut consacrée à la vierge Marie, afin qu'elle protège les marins qui quittaient son port. Les génois firent bâtir dès le début du XIV ème siècle une grande forteresse à l'entrée du port, le Fort Doria, baptisée ainsi en l'honneur du grand général génois. La ville fut également dotée de remparts.
Avant cette période on retrouve trace de la présence de campement grecs et d'une petite ville romaine dont il ne reste que les arènes et la trace de thermes, preuve que l'utilisation de l'eau a des fins thérapeutique est ancestrale sur ce site. Les riches ressources minières de la région attirent l'attention et l'intérêt commercial des populations de la Méditerranée orientale, comme les Mycéniens et les Chypriotes, mais ce sont les Phéniciens qui, à partir du ixe et du VIIIe siècle av. J.-C. constituent les premières colonies stables.
Durant la guerre d'indépendance, à la fin du XVIème siècle, les habitants de Sainte-Marie-les-bains prirent plutôt partie pour les Gênois, car il restait dans cette ville de nombreux descendants de colons venus fonder la ville. De plus nombreuses étaient les riches familles génoises, à venir se reposer dans la cité, ce qui assurait la prospérité aux habitants. Cette prise de position provoqua la méfiance du reste du royaume pour un certain temps.
Une légende veut même qu'en 1624, lors de la tentative d'empoisonnement du Roi Hugues, ce soit du miel de fleur d'oranger de Sainte-Marie-les-Bains qui ai été utilisé.
Sainte-Marie-les-Bains est également la ville qui a vu s'éteindre la Reine Bénédicte en 1709 qui tenta de guérir de la petite vérole dans la ville thermale. Malheureusement son état était bien trop dégradé à son arrivée dans la cité pour que les soins prodiguées par les médecins ne la sauvent.
Pendant l'occupation Italienne, la ville fut presque entièrement vidée de ses habitants après le débarquement des alliés en Afrique du Nord. En effet les hauts commandement Italien et Allemand craignaient que l'île serve de tête de pont aux alliés pour rejoindre le continent européens. La résistance s'organisa tardivement et fut assistée par le largage d'armes et d'équipements militaires. Ces armes ne servirent pas de suite car les italien quittèrent la ville de leur propre chef afin de se replier sur le continent après le débarquement Américain en Sicile et dans le sud de l'Italie. On retrouva de très nombreuses armes parachutées parmi les rangs de la résistance à la dictature dans les années qui suivirent.
Sous la dictature de Charles Lacroix de Beaufoy, la ville, mais surtout l'arrière pays et ses nombreuses cavités minières, deviennent un lieu de refuge pour la résistance. Malgré la présence d'une forte garnison militaire, notamment dans le Fort Doria, celle-ci n'ose pas trop s'aventurer au delà de ses murs, et encore moins de la ville car elle est régulièrement prise à partie par des groupes armés et ce dès le début de la dictature. La ville est donc l'une des rare à n'avoir jamais reçu la visite du dictateur durant son long règne. Le Fort Doria fut également utilisé par la Veilleuse, comme lieu de torture et d'isolement des opposants envoyés de toute la Frôce, ce qui lui valait une triste réputation dans tout le pays.
Le jour de noël 2006, en pleine révolution, les habitants de la ville, armés et préparés en secrets depuis des mois par des membres de la résistances infiltrés dans la ville, profitent des festivités pour prendre d'assaut dans la même nuit la Mairie, le Fort Doria, le Palais de Justice et paralyser le port et les différentes portes de la ville. Les soldats et la police politique sont pris au piège dans la ville. Commence alors une bataille longue et sanglante qui dura plusieurs mois, jusqu'au 28 Juin 2007, soit 2 jours après la capitulation d'Edouard Drouet. Cette bataille acharnée fait 1 827 morts parmi les résistants. Le chef local de la résistance, Ange Borgogno, membre du Conseil des Partisans Communistes Frôceux, envoie immédiatement un message à Thomas Roland à Aspen pour lui annoncer la bonne nouvelle. 3650 hommes restants, sur une garnison initiale de 13 000 hommes sont alors fait prisonnier par la résistance.
Gastronomie: Avant cette période on retrouve trace de la présence de campement grecs et d'une petite ville romaine dont il ne reste que les arènes et la trace de thermes, preuve que l'utilisation de l'eau a des fins thérapeutique est ancestrale sur ce site. Les riches ressources minières de la région attirent l'attention et l'intérêt commercial des populations de la Méditerranée orientale, comme les Mycéniens et les Chypriotes, mais ce sont les Phéniciens qui, à partir du ixe et du VIIIe siècle av. J.-C. constituent les premières colonies stables.
Les vestiges des arènes
Durant la guerre d'indépendance, à la fin du XVIème siècle, les habitants de Sainte-Marie-les-bains prirent plutôt partie pour les Gênois, car il restait dans cette ville de nombreux descendants de colons venus fonder la ville. De plus nombreuses étaient les riches familles génoises, à venir se reposer dans la cité, ce qui assurait la prospérité aux habitants. Cette prise de position provoqua la méfiance du reste du royaume pour un certain temps.
Une légende veut même qu'en 1624, lors de la tentative d'empoisonnement du Roi Hugues, ce soit du miel de fleur d'oranger de Sainte-Marie-les-Bains qui ai été utilisé.
Sainte-Marie-les-Bains est également la ville qui a vu s'éteindre la Reine Bénédicte en 1709 qui tenta de guérir de la petite vérole dans la ville thermale. Malheureusement son état était bien trop dégradé à son arrivée dans la cité pour que les soins prodiguées par les médecins ne la sauvent.
Pendant l'occupation Italienne, la ville fut presque entièrement vidée de ses habitants après le débarquement des alliés en Afrique du Nord. En effet les hauts commandement Italien et Allemand craignaient que l'île serve de tête de pont aux alliés pour rejoindre le continent européens. La résistance s'organisa tardivement et fut assistée par le largage d'armes et d'équipements militaires. Ces armes ne servirent pas de suite car les italien quittèrent la ville de leur propre chef afin de se replier sur le continent après le débarquement Américain en Sicile et dans le sud de l'Italie. On retrouva de très nombreuses armes parachutées parmi les rangs de la résistance à la dictature dans les années qui suivirent.
Des soldats Italiens dans les rues de la ville pendant l'occupation
Sous la dictature de Charles Lacroix de Beaufoy, la ville, mais surtout l'arrière pays et ses nombreuses cavités minières, deviennent un lieu de refuge pour la résistance. Malgré la présence d'une forte garnison militaire, notamment dans le Fort Doria, celle-ci n'ose pas trop s'aventurer au delà de ses murs, et encore moins de la ville car elle est régulièrement prise à partie par des groupes armés et ce dès le début de la dictature. La ville est donc l'une des rare à n'avoir jamais reçu la visite du dictateur durant son long règne. Le Fort Doria fut également utilisé par la Veilleuse, comme lieu de torture et d'isolement des opposants envoyés de toute la Frôce, ce qui lui valait une triste réputation dans tout le pays.
Le jour de noël 2006, en pleine révolution, les habitants de la ville, armés et préparés en secrets depuis des mois par des membres de la résistances infiltrés dans la ville, profitent des festivités pour prendre d'assaut dans la même nuit la Mairie, le Fort Doria, le Palais de Justice et paralyser le port et les différentes portes de la ville. Les soldats et la police politique sont pris au piège dans la ville. Commence alors une bataille longue et sanglante qui dura plusieurs mois, jusqu'au 28 Juin 2007, soit 2 jours après la capitulation d'Edouard Drouet. Cette bataille acharnée fait 1 827 morts parmi les résistants. Le chef local de la résistance, Ange Borgogno, membre du Conseil des Partisans Communistes Frôceux, envoie immédiatement un message à Thomas Roland à Aspen pour lui annoncer la bonne nouvelle. 3650 hommes restants, sur une garnison initiale de 13 000 hommes sont alors fait prisonnier par la résistance.
La gastronomie locale se caractérise par des plats avec des produits de la terre ou de la mer et des vins comme le vignoble "carignano" qui a été introduit par les Phéniciens.
Le "porceddu" (maialetto ou porchetto en italien) est un cochon de lait entier parfumé à la myrte et au laurier, cuit au four ou à la braise dans un trou recouvert de terre. C'est une tradition venant dit-on des bergers malhonnêtes qui cuisinaient de cette façon les cochons de lait volés aux autres bergers. Lorsque le cochon de lait est plus gros, on le coupe en deux et on le cuit à la broche sur un feu de myrte. On peut aussi le mouiller avec la grappa locale, ou avec de l'eau. Ajouter du laurier, sel, poivre, beaucoup d'ail et de myrte.
Les Culingiones, des raviolis sans viande: La farce réunit harmonieusement le goût sucré des blettes et celui plus franc du pecorino. Les arômes, agréablement en opposition, de la noix de muscade et du safran. Certains les mangent enrichis par une sauce tomate avec de la viande hachée.
Tenues traditionnelles:Le "porceddu" (maialetto ou porchetto en italien) est un cochon de lait entier parfumé à la myrte et au laurier, cuit au four ou à la braise dans un trou recouvert de terre. C'est une tradition venant dit-on des bergers malhonnêtes qui cuisinaient de cette façon les cochons de lait volés aux autres bergers. Lorsque le cochon de lait est plus gros, on le coupe en deux et on le cuit à la broche sur un feu de myrte. On peut aussi le mouiller avec la grappa locale, ou avec de l'eau. Ajouter du laurier, sel, poivre, beaucoup d'ail et de myrte.
Les Culingiones, des raviolis sans viande: La farce réunit harmonieusement le goût sucré des blettes et celui plus franc du pecorino. Les arômes, agréablement en opposition, de la noix de muscade et du safran. Certains les mangent enrichis par une sauce tomate avec de la viande hachée.
Pour la femme, la tenue traditionnelle est très finement brodée et colorée (vert, et/ou bleu, et/ou or, et/ou rouge). Les tenues peuvent être très différentes, malgré des parties fixes telles que le châle, le corsage, la jupe longue, et la chemise blanche. Les femmes peuvent également porter des bijoux en or, argent ou corail, souvent finement gravés.
En revanche, pour l'homme, la tenue traditionnelle est dans la droite ligne de la tradition pastorale. On constate souvent une chemise et un pantalon blanc, un gilet et une veste noirs (parfois avec du rouge), un chapeau de forme particulière, et parfois un manteau (de cuir ou de laine).
En revanche, pour l'homme, la tenue traditionnelle est dans la droite ligne de la tradition pastorale. On constate souvent une chemise et un pantalon blanc, un gilet et une veste noirs (parfois avec du rouge), un chapeau de forme particulière, et parfois un manteau (de cuir ou de laine).
Activités économiques et ressources
Élevage
L'élevage est très implanté à Sainte-Marie-les-Bains, surtout dans les régions montagneuses de l'arrière pays, et a par conséquent une forte importance, certes économique, mais aussi sociale. Il est traditionnellement pratiqué en extensif ou semi-extensif sur les 1 500 000 hectares de prairies naturelles.
On trouve deux types d'élevage principalement pratiqués. Le premier est l'élevage ovin. Le lait de brebis est apprécié et très utilisé, et la viande d'agneau est un repas de choix. Le second est l'élevage de caprin. Le lait de chèvre est également recherché. Ainsi, le fromage est le produit le plus couramment fourni.
AgricultureOn trouve deux types d'élevage principalement pratiqués. Le premier est l'élevage ovin. Le lait de brebis est apprécié et très utilisé, et la viande d'agneau est un repas de choix. Le second est l'élevage de caprin. Le lait de chèvre est également recherché. Ainsi, le fromage est le produit le plus couramment fourni.
On peut voir plusieurs types de cultures. On trouve des céréales, des fruits (agrumes, cerises…), des légumes, de l'olive qui est largement utilisée pour produire l'huile, du liège, de la vigne pour le vin. Cette dernière production date de fort longtemps, car déjà présente à l'âge nuragique. La production d'olives en revanche n'a été introduite qu'à partir du XVIe siècle.
La saliculture et bien sûr les ports de pêche, sont également des cultures présentes. On peut noter la pêche de l'anguille? pêchée depuis l’Antiquité.
L’exploitation minièreLa saliculture et bien sûr les ports de pêche, sont également des cultures présentes. On peut noter la pêche de l'anguille? pêchée depuis l’Antiquité.
Saintes-Marie-les-Bains possède de nombreuses mines, dispersées dans l'arrière pays. Le travail minier dans la commune date de temps très éloignés (6000 av. J.-C.), et grâce à ces nombreuses ressources minières, la ville a pu se développer en attirant commerçants et négociants.
On trouve principalement des mines de fer, mais également des productions d'argent, de charbon et de zinc.
TourismeOn trouve principalement des mines de fer, mais également des productions d'argent, de charbon et de zinc.
Depuis sa fondation, la ville de Sainte-Marie-les-Bains a une forte vocation touristique.
IndustrieL'industrie à Sainte-Marie-les-Bains n'est pas très développée, mais on peut observer tout de même une industrie chimique, agroalimentaire et textile
.Faune et flore
L'arrière pays de Sainte-Marie-les-Bains, par sa faible densité de population, est resté très sauvage. On y retrouve donc une belle variété de faune et de flore, ainsi que de nombreuses espèces endémiques en raison de l'isolement. De plus, une équipe de recherche de l’université d'Aspen, a mis en évidence « 65 espèces végétales ayant des propriétés médicales ».
On retrouve également un nombre important d'animaux marins dont des crustacés dans ses eaux.
On retrouve également un nombre important d'animaux marins dont des crustacés dans ses eaux.
Grands Bâtiments de la Ville
La Mairie
La Bibliothèque Municipale
La salle Omnisport
Le Palais des Congrès (8000 places)
L'Eglise du Port
La Place Ange Borgogno, héros de la révolution frôçeuse
L'Hôpital de Sainte-Marie-les-Bains
Le Stade (20 000 places)