[Présidentielle 07/13] Meeting de George Montgomery

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George Montgomery
Président de la République
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[Présidentielle 07/13] Meeting de George Montgomery

Message par George Montgomery »

MEETING DE GEORGE MONTGOMERY

ASPEN - PROVENCE - LOMBARDIE
Pour son premier et unique meeting du premier tour de l’élection présidentielle, le candidat socialiste George Montgomery avait réservé l’esplanade du Vieux Port d’Aspen pour la tenue de ce grand rassemblement populaire. L’équipe de campagne du candidat attendait plus de cent cinquante mille personnes pour assister au discours de l’ancien Premier ministre. Tout était mis en place pour permettre une acoustique de qualité et une retransmission télévisée de son discours. En fin politique, le candidat avait décidé de parler avec le journal télévisé de 20 heures des chaînes de télévisions et des radios, afin d’obtenir un plus grand écho médiatique et donc de toucher plusieurs millions d’électeurs. Les éléments de communications étaient disposés tout autour de l’esplanade du Vieux Port, on pouvait y voir des affiches géantes à l’effigie du candidat socialiste, des drapeaux frôceux et des milliers de roses.

Afin de ne pas provoquer de troubles, une zone précise était réservée aux personnalités du monde politique, économique ou culturel. Du côté de l’équipe de campagne du candidat, on signalait la venue de prestigieux invités politiques dont quelques chefs d’Etat et de gouvernement. Alors que la foule commençait à remplir l’esplanade en ne laissant que peu d’espaces vides, la musique de campagne résonnait à travers tout le centre-ville. Le meeting devait se tenir vers 18 heures, heure d’Aspen. A moins d’une heure du début du meeting, l’équipe de campagne annonçait d’ores et déjà que plus de deux cents mille personnes s’étaient amassées le long de l’esplanade pour écouter le discours de George Montgomery. C’était cinquante mille de plus que ce qui était prévu à l’origine, autant dire un formidable succès populaire pour le Nouveau Parti Socialiste et ses alliés.

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A quelques minutes du début des hostilités, les caméras montraient la liste impressionnante des personnalités étrangères assistant au grand meeting du candidat socialiste à la présidentielle :
- M. Elio Di Rupo, Premier ministre de Belgique
- M. Werner Faymann, Chancelier fédéral de l’Autriche,
- M. Joseph Muscat, Premier ministre de Malte,
- M. Romano Prodi, ancien Président du Conseil italien et ancien Président de la Commission européenne,
- M. Guglielmo Epifani, Secrétaire national du Parti démocratie italien,
- M. Sigmar Gabriel, Parti social-démocrate d'Allemagne,
- M. Alfredo Pérez Rubalcaba, Secrétaire général du Parti socialiste ouvrier espagnol,
- M. Ed Miliband, Leader du Parti travailliste britannique,
- M. Jean-Luc Mélanchon, Coprésident du Parti de Gauche français,
- Mme Martine Aubry, ancienne Premier secrétaire du Parti socialiste français.


Après un tour d’horizon de l’exceptionnel panorama des invités étrangers, les caméras firent un tour d’horizon des nombreuses personnalités frôceuses présentes pour le discours de George Montgomery :
- M. Thomas François, Premier ministre,
- Mme Anne Lore Zahara, Présidente de l’Assemblée Nationale,
- M. Luca Pappa, Ministre d’Etat, Ministre de l’Intérieur et de la Défense,
- Mme Deborah Da Silva, Ministre de l’Economie, des Finances et du Travail,
- M. Mehmet Ismalotyglu, Ministre de l’Environnement, de l’Energie et des Transports,
- M. Léon Boniface, Ministre de la Santé et des Affaires sociales,
- Mme Rosalinda Hanke, Ministre de la Culture et des Sports,
- M. Stefano Peruzzi, ancien Premier ministre.

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C’est alors que dans la surprise générale, une intense fumée blanche s’étala tout autour de la tribune d’où s’exprimerait le candidat aujourd’hui. La musique de campagne retentissait sur toute l’esplanade noire de monde. Un magnifique jeu de lumières se mit en place pour préparer l’arrivée en rock star du candidat socialiste. George Montgomery fit alors son apparition sur les écrans géants : il n’était pas sur scène mais au milieu de la foule à se frayer un passage pour atteindre la tribune. Il sera des centaines de mains, fit des dizaines de bises, il signa un nombre incalculable d’autographes. Toutes les caméras présentes étaient braquées sur l’ancien Président de la Cour Suprême. Pour ce grand meeting, c’est une réalisation de son équipe de campagne qui distribuera les images du rassemblement aux télévisions pour leur grand direct de campagne. Aucun détail ne devait échapper à l’œil des conseillers en communication dont s’était entouré George Montgomery pour cette campagne. Ils connaissaient tous l’importance du premier tour de l’élection pour donner la dynamique nécessaire à une victoire finale le dimanche suivant.

En effet, il était peu probable qu’un candidat puisse atteindre la majorité absolue des suffrages exprimés dès le premier tour. Pour cette élection, les adversaires étaient de qualités murmuraient-on dans les proches du candidat socialiste. Après plusieurs minutes d’un bain de foule sans précédent pour lui ou tout autre candidat de gauche jusqu’à présent, il était enfin debout, droit, à saluer l’immense foule sur l’esplanade du Vieux Port d’Aspen. Il ne quitta pas une seule seconde sa main droite de son cœur. Il était le candidat du peuple, le seul et l’unique. Toutes les vibrations qu’ils pouvaient recevoir ce soir, c’était un cadeau du peuple de Frôce se disait-il. Il se positionna devant son pupitre sur lequel on pouvait noté l’absence de discours papier. Ce meeting était l’occasion de démontrer une nouvelle fois les talents d’orateur de George face à une foule compacte, hystérique et néanmoins attentive.


« Mes chers amis,

Merci, merci beaucoup. Du fond de mon cœur, je vous dis merci. Vous êtes 200 000 ! Vous êtes le peuple de Frôce !

Hourras de la foule qui applaudit et agite des drapeaux frôceux dans tous les sens.

Grace à la volonté du peuple, la République s’est dotée d’une Constitution plaçant le Président de la République au cœur de la vie politique de notre pays. Certains s’en plaignent, d’autres s’en réjouissent, c’est le lot de toute réforme politique de cette ampleur. Je fais partie des soutiens politiques à cette révision constitutionnelle. Il n’y en avait pas beaucoup pendant la campagne électorale pour le référendum. J’étais l’un d’entre eux. Parce que je crois profondément dans l’espoir d’un peuple dans un homme ou dans une femme d’expérience. L’élection présidentielle retrouve une saveur particulière qu’elle avait perdue il y a plusieurs décennies de cela quand les parlementaires avaient décidés de renouer avec un régime purement parlementaire dont nous avons tous pu voir les effets néfastes ces derniers mois.

La Frôce attend des changements, des réformes et de nouvelles grandes ambitions, il faut une unité politique pour atteindre ces objectifs. La nouvelle Constitution offre au pays la possibilité d’entrer dans une nouvelle ère avec un seul centre de décision pour l’exécutif en temps de concordance des majorités : le Président de la République. Ce n’est pas pour autant que nous assisteront au mandat d’un omni président, non. Quand je vois le résultat du référendum et le soutien populaire pour cette révision constitutionnelle, plus de 80 % de Oui, je ne peux que regretter le manque de courage et d’ambition de la plupart des dirigeants politiques actuels du pays. Sachez que cette frilosité, je ne la connais pas et je vous fais la promesse de ne jamais la connaitre au cours de mon mandat.

La foule agite vivement des milliers de drapeaux.

Nous sommes tous réunis ici pour convaincre les frôceux du bon choix à faire ce dimanche pour le premier tour de l’élection présidentielle. Le travail est long et il nous faudra en faire encore plus jusqu’à la dernière seconde de la dernière minute de la dernière heure de campagne. Nous pouvons le faire si nous restons unis et solidaires dans notre objectif commun : que la Frôce et ses idées les plus généreuses l’emportent ce dimanche. Nous ne devons pas laisser passer la droite, nous ne devons pas laisser passer les ultralibéraux. Vous avez vu comment ils ont démantelés point par point chacun des acquis sociaux dont jouissaient les jeunes, les travailleurs, les personnes fragiles et les retraités de notre pays au seul profit d’une même et unique catégorie : les plus favorisés.

Je ne parle pas d’entreprises comme il semblerait qu’un autre candidat en fasse son cheval de bataille contre moi. Non. La gauche aime les entreprises autant qu’elle aime les travailleurs. Il n’y a pas de bons et de mauvais travailleurs, cette vision-là, cette vision de la division n’est pas la nôtre. Il a fallu faire un choix entre les électeurs et les idées, nous avons choisis les idées. Ce sont elles qui font avancer le monde, ce sont elles qui feront avancer la Frôce de pleins pieds dans un XXI siècle que notre pays n’a toujours pas apprivoisé. Nous avons la possibilité de faire tellement ensemble qu’il serait bien dommage de ne pas saisir cette élection pour faire triompher non pas les idées d’un clan, d’un parti ou d’une famille mais les idées pour une nouvelle Frôce !

Rugissements de la foule qui chantent des « On va gagner ! On va gagner ! ».

Après plusieurs années de gouvernements de droite ou de centre droit, notre pays semble connaitre une amertume. Cette amertume, je la comprends tout autant que je comprends l’effarement des électeurs des ultralibéraux ou des extrémistes de ces dernières élections au vu des résultats. Alors oui, les impôts baissent, mais à quel prix ? Une inflation galopante. Alors oui, la croissance est revenue, mais à quel prix ? La destruction de la fonction publique d’Etat. Dans toute société il y a des brebis égarés qui ont eu la faiblesse de croire à des paroles angéliques qu’ils pensaient bienfaisantes mais qui n’étaient en réalité que des promesses qui ne seraient jamais tenues. A tous ces déçus de la politique de ces dernières années, je leur dit que l’avenir peut être différent, qu’il peut être équilibré et meilleur, juste et durable, s’ils font enfin le choix du cœur, le vote socialiste. Car oui, aujourd’hui, face à la droite et face aux ultralibéraux, il n’y a qu’un candidat, de gauche, je l’assume, serait-ce une tard ? Tout comme d’autres n’assument pas d’être le fruit d’une famille politique et d’un groupe idéologique, je réaffirme la fierté qui est la mienne d’appartenir à l’une des plus nobles familles politiques de Frôce : la gauche !

Applaudissements de la foule, elle crie le nom du candidat « Montgomery ! Montgomery ! ».

La gauche vous fait peur ? Alors pourquoi êtes-vous tous ici depuis maintenant un an alors que nous formons un gouvernement de coalition avec le centre-gauche et le centre ? Où est passé la peur du bolchévisme comme j’ai pu l’entendre dans la bouche de certains leaders de droite ? Il n’y a rien eu de cela. La gauche du XXI siècle n’est plus la gauche du XX siècle. Notre devoir d’inventaire ? Il a été fait après toutes ces défaites. Vous avez aujourd’hui une gauche socialiste et social-démocrate, unie, qui accepte l’économie de marché. Pourquoi lutter inutilement contre un système en place, qui prospère et reçoit la faveur d’une immense majorité d’Etats souverains ? La gauche de la Libération n’existe plus. L’extrême gauche n’existe plus. Il y a aujourd’hui une unité politique qui a donné naissance à notre dernière plus grande réussite : le Nouveau Parti Socialiste. Qui l’aurait cru il y a encore un an ? Personne, je vous le dis, personne. Voilà la force de la gauche dans ce qu’elle a de plus brillant. J’étais un fervent partisan de la fusion entre nos partis, et voilà, que par le plus grand des hasards, deux partis désormais unis soutiennent un seul et unique candidat. L’erreur de la dernière élection présidentielle est enterrée. Il n’y a plus aucune division au sein de notre famille politique. Il n’y a qu’à voir les personnalités issues de la gauche frôceuse qui ont acceptée de venir me soutenir en personne à ce meeting, c’est là la plus belle preuve que nous pouvions offrir à nos détracteurs. La gauche n’est pas morte, la gauche est vivante !

Hourras de la foule qui vibre depuis plus de trente minutes devant le discours plein de force du candidat socialiste.

Pour tout vous dire mes chers amis, je ne connais pas d’espoir plus fou que celui qui est en train de naitre depuis le début de cette extraordinaire campagne présidentielle où je sillonne les routes de Frôce pour convaincre chaque électeur du pouvoir qu’il détient dans son bulletin de vote. Comme dirait un ancien Président socialiste français, aujourd’hui, vous avez le pouvoir de changer la vie. De retrouver une Nation prospère, équilibrée et généreuse. Il en sera terminé des quotas, des exclusions et des inégalités : nous prônerons l’égalité et la justice. Et cela, quel que soit le domaine : il en sera terminé des niches fiscales, il en sera terminé des privilèges de certaines corporations vis-à-vis d’autres. Je serais l’instigateur d’une révolution économique et sociale dans notre pays. Cette promesse-là, elle n’est ni folle ni irréaliste ni irrespectueuse pour les anciens dirigeants, je n’ai pas l’intention d’être le héros ou le sauveur d’une Nation. J’ai mille et un projets pour la Frôce qu’il sera déterminant de mettre en place pour redonner une allure, une dynamique à notre pays. Abandonner ? Jamais ! Trébucher ? Pour mieux se relever ! Espérer ? Toujours !

« On va le faire ! On va gagner ! » Reprennent en chœur les milliers de spectateurs.

Faire de la Frôce un Etat qui compte sur la scène internationale, c’est notre objectif. Je remercie l’ancien ministre des affaires étrangères pour son travail à ce ministère, il aura réussi à redynamiser nos représentations et missions diplomatiques partout dans le monde. Je poursuivrais ce travail avec un autre style et en prenant en compte les caractériels de chaque pays afin de ne pas heurter les consciences. Car il est bien entendu tout à fait honorable de vouloir aller vite vers le sens du progrès, donc de la démocratie partout sur Terre, mais aujourd’hui, les données de la diplomatie mondiale ne sont plus les mêmes. Il faut être en mesure de relâcher la pression sur certains points pour obtenir des avancées sur d’autres. Je ne crois pas en la diplomatie du tout, tout de suite. Il faut laisser du temps au temps, comme la démocratie n’est pas arrivée en vingt ans en Frôce, elle n’arrivera pas en vingt ans en Russie, elle n’arrivera pas en vingt ans au Moyen Orient ou en Chine. C’est un processus long et exigeant, qui demande une implication complète de l’ensemble de la société civile du pays concerné. Ce travail-là, nous ne pouvons pas le faire à la place des peuples.

Nous apportons notre expérience, notre connaissance, notre histoire, peut être nos conseils. Mais une chose est sûre : la révolution en Egypte appartient au peuple égyptien. La révolution en Syrie appartient au peuple syrien. La révolution en Corée du Nord appartiendra au peuple nord-coréen. Cette nouvelle doctrine politique guidera la politique internationale de la République sous mon mandat. Je maintiendrais évidemment le soutien inconditionnel de la République envers les palestiniens qui méritent toujours la création et la reconnaissance d’un Etat Palestinien. Je dénoncerais avec la même force les implantations de colonies par le gouvernement israélien qui n’a toujours pas compris la portée de ses actes, dans la région d’une part, puis dans tout le monde arabe d’autre part. S’il fallait faire un choix aujourd’hui, la légalité internationale et le souci de lutter contre les injustices ne pourraient que nous guider vers la cause palestinienne malgré le respect de base dont doit bénéficier l’Etat d’Israël. Etre Président, c’est trancher des débats, faire des arbitrages, aussi bien sur la scène nationale que sur la scène internationale. Et j’ai la ferme conviction que cette politique mènera la Frôce à gagner en stature, en poids et en reconnaissance dans le concert des Nations.

La foule applaudit et scande « Souveraineté ! Dignité ! Egalité ! » Quand George s’arrête de parler. Il se lança alors dans une grande tirade dont l’efficacité avait été soufflée par ses conseillers en communication.

Mes chers amis, il reste huit jours. Huit jours pour faire de nos rêves une réalité ;

Huit jours pour se lever ;

Huit jours pour bâtir l'espérance dont la Frôce a besoin ;

Huit jours pour dire ce que nous voulons pour nos enfants ;

Huit jours pour dire que la Frôce est un vieux pays qui a encore tant de choses à dire au monde, à l'Europe et à la Méditerranée ;

Huit jours pour faire du travail, de l'effort, de la récompense, de l'humanisme les valeurs de la République frôceuse ;

Huit jours, mes chers amis, pour que l'avenir soit une espérance ;

Huit jours, mes chers amis, pour convaincre, pour rassembler, pour que tous ceux qui aiment passionnément la Frôce nous aident à bâtir la Frôce du renouveau ;

Huit jours, mes chers amis, huit petits jours, pour créer les conditions d'un rassemblement immense, pour porter une majorité, pour construire pour les qautre années qui viennent le pays le pays le plus prospère au monde ;

Huit jours pour le pouvoir d'achat ;

Huit jours pour le plein emploi ;

Huit jours, mes chers amis.

« Vive la Frôce ! Vive la Frôce ! » Hurle la foule. George, ne pouvant parler, s’arrête quelques instants. Le public est debout, les personnalités également.

J'ai besoin de vous comme jamais un candidat n'a eu besoin du peuple à ses côtés. J'ai besoin de vous pour être le candidat du peuple de Frôce. J'ai besoin de vous. La victoire est en vous, la victoire sera belle parce que ce sera la vôtre.

Vive la République ! Et par-dessus tout, Vive la Frôce ! »

Fin du discours du candidat socialiste devant une foule estimée par les organisateurs à près de 200 000 personnes venues écouter les paroles du candidat du Nouveau Parti Socialiste. Il quitta le pupitre sous les hourras du public. Les dizaines de milliers de drapeaux frôceux étaient agités de tous bords. Une trentaine d’enfants issus de toutes les classes sociales du pays montèrent sur scène aux côtés de George Montgomery pour chanter l’hymne national. Il saluait alors la foule d’une main tout en maintenant son autre main sur son cœur. Quand vint la musique de l’hymne national il l’entonna avec force et vigueur aux côtés des milliers de spectateurs réunis sur la grande esplanade du Vieux Port d’Aspen.
Il quitta définitivement la scène installée sur l’esplanade pour rejoindre la foule une nouvelle fois. Il descendit de la scène sous les applaudissements. On pouvait apercevoir une meute de photographes à ses côtés. Il signa un nombre incalculable d’autographes et de photos. Le tout, sur fond de musique électro. Après plus de quinze minutes à travers la foule, il arriva aux portes de l’Hôtel de Ville de la capitale qui était le siège de campagne de son équipe pour la soirée. La place était déjà en train de se vider et les équipes techniques démontaient petit à petit les installations. Les chaînes de télévisions rendaient l’antenne. La porte se referma derrière George Montgomery, signifiant la fin de la première campagne présidentielle du candidat mais aussi du tout neuf Nouveau Parti Socialiste, dont le premier meeting restera dans les mémoires comme un show digne des plus grands partis politiques européens en clôture. Il ne restait plus qu’à attendre le vote des électeurs dimanche pour le premier tour.
Spectateurs selon les organisateurs : +/- 200 000
Niveau du meeting : Maximum
Nombre de mots : 3 181 (discours seul : 2 030)
Président de la République

Ancien Premier ministre
Ancien Président de la Cour Suprême
Ancien Ministre d'Etat, de l'Intérieur et de la Défense
Ancien Ministre de la Justice et des Institutions
Ancien Ministre de l'Economie, des Finances et du Travail
Ancien Représentant parlementaire
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