[Anglès] Meeting du Rassemblement Pour la République

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Vincent Valbonesi
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[Anglès] Meeting du Rassemblement Pour la République

Message par Vincent Valbonesi »

MEETING DU RASSEMBLEMENT POUR LA RÉPUBLIQUE

ANGLES – PROVINCE DES PRIGORS (ZONE NORD)
La tête de liste, ancien Premier ministre, ancien Président de l’Assemblée Nationale, M. Vincent Valbonesi monte à la tribune pour prendre la parole.

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« Mes chers amis,

La route fut longue, mais nous nous retrouvons enfin pour une nouvelle et passionnante aventure. Cette aventure qui stimule dans chacun de nous la fibre patriotique qui l’anime, cette fibre qui le rend fier et digne dans la joie comme dans le malheur, cette fibre-là, c’est l’amour d’un pays, l’amour de notre pays : la Frôce. Cette aventure mérite plus que tout d’être vécue intensément, avec tout l’amour et la dévotion que chacun de nous, que chacun de vous, peut mettre au service d’une cause juste : la Frôce. Cette aventure n’est pas l’aventure d’un homme, pas plus que d’un parti, non, c’est autre chose, c’est au-delà de tout ce que le commun des mortels peut rêver, c’est une fierté, un plaisir, immense, indescriptible : celui de convaincre, de débattre, de prendre le temps d’instruire un dialogue avec l’autre non pour le persuader mais pour le convaincre de suivre les idées qui sont les nôtres. Oui, mes amis, nous sommes ici réunis, dans cette magnifique ville d’Anglès, pour lancer la campagne pour les législatives de juillet 2012 !

Applaudissements du public.

Nous venons de connaitre une législature de gauche, oui, tout comme vous, la souffrance fut terrible, mais certainement qu’aujourd’hui, parce que je suis devant vous, avec à mes côtés une équipe de campagne fabuleuse, la souffrance s’estompera pour laisser la place à un sourire, une satisfaction, une confiance retrouvée. Nous entrons dans l’arène pour combattre, nous entrons dans l’arène pour ne pas mourir, nous entrons dans l’arène pour en ressortir par la grande porte. Rappelez-vous le souvenir de la première campagne du Rassemblement Pour la République, rappelez-vous le succès et l’engouement extraordinaire que cette campagne a pu faire connaitre, c’est dans cet esprit-là, et uniquement avec cette idée-là, que je reviens, une nouvelle fois devant vous pour vous convaincre de porter les idées du mouvement qui est le nôtre en haut de l’affiche. Cette campagne, qui nous mènera dans toutes les régions du pays n’est pas la campagne d’une secte fermée qui n’attend rien de personne, non, cette campagne est ouverte, et toutes et tous, membre ou non du parti, votre rôle est essentiel et il ne dépendra pas de la performance des orateurs du parti de faire naitre une dynamique pour notre candidature. Cette dynamique à laquelle nous aspirons tous, elle viendra de la base, elle viendra de ses milliers de militants qui ont la volonté, ferme et définitive, de faire de nos idées les idées de la Frôce !

Applaudissements du public.

Mais voilà, l’opposition est là, l’opposition est, pour le temps de cette campagne, encore la majorité. Mais quelle majorité dites-moi ! Il n’y a rien eu, un bilan ? Quel bilan ? Aucune réforme de profondeur, aucun changement important. Qu’est-ce que l’ouvrier frôceux a pu gagner pendant la mandature Salinovitch ? Rien, il n’a rien gagné. Ah si, pardonnez-moi, il aura un intéressement sur les résultats de son entreprise, mais expliquez-moi comment un ouvrier pourra recevoir le fruit de son travail si dans le même temps, la gauche à laquelle il voue un culte fanatique augmente les cotisations patronales et les impôts ? C’est un serpent qui se mord la queue. Et je ne parlerais même pas du coût du travail dans notre pays qui n’est absolument pas au niveau auquel il devrait être si un tant soit peu les stratégies de gauche avaient une stratégie crédible et ambitieuse pour l’économie nationale. Quand j’entends que le parti au pouvoir veut encore augmenter le salaire horaire minimum, mais où allons-nous ? S’il s’agit de fermer les portes des entreprises frôceuses dans les six mois, alors oui, nous y allons tout droit. Grâce à l’action que j’ai pu mener lors de mon passage à l’Hôtel Belley, j’ai agis concrètement et fermement contre cette mesure aberrante du salaire minimum à sept pluzins. Une fois les principales lois économiques de mon gouvernement adoptées, les résultats étaient incontestables : l’inflation qui perd dix points et le chômage en baisse, mais surtout, une croissance économique retrouvée et vigoureuse dans le contexte de crise qui était le nôtre. Vous voulez des résultats ? J’ai des résultats, ils sont là et chacun de vous peut le vérifier sur son ordinateur ou son Smartphone en temps réel. Cette campagne doit être la campagne de la vérité, et bien mes amis, aujourd’hui, à Anglès, voilà la vérité !

Applaudissements du public.

Le bilan de la gauche au pouvoir en matière économique et sociale ? Il est inexistant. Pendant un temps, il a été question de mettre en place une taxe aberrante sur les opérations boursières, mais incapable, oui, incapable de fournir une estimation des recettes et de l’impact de cette proposition, elle fut retoquée par l’ensemble des services de la Cour des Comptes. S’il vous fallait une preuve de l’incapacité de la gauche à gouverner, vous en avez ici une pépite. Mais continuons, nous avions un ministre du Travail avec des airs de révolutionnaires, mais je vous rassure, c’était seulement des airs. Nous n’avons rien vu, nous n’avons rien entendu. Quid de la compétitivité ? Quid de la question de l’inflation monstrueuse de 7% par an ? Quid de la question du chômage et de l’emploi ? Quid de la formation professionnelle ? Rien, strictement rien. Pour une gauche qui fait du rentre dedans à la classe ouvrière, on a connu mieux. Voilà les mensonges, voilà les promesses non tenues, voilà comment on prend les frôceux pour du bétail électoral et non pour ce qu’ils doivent être : des hommes et des femmes de talents qui ont des idées et de l’ambition. Ouhla, que dis-je ! Ambition, mais que ce mot est maaaaaaal ! Il est interdit dans la Frôce de Salinovitch de prononcer une seule fois le mot parce qu’il est bien trop injuste pour un communiste d’accepter la réussite de chacun en masquant la faiblesse de sa doctrine par une subvention ruineuse et liberticide de la masse. Cette supercherie, nous la connaissons, cette supercherie a trompée bon nombre de frôceux la dernière fois. Cette campagne est l’occasion de ne pas retomber dans nos travers. Faites en sorte que le choix du peuple soit le choix de la raison, le choix de l’ambition, le choix de la réussite, le choix de l’action, bref, le choix du Rassemblement Pour la République !

Applaudissements du public.

Le monde est en crise. L’Europe est en crise. La Frôce doit obtenir de ses responsables l’engagement d’agir et de répondre face aux attentes nombreuses que posent les frôceux. C’est ce que le Rassemblement Pour la République a toujours fait, c’est ce que nous nous devons de faire à l’avenir. Mes amis, n’ayons pas honte de nos succès, n’ayons pas honte de ce qui fait notre force : le pragmatisme. Je remercierais encore mon ancien ministre de l’Economie et des Finances, Mlle Victoria Lopez de Ayala pour son action extrêmement positive au poste, complexe et médiatique, qui était le sien. Nous avons engagés des réformes importantes et des modifications nombreuses dans tout ce qui touche à l’économie du pays et au travail de millions de frôceux. Nous avons réformé le système des heures supplémentaires pour favoriser l’emploi en temps de crise, nous avons produit une loi de finances en équilibre pour le temps de notre mandature et celle de notre successeur, ce qu’ils n’ont toujours pas fait alors que la loi de finances se termine dans quelques jours. J’ai lancé l’Allocation Minimum d’Activité pour permettre à chacun d’obtenir un revenu décent, cette réforme a été financée et soutenue par les entreprises elles-mêmes. Une réforme supplémentaire et d’importance : la taxe sur la valeur ajoutée avec la création d’une nouvelle tranche pour les produits de luxe, essentiel à la justice fiscale. Nous avons obtenus le vote et l’adoption dans la Constitution de la Règle d’Or sur l’équilibre budgétaire. Nous avons inséré dans le Code de l’urbanisme l’obligation pour les promoteurs de prévoir une part toujours plus élevée de logements sociaux dans chacune des villes de Frôce. Le gouvernement dont j’ai eu la charge a créé la Cour des Comptes, probablement le projet le plus important de cette mandature qui permet aujourd’hui un contrôle et un conseil permanent des collectivités territoriales et de l’Etat. Un Code de la consommation, actualisé et élargi a vu le jour sous notre mandature. Réforme sociale d’envergure : la modification, complexe et ambitieuse du Code du travail pour créer un nouveau titre spécialement dédié à la représentativité des syndicats au sein des entreprises. Cette réforme était essentielle, c’était une promesse difficile à tenir, mais nous l’avons fait parce que notre seul et unique intérêt, c’est la Frôce, pas notre réélection. Le gouvernement dont j’ai eu la charge a mis en place un cadre législatif clair et précis concernant la fiscalité locale, ce que personne n’avait pas eu la volonté et le courage de faire, au risque de se mettre à dos les responsables locaux. Et enfin, mesure d’intérêt national, qu’il serait préférable de voir au niveau européen : une loi de préférence nationale concernant l’achat de biens des collectivités et de l’Etat. Voilà le bilan qui est le nôtre en matière d’économie et d’emploi !

Applaudissements du public.

Mais au-delà du bilan mes chers amis, il nous faut aller plus loin via un programme économique ambitieux à la hauteur des espoirs du peuple frôceux. Par conséquent, le programme économique de la liste dont j’ai l’honneur immense de prendre la tête se décompose en trois axes : l’emploi, l’économie et l’Etat. Ou plus vulgairement : une partie sur la lutte contre le chômage, une partie sur l’action économique voulue pour la croissance et une dernière partie concernant l’action de l’Etat et des collectivités en matière budgétaire et fiscale. C’est clair, c’est précis et c’est ce que chacun des électeurs attend pour faire un choix, pour faire le bon choix, c'est-à-dire : le choix du Rassemblement Pour la République !

Applaudissements du public.

En matière d’emploi, nous continuerons l’action qui a été la nôtre lors de notre précédente mandature. Ainsi, nous proposons l’instauration d’une conférence annuelle de l’emploi qui ne sera pas uniquement un lieu de discussion purement politique, non, il s’agit avant tout de mettre en relation chacun des acteurs de la politique de l’emploi dans notre pays : les entreprises, les partenaires sociaux et l’Etat. Les rendez-vous autour de la question sociale sont bien trop rares dans notre pays, il est donc nécessaire de rétablir le dialogue social oublié par le gouvernement socialo-communiste du pouvoir sortant. Nous proposons également le principe suivant lors des négociations sociales que ce soit entre l’entreprise et le syndicat, ou entre l’entreprise, le syndicat et l’Etat : un accord signé par des syndicats est valide s’il est signé par des syndicats représentants une majorité de salariés. Il n’est pas normal aujourd’hui qu’un ou deux syndicats qui représentent tout au plus vingt pour cent des salariés d’une entreprise puissent imposer un tel accord. La règle majoritaire doit s’appliquer impérativement pour plus de démocratie sociale à l’intérieur même des syndicats. Nous proposons également l’entrée des représentants des salariés élus par les salariés de l’entreprise au sein des comités d’entreprise dont on ne connait que trop peu le fonctionnement et l’utilisation des ressources. Une loi devra également définir l’utilisation des fonds publics afin d’éviter les nombreux gaspillages comme nous avons pu en connaitre au travers d’affaires médiatiques. Encourager l’emploi, ce n’est pas qu’encourager le travail salarié, c’est aussi encourager l’initiative individuelle et les projets des travailleurs. Nous proposons la création d’un statut d’auto-entrepreneur avec une exonération fiscale pendant les deux premières années d’activités de l’entreprise. La réussite individuelle doit être montrée en exemple si l’on veut permettre à chacun de croire dans le soutien et la solidarité de la Nation au travers les projets qu’il entreprend. Enfin, nous proposons de permettre aux TPE et PME de créer un emploi sans charges, pendant un an, si elles recrutent un chômeur sous la forme exclusive d’un CDI. Encourager l’emploi, ce n’est pas distribuer des aides aux chômeurs, non, encourager l’emploi c’est donner aux entreprises les moyens de faire à nouveau confiance aux travailleurs. Ce n’est pas avec une société de l’assistant que la Frôce résoudra ses difficultés chroniques en matière d’emploi. !

Applaudissements du public.

Pour que l’emploi augmente dans notre pays, nous avons besoin d’une croissance forte et stable. Les effets minces que provoquent des décisions électorales du gouvernement socialo-communiste sortant n’apportent aucune solution concrète à la problématique dont souffre notre pays : un chômage chronique qui ne connait pas de baisse constante. Pour stimuler cette croissance et faire de la productivité une richesse nationale, le Rassemblement Pour la République propose des mesures novatrices et ambitieuses. Nous proposons tout d’abord l’instauration d’un compte épargne formation pour tous les salariés. Ainsi, grâce à la solidarité au sein de l’entreprise et avec le soutien entier de l’Etat, des formations pourront être financées afin de prévenir tout risque de précarité à l’emploi. Les efforts ne doivent pas être portés par le même acteur : il faut une base globale et générale qui soutienne pleinement la politique de l’entreprise. Parce que l’innovation est une richesse, nous proposons d’exempter d’impôt sur le revenu les brevets déposés par les chercheurs. Si nous connaissons un retard en matière de recherche et développement par rapport à la grande partie des pays membres de l’OCDE, c’est parce que notre politique en matière d’innovation n’encourage pas du tout cette innovation. L’innovation est la rampe de lancement d’un pays, elle permet le rayonnement de nos universités, de nos laboratoires et de nos entreprises. Nous ne pouvons pas faire l’impasse sur cette question. Le moteur de la vie économique, c’est l’entreprise. Les sources financement sont parfois très rares et peu avantageuses pour elles. Nous proposons la création d’un outil de financement propre au sein de chaque région dédié au financement des TPE et PME. Cet outil permettra un financement direct et sans intermédiaires des projets des entreprises locales. Les banques nationales ont vocation à aider les grands groupes frôceux, il faut donc leur substituer un outil de financement local. Nous proposons la création d’un livret d’épargne-industrie qui aura comme objectif premier de permettre la redirection de l’épargne vers le financement de l’industrie. L’Etat se portera caution de l’ensemble des fonds déposés par les investisseurs dans ce livret révolutionnaire. Nous ne doutons pas une seconde la préférence des frôceux envers l’aide à l’entreprise locale plutôt qu’à l’augmentation des profits des établissements bancaires. Toujours dans l’optique d’un encouragement à l’investissement au sein des TPE et PME qui font tourner très majoritairement l’économie du pays, nous inciterons au moyen d’une politique fiscale attrayante les investisseurs à apporter des fonds dans ces TPE et PME. Face au problème des licenciements de masse, il nous faut agir concrètement. Oui une entreprise doit pouvoir licencier ses salariés si sa situation l’oblige. Mais jamais nous n’accepterons qu’une entreprise qui verse des dividendes à ses actionnaires puisse licencier un seul salarié. C’est totalement contreproductif à la fois pour l’entreprise et pour l’économie du pays. Le dividende que perçoit l’actionnaire ira le plus souvent dans un lire à taux élevé dans une banque, il ne permettra plus l’essor de l’activité économique via ses investissements. Privilégions l’emploi à la thésaurisation, c’est ce que je suis venu vous dire aujourd’hui mes chers amis. Oui nous sommes capitalistes, oui nous sommes des libéraux, mais oui nous n’oublions pas l’histoire qui est la nôtre, oui nous n’oublions pas comment s’est construit notre pays. Les excès que nous avons connus ces dernières années doivent être soldés aujourd’hui par une action politique sincère et concrète pour le peuple. Faites nous confiance !

Applaudissements du public.

Dernier chapitre de cette histoire du renouveau économique que je vous propose : l’action de l’Etat dans la vie économique et ses composantes comme la fiscalité par exemple. L’Etat dicte les grandes orientations du pays, que ce soit en matière de recherche et développement, en matière d’incitation fiscale, d’investissements stratégiques etc. Le propre d’un Etat républicain et démocratie, c’est de favoriser l’égalité, et non l’égalitarisme qui est un des maux dont souffre notre voisin français. Nous ne tirons personne vers le bas, nous demandons à chacun de faire les efforts nécessaires pour participer à la construction de la société que nous voulons. Une réforme de la fiscalité sera entreprise afin de tendre vers une meilleure égalité. De nouvelles tranches d’imposition verront le jour si nous sommes élus. Notamment la création d’une tranche à 50% pour les revenus supérieurs à 250 000 pluzins. Pour contrer l’évasion fiscale et la fraude fiscale et sociale, nous proposons la création d’une Haute autorité de lutte contre la fraude fiscale et sociale. Celle-ci sera indépendante et composée de magistrats professionnels ainsi que d’experts fiscalistes choisis pour leurs compétences et non par leurs recommandations. C’est aussi ça une République exemplaire. Parce que le travail d’une vie ne doit être volé par personne et encore moins par l’Etat, nous augmenterons le plafond d’exonération des droits de succession de l’ordre de 50%. L’Etat sous-direction du Rassemblement Pour la République ne volera personne et encore moins le fruit d’une vie de travail que l’on souhaite transmettre au nom des liens du sang, à ses enfants ou son conjoint. Enfin, nous proposons une mesure qui j’en suis sur va faire les choux gras de la presse, mais qu’importe, nous œuvrons pour notre pays, pas pour le tirage papier des quotidiens nationaux : un plafonnement des salaires des dirigeants d’entreprises publiques avec un écart maximum de rémunération de 1 à 20. Et cela, pour l’ensemble des entreprises au sein desquelles l’Etat est actionnaire à plus de 50%. Au vu de la réussite de cette mesure en France, nous nous devons nous aussi de montrer l’exemple. Quant à ceux qui pensent qu’une telle mesure provoquera le départ des grands patrons, notre réponse est simple : si l’on ne peut pas vivre avec 1 000 pluzins par moins, on pourra certainement mieux vivre en étant plafonné à 20 000 pluzins par mois. Nous demandons de la décence. Ceux qui ne voulaient pas venir en Frôce ne venaient pas sans plafonnement, ils ne viendront toujours pas avec le plafonnement. Elle est là la vérité !

Applaudissements du public.

Voilà ce que je suis venu vous dire aujourd’hui dans cette belle ville d’Anglès. Mon message est le message d’une Frôce des valeurs et de l’ambition. D’une Frôce qui n’a pas peur d’apprendre de ses échecs. Nous n’aiderons personne, nous encouragerons chacun à faire de ses rêves, ses envies, ses projets, des réalités. Non je ne suis pas ici pour vous vendre un discours que l’on entend déjà ailleurs, vous vous en êtes rendu compte depuis le premier mot qui a été le miens ce soir devant vous. Nous sommes dans cette campagne la seule équipe digne de gouverner la Frôce parce que notre volonté n’est pas la volonté d’un clan ou d’un parti, mais la volonté d’une majorité de frôceux, qui, nous le savons, portera nos idées au sommet de la République. Je vous le demande une dernière fois, aidez-nous ! Aidez-nous à changer la vie, aidez-nous à changer notre mode de pensée ! Il est temps de faire la révolution économique et sociale dont la Frôce a tant besoin pour sortir du passéisme dans lequel le gouvernement socialo-communiste vient de la plonger. Votez et faites voter Rassemblement Pour la République !

Vive la République,
Vive la Frôce ! »

A la fin du discours de Vincent Valbonesi, la foule était debout, entonnant l’hymne national devant un parterre de caméras de télévisions et de photographes. Les flashs étaient incessants. Une vingtaine d’enfants s’étaient positionnés derrière le leader du parti pendant l’hymne national. A la fin de l’hymne, Vincent Valbonesi pris la parole.

« Mes chers amis,

Je vous remercie pour votre présence et votre soutien, je vous remercie pour tout l’amour que vous portez au parti qui nous rassemble aujourd’hui. C’est pour ces moments-là que je reviens à la tribune pour porter vos espoirs au sommet. Nous allons vaincre les forces ennemies si nous réussissons ensemble à convaincre une majorité de frôceux de nous suivre dans la voie, unique, que nous traçons. Je remercie chaleureusement MM. Charles Le Guen, Sébastien Capell et François Bertrand pour leur soutien et leur présence ici dans ce merveilleux Palais des Sports d’Anglès où vous étiez près de 12 000 à m’écouter. Je vous remercie toutes et tous pour votre aide qui est précieuse. Nous ne vous décevrons pas.

Vive la Frôce ! »

Vincent Valbonesi quitta la tribune définitivement pour rejoindre les milliers de militants dans un bain de foule sensationnel. Il signa un nombre incalculable d’autographes, il posa pour des centaines de photos. Il prit le temps de répondre aux questions de quelques journalistes à chaud à la fin de la réunion publique. Puis il s’engouffra dans les entraves du bâtiment pour rejoindre ses enfants et ses amis ainsi que d’autres personnalités politiques, des médias ou de la culture.
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