Arthur de MilonArthur Louis Nicolas de Milon, dit Arthur de Milon, né le 15 octobre 1979 (33 ans) à Aspen, est un avocat, chef d'entreprise et homme politique frôceux.
Il est marié depuis 2007 avec Charlotte Dalbard. Le couple a donné naissance à une fille, Clémence, née en 2009.
- Études et diplômes
- Baccalauréat littéraire (Lycée Henri IV, Paris) : 1997
- Licence en droit (Université d'Aspen) : 2000
- Master 2 en sciences politiques et institutionnelles (Université d'Harvard) : 2002
- Diplôme de journalisme (École de journalisme de Milan) : 2005
- Master 2 en droit public économique (Université d'Oxford) : 2006
- Doctorat en droit comparé (Faculté de la Sorbonne a Paris) : 2010.
- Fonctions ministérielles
- Ministre de l’Intérieur (Valbonesi I) : mai 2011
- Ministre de l’Intérieur (Kelmann I) : mai 2011 - juin 2011
- Ministre de l’Éducation, de l'Enseignement supérieur et de la Culture (Kusher I) : juin 2011
- Ministre des Finances, de l'Économie, du Commerce, de l’Industrie et du Budget (Montredon I) : février 2012
- Ministre des Transports et des Services publics (par intérim) (Montredon I) : février 2012
- Ministre de l'Environnement et de l'Agriculture (par intérim) (Montredon I) : février 2012
- Garde des Sceaux, Ministre de la Justice et des Institutions (Borgia I) : janvier 2013 - février 2013.
- Garde des Sceaux, Ministre de la Justice et des Institutions (Peruzzi I) : depuis février 2013.
- Fonctions parlementaires
- Député à l’Assemblée Nationale (Ve Législature) : mai 2011 - juin 2011
- Député à l’Assemblée Nationale (XXIIe Législature) : octobre 2011 - décembre 2011
- Député à l’Assemblée Nationale (XXIIIe Législature) : décembre 2011 - février 2012
- Député à l’Assemblée Nationale (XXXe Législature) : depuis janvier 2013.
- Vice-Président de l’Assemblée Nationale (XXXe Législature) : depuis mars 2013
- Mandats locaux
- Maire d'Aspen : avril 2011 - novembre 2011
- Fonctions judiciaires
- Avocat au barreau d'Aspen : depuis septembre 2007
- Avocat au barreau de Paris spécialisé en droit des affaires : depuis avril 2010.
- Fonctions politiques
- Membre du Parti Républicain Frôceux : avril 2011 - février 2012
- Porte-parole du Parti Républicain Frôceux : mai 2011 - novembre 2011
- Vice-Président du Parti Républicain Frôceux : novembre 2011 - février 2012
- Président du Parti Républicain Frôceux : février 2012
- Membre du Rassemblement pour une Droite forte : depuis janvier 2013
- Vice-Président du Rassemblement pour une Droite forte : janvier 2013 - mars 2013
- Président de facto du Rassemblement pour une Droite forte : depuis mars 2013
- Fonctions économiques et sociales
- Journaliste politique à Télé Actu : novembre 2005 - septembre 2007
- Présentateur de l'émission "Des paroles et des actes" sur Télé Actu : janvier 2006 - septembre 2007
- Directeur-adjoint de l'information de Télé Actu : mai 2007 - septembre 2007
- Grand reporter à Washington pour l’Agence d'information frôceuse : janvier 2008 - juin 2009
- Chef du service international de l'Agence d'information frôceuse : juin 2009 - septembre 2010
- Conseiller communication et presse à la Présidence de la République : septembre 2010 - janvier 2011
- Président du Conseil d'administration de la Régie des Transports d'Aspen, du Conseil d'administration de l'Aéroport international d'Aspen, du Conseil d'administration du Port maritime d'Aspen et du Conseil de supervision de l'Assistance publique - Hôpitaux d'Aspen (en qualité de Maire) : avril 2011 - novembre 2011
- Directeur de la communication de Frôce Airline : avril 2011 - janvier 2012
- Président du Conseil d'administration de l'Aspen Rugby Athlétic : depuis avril 2011
- Conseiller spécial à la Mairie d'Aspen : novembre 2011 - février 2012
- Président Directeur général de Frôce Airline : depuis janvier 2012
- Membre du Conseil national du patronat frôceux : depuis janvier 2013.
- Textes proposés et adoptés : un traité, 3 lois constitutionnelles, une loi organique et 7 lois ordinaires
- L 2013-05-13 : Loi sur la sécurité intérieure
- L 2011-12-01 : Loi sur la protection civile
- LC 2011-12-02 : Loi constitutionnelle relative à la continuité budgétaire de l’État frôceux
- L 2011-12-21 : Loi relative au travail dominical dans les zones touristiques de Frôce
- LO 2011-12-21 : Loi organique sur le règlement de l'Assemblée Nationale
- LC 2011-12-21 : Loi constitutionnelle relative à la vérification de la constitutionnalité des lois
- L 2012-02-13 : Loi de création des pôles de compétitivité
- L 2012-03-01 : Loi relative à la construction de l'aéroport de Casarastra
- TI 2013-01-26 : Traité de ratification de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales
- LC 2013-02-02 : Loi constitutionnelle sur la déclaration de politique générale
- L 2013-02-06 : Loi visant à reconnaître le vote blanc aux élections
- L 2013-02-08 : Loi relative à l'interdiction des signes religieux ostentatoires
- L 2013-?-? : Loi sur la magistrature
- L 2013-?-? : Loi d'orientation pour la sécurité intérieure
- Textes proposés mais rejetés : 2 lois constitutionnelles, une loi organique et 2 lois ordinaires
- Loi constitutionnelle sur l'absentéisme ministériel
- Loi sur l'instauration du chômage partiel
- Loi relative aux déductions fiscales pour la production territoriale (Défi-Prod)
- Loi constitutionnelle relative aux attributions des membres du Gouvernement
- Loi organique portant réforme économique et fiscale
- Élections
- Législative d'avril 2011 : non élu, mais récupère un mandat suite à une démission ;
- Municipale d'avril 2011 à Aspen : élu dès le premier tour avec 58,2% des suffrages ;
- Législative d'octobre 2011 : élu
- Élection du Président de l'Assemblée nationale d'octobre 2011 : battu
- Élection du Premier Ministre d'octobre 2011 : battu
- Présidentielle de novembre 2011 : battu au premier tour avec 8,43% des suffrages ;
- Municipale de novembre 2011 à Aspen : battu au premier tour avec 36,8% des suffrages ;
- Législative de décembre 2011 : élu
- Présidentielle de janvier 2012 : battu au second tour avec 47% des suffrages ;
- Législative de janvier 2013 : élu ;
- Présidentielle de février 2013 : battu au premier tour avec 20,93% des suffrages.
Arthur de Milon, issu d'une famille de la classe moyenne supérieure, est un enfant intelligent et curieux, plutôt calme pour son âge. Très tôt, à l'âge de neuf ans, il doit endosser les responsabilités qui incombent généralement aux adultes : abandonné par son père Louis, il prend en charge l'éducation de ses deux frères pour palier une mère absente - trop prise par son travail d'avocate. Ce n'est que bien plus tard qu'il reprendra contact avec son père, peu avant son décès en 2004. Il poursuit une scolarité sans histoire au cours de laquelle il fournit un travail régulier et appliqué. En 2000, il passe son baccalauréat littéraire qu'il obtient avec une mention "Bien". Il s'engage dans des études supérieures de sciences politiques en poursuivant sa formation à Oxford, puis Harvard et Munich. Master international de sciences politiques et institutionnelles en poche, il commence une seconde formation dans une école de journalisme à Milan en 2005. La vie milanaise est pour lui l'occasion de découvrir le monde people et de la nuit : il devient mannequin pendant ses études pour une célèbre marque italienne de mode, et fréquente assidument les lieux branchés de la capitale lombarde. Lassé par une vie personnelle inconséquente, il décide de rentrer en Frôce en janvier 2007 après une longue période d'introspection. Déjà introduit dans le milieu de la presse, il trouve sans mal un poste de journaliste politique au sein de la chaine "Télé Actu", au sein de laquelle il anime l'émission politique "Des paroles et des actes". Il y fait ses premières armes en Frôce en proposant un tour de l'actualité frôceuse en 20 minutes. Les taux d'audience le portent vite au sommet des hit-parades de popularité : son charme, son ton mordant et ses questions sans concession sont très appréciés des téléspectateurs qui le plébiscitent plus d'une fois. En juillet 2007, alors en pleine ascension, il devient correspondant permanent de la chaine aux États-Unis, poste qui finit d'asseoir sa notoriété et la reconnaissance de son professionnalisme. Nommé directeur-adjoint de l'information en mai 2008, il finit par démissionner en novembre à la suite d'un désaccord avec l'assemblée des actionnaires. C'est une période de calme dans sa vie professionnelle, temps de pause où il se rapproche de sa femme, Charlotte Dalbard, alors qu'elle travaillait au sein du service juridique de "Télé Actu". Il l'épouse en décembre 2008. De leur union naîtra Clémence le 6 juin 2009. Moment aussi pour lui de faire le point et de relancer sa carrière. En janvier 2009, il est embauché comme grand reporter par l'AIF, à Washington. Promu chef du service international de l'AIF en juillet 2010, il reprend ses études et suit les cours de la faculté de droit de La Sorbonne à Paris. En avril 2011, il engage une seconde carrière professionnelle comme directeur de la communication de Meade Airline, compagnie dont il deviendra le président directeur général en octobre 2011 et qu'il fait rebaptiser à cette occasion Frôce Airline. Il est inscrit aux barreaux d'Aspen et de Paris comme avocat spécialisé en droit des affaires.
Arthur de Milon adhère au Parti Républicain Frôceux en avril 2011, parti dont il deviendra le Porte-parole en mai 2011. Suite à la démission du Vice-président du PRF, en novembre, il est choisi pour succéder à ce poste et devient ainsi numéro 2 du mouvement, sous la présidence de Vera Kalachnikova. Chargé au sein du PRF de la préparation du projet électoral, il incarne avec celle-ci ainsi qu'avec le porte-parole Julian Robson la nouvelle direction du parti, jeune et dynamique. Introduit sur la scène intérieure frôceuse en juillet 2010, de Milon fera ses débuts en politique aux côtés du président Louis-Damien Lacroix de Beaufoy en septembre 2010 tant que conseiller chargé de la communication et des relations avec la presse jusqu'en janvier 2011. Mais ce n'est qu'en avril 2011 qu'il s'engage dans un scrutin national. Cette première expérience du suffrage populaire sera aussi pour lui le souvenir d'une première défaite qui lui refuse l'entrée à l'Assemblée nationale. Cet échec ne le décourage pas, et Arthur se lance dans la conquête de la charge de premier édile de la mairie d'Aspen. Élu dès le premier tour avec plus de 58% des suffrages, il devient Maire de la capitale politique frôceuse le 20 avril 2011. Cette victoire est vite suivi par une revanche personnelle sur l'élection législative précédente : à la suite de l'investiture de Mays Madarjeen à la présidence de la République, de Milon récupère la représentation parlementaire de son ami (soit 19 députés). A partir de cet instant, Arthur de Milon occupera fréquemment un poste au gouvernement. Nommé ministre de l'Intérieur du Gouvernement Valbonesi, puis reconduit sous le Gouvernement Kelmann en mai 2011. Il occupera ensuite la charge de ministre de l'Éducation, de l'Enseignement supérieur et de la Culture dans le Gouvernement Kusher. Ce changement de portefeuille s'explique par les retombées sur le ministère de l'Intérieur de l'affaire Habsbourg, un scandale hautement médiatisé. Arthur de Milon tente de nouveau l'aventure législative et se représente en octobre 2011, après avoir dû s'absenter durant plus de cinq mois de la scène politique suite à son agression par un professeur à Salusa et une période de coma prolongée. Il est élu représentant parlementaire - en réalisant du même coup le 5e score national - et coordonne 26 députés, mais rate de peu les fonctions de Premier Ministre et de Président de l'Assemblée nationale. Il échoue également lors de l'élection présidentielle du mois suivant, avec 8,5% des intentions de vote (4e position). De même, il est sévèrement battu lors de l'élection du Maire d'Aspen. Son inactivité lui est fortement reprochée. Néanmoins, le nouveau maire lui confie un poste de conseiller spécial, reconnaissant ainsi son expérience municipale. Lors des législatives de décembre 2011, Arthur est réélu mais dispose d'un groupe plus restreint de 16 députés. Suite à la démission surprise du président Fevernov et du fait de l'organisation d'élections présidentielles anticipées, il est désigné comme candidat unique de la droite frôceuse par le Forum des Droites, alliance entre le PRF et le Parti Libéral-Conservateur (PLC). Il est battu de près au second tour par Henri Quinault, le candidat de la gauche, malgré son score important : il a réunit presque 47% des suffrages. Arthur de Milon devient président du PRF en février 2012. Il fait également son retour au Gouvernement au Ministère des Finances, de l’Économie, du Budget, du Commerce et de l'Industrie, en tant que technicien dans l'équipe du Premier Ministre indépendant Laurent de Montredon. A la suite des deux démissions successives de ses colistiers, il récupère plusieurs sièges et coordonne à présent 24 députés à l'Assemblée nationale : il est le deuxième représentant parlementaire en termes de nombre de députés. Le 13 février, il récupère l'intérim de deux ministères : Transports et des Services publics d'une part, Environnement et Agriculture d'autre part. Le 18 février, sans raison particulière, il décide de mettre un terme à sa carrière politique. Il démissionne alors de tous ses mandats et de toutes ses fonctions. Arthur de Milon fait son grand retour en politique en janvier 2013. Il s'engage alors au Rassemblement pour une Droite Forte, mais décide de ne pas se présenter sur la liste du parti pour les élections législatives. Arthur de Milon est nommé Vice-président du RDF en janvier 2013, puis Garde des Sceaux dans le Gouvernement Borgia I.
Arthur de Milon adhère au Parti Républicain Frôceux en avril 2011, parti dont il deviendra le Porte-parole en mai 2011. Suite à la démission du Vice-président du PRF, en novembre, il est choisi pour succéder à ce poste et devient ainsi numéro 2 du mouvement, sous la présidence de Vera Kalachnikova. Chargé au sein du PRF de la préparation du projet électoral, il incarne avec celle-ci ainsi qu'avec le porte-parole Julian Robson la nouvelle direction du parti, jeune et dynamique. Introduit sur la scène intérieure frôceuse en juillet 2010, de Milon fera ses débuts en politique aux côtés du président Louis-Damien Lacroix de Beaufoy en septembre 2010 tant que conseiller chargé de la communication et des relations avec la presse jusqu'en janvier 2011. Mais ce n'est qu'en avril 2011 qu'il s'engage dans un scrutin national. Cette première expérience du suffrage populaire sera aussi pour lui le souvenir d'une première défaite qui lui refuse l'entrée à l'Assemblée nationale. Cet échec ne le décourage pas, et Arthur se lance dans la conquête de la charge de premier édile de la mairie d'Aspen. Élu dès le premier tour avec plus de 58% des suffrages, il devient Maire de la capitale politique frôceuse le 20 avril 2011. Cette victoire est vite suivi par une revanche personnelle sur l'élection législative précédente : à la suite de l'investiture de Mays Madarjeen à la présidence de la République, de Milon récupère la représentation parlementaire de son ami (soit 19 députés). A partir de cet instant, Arthur de Milon occupera fréquemment un poste au gouvernement. Nommé ministre de l'Intérieur du Gouvernement Valbonesi, puis reconduit sous le Gouvernement Kelmann en mai 2011. Il occupera ensuite la charge de ministre de l'Éducation, de l'Enseignement supérieur et de la Culture dans le Gouvernement Kusher. Ce changement de portefeuille s'explique par les retombées sur le ministère de l'Intérieur de l'affaire Habsbourg, un scandale hautement médiatisé. Arthur de Milon tente de nouveau l'aventure législative et se représente en octobre 2011, après avoir dû s'absenter durant plus de cinq mois de la scène politique suite à son agression par un professeur à Salusa et une période de coma prolongée. Il est élu représentant parlementaire - en réalisant du même coup le 5e score national - et coordonne 26 députés, mais rate de peu les fonctions de Premier Ministre et de Président de l'Assemblée nationale. Il échoue également lors de l'élection présidentielle du mois suivant, avec 8,5% des intentions de vote (4e position). De même, il est sévèrement battu lors de l'élection du Maire d'Aspen. Son inactivité lui est fortement reprochée. Néanmoins, le nouveau maire lui confie un poste de conseiller spécial, reconnaissant ainsi son expérience municipale. Lors des législatives de décembre 2011, Arthur est réélu mais dispose d'un groupe plus restreint de 16 députés. Suite à la démission surprise du président Fevernov et du fait de l'organisation d'élections présidentielles anticipées, il est désigné comme candidat unique de la droite frôceuse par le Forum des Droites, alliance entre le PRF et le Parti Libéral-Conservateur (PLC). Il est battu de près au second tour par Henri Quinault, le candidat de la gauche, malgré son score important : il a réunit presque 47% des suffrages. Arthur de Milon devient président du PRF en février 2012. Il fait également son retour au Gouvernement au Ministère des Finances, de l’Économie, du Budget, du Commerce et de l'Industrie, en tant que technicien dans l'équipe du Premier Ministre indépendant Laurent de Montredon. A la suite des deux démissions successives de ses colistiers, il récupère plusieurs sièges et coordonne à présent 24 députés à l'Assemblée nationale : il est le deuxième représentant parlementaire en termes de nombre de députés. Le 13 février, il récupère l'intérim de deux ministères : Transports et des Services publics d'une part, Environnement et Agriculture d'autre part. Le 18 février, sans raison particulière, il décide de mettre un terme à sa carrière politique. Il démissionne alors de tous ses mandats et de toutes ses fonctions. Arthur de Milon fait son grand retour en politique en janvier 2013. Il s'engage alors au Rassemblement pour une Droite Forte, mais décide de ne pas se présenter sur la liste du parti pour les élections législatives. Arthur de Milon est nommé Vice-président du RDF en janvier 2013, puis Garde des Sceaux dans le Gouvernement Borgia I.
