Retour aux affaires républicaines
Vous vous rappelez sans doute des Coulisses. Du temps où République et Coulisses étaient séparés par un article indéfini. Pourquoi ce changement dans le nom? D'abord pour inaugurer une nouvelle période, ensuite parce que la Frôce n'a rien à envier aux autres pays qui ont la même forme de gouvernement.
Ce blog résumera mon humeur du moment. Je parlais de différents thèmes qui parfois peuvent n'avoir aucun lien, j'exprimerai simplement ma pensée et mes réactions. Il n'a pas l'ambition d'informer ou d'avoir un caractère journalistique mais plutôt de commenter l'actualité, les faits, les situations ou les personnes.
A quoi sert d'aiguiser les couteaux quand on peut simplement aller au bout des idées, et puis je n'ai pas la réputation de marmonner ce que je pense. La plupart de mes billets seront consacrés à la critique du socialisme et de la gauche en général partout dans le monde. De la même manière, je m'efforcerai de m'opposer à la pensée unique qui gangrène les sociétés occidentales et ce principalement à cause d'idée et de clivages traditionnels imposés par les médias. Que ce soit sur les problèmes communautaires (liés à l'intégration, les conflits de religion et de culture) qui n'ont rien à voir ni avec une forme de racisme ni avec une forme de racisme rationnel pour légitimer une hiérarchisation des races qui ne serait qu'intellectuellement bas et malhonnête en plus d'être stupide. Je distingue donc la culture et la race, dans le regard un peu Zemmourien que je pourrai avoir dans mes raisonnements, bien que je lui reproche sa pensée trop rigide en terme de systèmes et le fait qu'il prenne aussi peu de temps pour nuancer ses arguments à la télé alors qu'il sait si bien le faire lors des cafés-débats ou des conférences.
Vous l'aurez compris, je suis beaucoup l'actualité de notre voisin français qui, par notre faute, a du renoncer à son appellation d'hexagone.
C'est donc pour cette raison que je n'hésiterai pas à citer l'universitaire Malika Sorel dans mes raisonnements pour les développer.
Au delà de ces problèmes sociologiques, je m'intéresserai également beaucoup à l'économie en tentant de démontrer pourquoi le système libéral a échoué (notamment parce qu'il n'a jamais été effectif de façon complète). Car ce qui est étonnant, c'est de voir que le système libéral échoue pour les mêmes raisons que le système communiste : une rupture idéologique.
Les communismes du XXè siècle n'étaient qu'une forme d'aristocratie à ceci près que les aristos étaient les "meilleurs" camarades du parti et non, comme en pleine Antiquité, le regroupement d'hommes valeureux qui ont mérité leur statut soit par héritage familial, soit pour des actes de bravoure pour lesquels ils ont eu une adhésion qui leur aura permis de détenir un certain nombre de pouvoirs au sein de la société.
Le communisme a échoué parce qu'il n'a jamais existé de manière effective sur un territoire. La notion d'Etat présente dans les régimes dits "communistes" suffit à prouver cet échec et cette inapplication des préceptes marxistes (Marx dont on déforme si souvent la pensée), rendant ainsi pas nécessaire la démonstration précise et analytique d'un point de vue politique et économique.
Dixit Depardieu, un gouvernement minable.
Stefano Perruzzi était si brillant lorsqu'il fallait coûte que coûte faire dans la logorrhée partisane, cachant ainsi un raisonnement simpliste, punitif à l'égard des riches et faussement sincère vis à vis des plus défavorisés. Perruzzi est à l'image de son gouvernement : faible et inexistant.
Consacrer du temps au travail est une chose, mais ne pas communiquer sur ce travail et sur cette absence d'action en est une autre. Gouvernement de la République Frôceuse, le peuple attend que tu lui dises ce qui se passe.
Oui j'exagère ma critique parce qu'après tout c'est mon rôle d'opposant d'être rude et de pointer du doigt les défauts de la coalition au pouvoir, surtout à un moment aussi proche des prochaines échéances. Oui j'éluderai volontairement le peu d'activité que j'ai eu en étant ministre, qui s'explique par un travail sur trois textes dont un dernier allait être présenté avant que la chute du Gouvernement Borgia ne sonne la fin du temps de grâce pour la droite libérale conservatrice qui, sans aucun doute, aura vécu son apogée.
Le problème de la gauche, c'est qu'elle s'est toujours servie du malaise pour en faire une arme d'attaque.
Syndrome de la pensée unique
Un peu comme la gauche Mitterrandienne et son prototype "Harlem Désir" pour rassurer la frange antiraciste de la population française alors qu'en réalité ça n'aurait fait que remuer le couteau dans la plaie en intégrant dans les consciences une frustration et un manque total de la liberté d'expression. Je ne dis pas que les racistes ont le droit d'exprimer leur haine mais qu'il ne faut pas laisser les lobbys contrôler l'élite intellectuelle (qui se résume à l'élite médiatique en France) en voulant forcer l'assimilation de toute pensée critique à une forme de racisme ou de discrimination. Encore faudrait-il que cette même élite fasse la différence entre ces deux termes complémentaires dans les cas où le racisme intervient pour défavoriser pour des raisons stupides et irrationnelles.
J'ai tant de choses à exprimer sur cette pensée unique. Mais j'aurai le temps d'y revenir, estimant ce premier article suffisamment complet.
Vive la République. Vive la Frôce.