Le Baromètre Médiatique - Janvier 2013
Le baromètre médiatique fait le point sur le nombre de citations dans la presse (Télés, Radios, Journaux et Magazines) des principales figures politiques du pays lors du mois écoulé. Pour ce mois de Janvier 2013, les sources principales sont : Canal 4, TCF, P.A.B-Radio, L’Essentiel Magazine et Le Temps.
Marqué par des élections législatives, ce mois de Janvier a vu deux gouvernements se succéder. Le premier d'entre eux, marqué à Gauche, mené par un Joseph Vossen démissionnaire le 21 Janvier, s'est vu remplacé par un gouvernement de Droite, mené par Valentino Borgia.
Nous retrouvons ces deux cadors exæquo sur la première marche. Valentino Borgia, figure de proue de l'opposition en début de mois, et tête de liste de l'ADL lors des élections législatives, s'est mué en Premier Ministre. Très actif dans les médias avant sa victoire électorale, il reste incontournable depuis son accession à l'Hôtel Belley. Son adversaire et prédécesseur à cette prestigieuse adresse, Joseph Vossen, recueille lui aussi 31 citations. Annoncé comme retraité de la vie politique, il bénéficie ici d'une fin de mandat sous les projecteurs et d'une campagne virulente de la part de ses détracteurs. Gageons que Monsieur Vossen ne disposera, pour le mois à venir, pas de la même exposition médiatique.
Les éléphants du PSD, Benjamin McGregor et Luca Pappa (élu à la tête du parti social-démocrate lors du moi écoulé), avant de devenir des opposants de choix, ont été présents dans les médias pour leur travail gouvernemental. Ils ont chacun bénéficié d'une visibilité certaine grâce à de longues interviews, notamment dans le Temps.
Arthur Carapin (Union des Patriotes Frôçeux) talonne les anciens ministres PSD, avec 16 citations également, et voit arriver dans son rétroviseur son historique concurrente à la Droite de la Droite, Marie Delaunay (Alliance Nationale), avec 14 citations. Leurs campagnes respectives actives et les différentes discussions entamées avec l'ADL de Borgia, ont entrainées une forte présence dans les médias.
La suite du classement fait apparaitre, au coude à coude, plusieurs autres leaders politiques incontournables. Au même niveau, nous retrouvons ainsi l'historique leader de la Gauche radicale, Hugo Salinovitch (cofondateur du Rassemblement Socialiste et Écologiste), et l'étoile montante de la Droite Frôçeuse, Arthur Le Guen (Président-Fondateur du Rassemblement pour une Droite Forte, et actuel Ministre des Affaires Étrangères). Si le second s'est montré incontournable lors de la dernière campagne, multipliant les interventions et les critiques sur le gouvernement sortant, Salinovitch s'est quant à lui plutôt montré discret. Et si certains observateurs pourront s'estimer surpris de le voir ainsi figurer dans le baromètre, d'autres l'expliqueront aisément par l'influence qu'il continue d'exercer à Gauche (et notamment au RSE dont les résultats aux Législatives ont dépassés beaucoup d'attentes).
Dans le ventre mou du classement, François Askalovitch (fondateur du Centre Humaniste), est appelé à prendre une dimension plus grande encore en endossant un rôle "d'opposant constructif". Priam Pastor, membre de l'Alliance Nationale à la réputation sulfureuse, devrait aussi bénéficier d'une place autrement plus grande dans les médias, avec des premières sorties remarquées qui n'ont pas manquées de choquer (sur la Carte CYAN ou son projet de loi sur l'Immigration).
Dans le bas du classement, les ministres Arthur de Milon, Abigail Tomas et Paul Rogin, ne jouissent pas encore de la visibilité qui devrait être la leur. Il en va de même pour Louis-Damien Lacroix de Beaufoy, à la tête de l'Alliance Républicaine et Citoyenne, aussi peu exposé que son mouvement politique.
La Présidente Asuka Finacci, avec une seule citation dans les médias, ne fait assurément pas de vagues. Si sa fonction exige effectivement d'être au dessus des débats, son manque probant d'exposition médiatique est tout à fait remarquable. Pareillement pour Sébastien Capell que nous n'entendons plus depuis l'affaire Kent & Derek.
Parmi les autres enseignements de ce baromètre de Janvier, notons l'influence toujours intacte de feu Laurent de Montredon qui, avec 10 citations, figure en bonne place. Les anciens ministres de Gauche, Marc de Saint-Imberb et Thomas Rolland restent en embuscade (avec respectivement 10 et 9 citations). Du côté du bas du classement, Élise Lantier (4 citations) et Zélie Saint-Déodat (3 citations) fraichement basculées dans le camps de l'opposition, n'ont été que peu présentes dans les médias durant leurs mandats passés respectifs.
Nous retrouvons ces deux cadors exæquo sur la première marche. Valentino Borgia, figure de proue de l'opposition en début de mois, et tête de liste de l'ADL lors des élections législatives, s'est mué en Premier Ministre. Très actif dans les médias avant sa victoire électorale, il reste incontournable depuis son accession à l'Hôtel Belley. Son adversaire et prédécesseur à cette prestigieuse adresse, Joseph Vossen, recueille lui aussi 31 citations. Annoncé comme retraité de la vie politique, il bénéficie ici d'une fin de mandat sous les projecteurs et d'une campagne virulente de la part de ses détracteurs. Gageons que Monsieur Vossen ne disposera, pour le mois à venir, pas de la même exposition médiatique.
Les éléphants du PSD, Benjamin McGregor et Luca Pappa (élu à la tête du parti social-démocrate lors du moi écoulé), avant de devenir des opposants de choix, ont été présents dans les médias pour leur travail gouvernemental. Ils ont chacun bénéficié d'une visibilité certaine grâce à de longues interviews, notamment dans le Temps.
Arthur Carapin (Union des Patriotes Frôçeux) talonne les anciens ministres PSD, avec 16 citations également, et voit arriver dans son rétroviseur son historique concurrente à la Droite de la Droite, Marie Delaunay (Alliance Nationale), avec 14 citations. Leurs campagnes respectives actives et les différentes discussions entamées avec l'ADL de Borgia, ont entrainées une forte présence dans les médias.
La suite du classement fait apparaitre, au coude à coude, plusieurs autres leaders politiques incontournables. Au même niveau, nous retrouvons ainsi l'historique leader de la Gauche radicale, Hugo Salinovitch (cofondateur du Rassemblement Socialiste et Écologiste), et l'étoile montante de la Droite Frôçeuse, Arthur Le Guen (Président-Fondateur du Rassemblement pour une Droite Forte, et actuel Ministre des Affaires Étrangères). Si le second s'est montré incontournable lors de la dernière campagne, multipliant les interventions et les critiques sur le gouvernement sortant, Salinovitch s'est quant à lui plutôt montré discret. Et si certains observateurs pourront s'estimer surpris de le voir ainsi figurer dans le baromètre, d'autres l'expliqueront aisément par l'influence qu'il continue d'exercer à Gauche (et notamment au RSE dont les résultats aux Législatives ont dépassés beaucoup d'attentes).
Dans le ventre mou du classement, François Askalovitch (fondateur du Centre Humaniste), est appelé à prendre une dimension plus grande encore en endossant un rôle "d'opposant constructif". Priam Pastor, membre de l'Alliance Nationale à la réputation sulfureuse, devrait aussi bénéficier d'une place autrement plus grande dans les médias, avec des premières sorties remarquées qui n'ont pas manquées de choquer (sur la Carte CYAN ou son projet de loi sur l'Immigration).
Dans le bas du classement, les ministres Arthur de Milon, Abigail Tomas et Paul Rogin, ne jouissent pas encore de la visibilité qui devrait être la leur. Il en va de même pour Louis-Damien Lacroix de Beaufoy, à la tête de l'Alliance Républicaine et Citoyenne, aussi peu exposé que son mouvement politique.
La Présidente Asuka Finacci, avec une seule citation dans les médias, ne fait assurément pas de vagues. Si sa fonction exige effectivement d'être au dessus des débats, son manque probant d'exposition médiatique est tout à fait remarquable. Pareillement pour Sébastien Capell que nous n'entendons plus depuis l'affaire Kent & Derek.
Parmi les autres enseignements de ce baromètre de Janvier, notons l'influence toujours intacte de feu Laurent de Montredon qui, avec 10 citations, figure en bonne place. Les anciens ministres de Gauche, Marc de Saint-Imberb et Thomas Rolland restent en embuscade (avec respectivement 10 et 9 citations). Du côté du bas du classement, Élise Lantier (4 citations) et Zélie Saint-Déodat (3 citations) fraichement basculées dans le camps de l'opposition, n'ont été que peu présentes dans les médias durant leurs mandats passés respectifs.