[19 sep] Déplacement à Rome

[Gavroche Finacci]

On a tous eu des carrières plus ou moins mouvementées, si le tiers de ce que j'ai fait pour accéder à la formule 1 était connu, je perdrais ma place.

Ma traductrice habituelle, Rosalinda Hanke, sera chargée de mener à bien les transactions, c'est la seule personne à qui je fasse confiance hors de ma famille, donc je pense que le risque de propagation de la nouvelle est extrêmement faible. Vous aurez très vite de ses nouvelles concernant le versement de 400 000 euros.

A moins que vous ayez envie de discuter d'un sujet en particulier, je pense qu'il est temps pour moi de quitter ces lieux afin d'écarter un maximum les soupçons sur notre discussion.

[Silvio de Bratt]

Je pense que nous avons fait le tour des principaux sujets d’actualité. Des accords ont été conclus plus ou moins de manière officielle, je ne peux que me satisfaire, ainsi que mon Gouvernement de l’issue de notre rencontre diplomatique, la première d’une longue série je l’espère. Dans tous les cas, la signature d’accords économiques me semble importante, je souhaiterais donc qu’un membre du Gouvernement italien puisse se rendre en Frôce à la date de votre convenance pour engager des accords commerciaux bilatéraux.

[Gavroche Finacci]

La date du mercredi 3 octobre vous conviendrait-elle ?

[Silvio de Bratt]

Pair : Oui pour le ministre des Affaires étrangères
Impair : Oui pour le ministre de l'Economie

[Silvio de Bratt]

Le ministre des Affaires étrangères de mon Gouvernement se rendra dans votre pays pour une rencontre bilatérale le mercredi 3 octobre 2012. C’est parfait.
Souhaitez-vous aborder un autre sujet ou nous pouvons conclure cette rencontre ?

[Gavroche Finacci]

Je pense que nous pouvons mettre un terme à cet entretien qui a été très propice pour nous tous. Je vous remercie, monsieur le président du Conseil.

[Silvio de Bratt]

Je vous souhaite un bon retour dans votre pays monsieur le Premier ministre. Vous êtes toujours le bienvenue en Italie. Au revoir.

[Gavroche Finacci]

Gavroche quitte la salle et dit à Alessandra

Voilà, je leur ai fait savoir que l’État frôceux n'était décemment pas en mesure de s'adonner à la corruption et qu'il serait meilleur de discuter d'autres choses, nous avons arrangé un rendez vous en Frôce le 3 octobre concernant l'opportunité de négocier des accords commerciaux, je pense qu'il sera bon d'inviter le ministre d’État à cette réunion.

[Alessandra Gasparini]

Je suis bien d'accord avec vous Monsieur le Premier Ministre... En plus payer une sommes aussi importante pour un hypothétique soutient d'une seule nation, cela me semble totalement disproportionné.

[Gavroche Finacci]

C'est vrai qu'ils y vont fort, le ministère des affaires étrangères a déjà un petit budget. Espérons que les espagnols accepteront de soutenir contre quelques blablas, c'est quand même important d'avoir un gros pays comme soutien net.