[RPG/ZP] Grande Salle de France - Concertation Logement

[Hugo Salinovitch]

Hugo serra la main de son nouveau voisin. Il lui chuchota:

Bonjour cher collègue. J'espère que cela va avancer, qu'on ne vient pas pour rien. Cela se passe bien chez vous?

[Alessandro de Bourbon-Siciles]

Les finances sont passées au orange. Mais j'ai bien peur d'avoir encore à prendre des décisions douloureuses. Nous avons quand même réussi à nous dégager un peu d'air. Et pour vous ?

[Hugo Salinovitch]

Pareil, nous sommes sur la bonne pente, il faudrait une aide de l’État mais aussi e nouvelles entrées d'argent.

[Alessandro de Bourbon-Siciles]

Sujet épineux que celui d'une aide gouvernementale. J'ai été pris à partie par des partisans de la veuve de Laurent de Montredon, si jamais j'accepte une aide de l'Etat ... j'ai bien peur de me retrouver pendu haut et court.

[Hugo Salinovitch]

Toujours des spécialistes pour commenter. Vous avez bien vu la réaction de certains pour mon cas? Alors que personne à Orgues s'en plaint au contraire.

[Benjamin McGregor]

Bien messieurs, je dois avouer que le texte "Cypher", initialement repris, était tout à fait inutile et même contradictoire avec le code du logement. Dès lors, je propose que nous partons de ce code pour voir là où ca ne va pas et le modifier pour faciliter les choses. Je met sur la table une diminution du pourcentage actuel à 20% sur une même période d'adaptation.

[Hugo Salinovitch]

Prenant la micro devant lui, Hugo déclara:

Monsieur le Ministre. Tout d'abord, nous sommes ici en tant que maire. Vous parlez d'un texte "cypher", je m'étonne. Le gouvernement n'est-il pas solidaire? Mais ceci est un autre débat.

Monsieur le Ministre, si vous permettez, nous ne sommes pas là pour parler de chiffres, nous ne sommes pas au commerce. Mais la seule question qui nous intéresse est la méthode: comment faire, et qui va payer?

[Abigail Tomas]

Je suis d'accord avec M. Salinovitch. La question n'est pas 20% est-ce mieux que 25% ? Ce ne sont que des comptes d'apothicaire. Vous êtes Ministre, c'est donc à vous de déterminer une politique sociale de la ville responsable, équilibrée et cohérente que nous ne pourrons qu'approuver.
A vrai dire je ne comprends pas le but de cette réunion. Vous "mettez sur la table" des objectifs comme un joueur de poker, sans jamais nous révéler votre jeu et nous parler des moyens à notre disposition pour atteindre ces objectifs. C'est un fouillis complet.

[Benjamin McGregor]

Je comprends bien votre étonnement mais je réinsiste. Le texte initial n'engage que le gouvernement précédent, pas moi. Le texte initial, rédigé par le ministre précédent, à savoir monsieur Cypher, qui a fait débat dans cette salle et en débat public est inutile puisque le code du logement détermine qui s'occupe de quoi et comment. Dès lors, s'il faut une aide de l'Etat pour aider aux désendettement des communes, il faudra que j'en parle en conseil des ministres avec mon collègue chargé de la Loi des Finances. Par ailleurs, au contraire, nous parlons ici du code du logement et le seul endroit où le gouvernement peut faire quelque chose c'est baisser le pourcentage exigé afin que l'objectif soit plus abordable et moins conséquents financièrement. Pour ce qui concerne la politique des villes, c'est la que se pose encore une fois le problème, les villes doivent discuter avec l'Agence Frôceuse du Logement. C'est elle qui gère la politique du logement. C'est l'AFL qui à la tâche d'acquérir ou de construire assez de logements, pour loger toutes les personnes faisant une demande de logement social.
Pour vous répondre, Madame Tomas, il ne s'agit pas d'une diminution de 25% à 20% mais de 35% que vous êtes censé tenter d'atteindre déjà aujourd'hui. Je vous renvoi au code du logement qui stipule ceci : Chaque ville de Frôce de plus de 3500 habitants et tenue de posséder un parc d'au moins 35% de logement social, sur le parc total du logement. En cas de non respect de la loi, les communes sont mises en demeure par l'AFL à payer la sommes de 500 000 plz par an. C'est pourquoi un texte, comme celui présenté initialement, est inutile.

[Hugo Salinovitch]

Monsieur le ministre,

Je le dis au nom de mes collègues, cela ne nous intéresse pas que vous vous sentiez ou pas personnellement lié à l'ancien texte. Nous venons rencontrer le ministre t no la personne.

Une fois dit ceci, je n'ai pas parlé d'aide aux communes, du moins pas publiquement mais à mon voisin, donc là encore, je ne comprends pas votre remarque.

Sur le sujet enfin, la seule chose qui nous intéresse aujourd’hui, j'ai une question. L'AFL construit les logements, très bien! Alors pourquoi sommes-nous ici? Qu'elle agisse, pas de problème! Pour ma part, nous dépassons déjà les 25% donc....Mais même si ce n'était pas le cas, c'est son travail, comme vous nous l'avez rappelé, donc je ne comprends pas notre présence ici.