Réagissez !

[Thomas Rolland]

Même s'il semble avoir du parti pris, je remerci ce média de m'avoir un peu éclairci au niveau de l'actualité.

[Hervé GATEAU]

Monsieur McGregor, je crains que vous n'ayiez pas bien écouter mon intervention.

Montredon Président, un premier ministre vraiment FDF au Gouvernement avec De Milon en ministre à côté? Je rigole déjà.

Effectivement Laurent de Montredon s'était affiché indépendant au moment où Arthur de Milon était ministre de son gouvernement. Mais Laurent de Montredon provenait bien de vos rangs que cela vous plaise ou non comme que celui plaise à l'intéressé ou non d'ailleurs puisqu'il avait tenté de s'écarter de son ancien parti. De plus, de nombreux ministres FDF, malgré l'entrée au gouvernement d'Arthur de Milon, sont restés au gouvernement ... S'il y avait eu une condamnation de la décision du Premier Ministre de l'époque par la FDF, je doute que ces ministres soient restés en place.

Soit. Ensuite, la période de stabilité de la Frôce ne se résume qu'a deux mois? Les deux mois ou Montredon a été très médiatisé

Votre rancune envers Laurent de Montredon et PAB vous égare. Les deux mois de stabilité auxquels je fais référence sont les deux mois où vous êtiez Premier Ministre.
Maintenant, si vous ne vous souvenez plus qu'en décembre/janvier dernier vous êtiez Premier Ministre, je ne peux guère vous éclairer plus.

Asuka Finacci n'était pas stable? Madarjeen n'était pas stable? Fevernov n'était pas stable?

Hormis Monsieur Fevernov, qui était bien Premier Ministre, il me semble que Madame Finacci n'était pas au pouvoir de l'automne 2011 à l'été 2012, tout comme Monsieur Madarjeen.
Quant à votre gouvernement, pour la premier en tous cas, oui, il s'inscrit bien dans la stabilité comme je l'ai déjà dit.

Pour terminer, j'aimerais vraiment que vos inimitiés envers Monsieur Letcheque ne faussent pas votre image de PAB. Comme je viens de vous le prouver, c'est actuellement le cas.

[Luca Pappa]

Si je peux me permettre, il semblerait que mon ami Benjamin ai voulu parler d'époque de stabilité. En effet, je pense, comme lui, que la République est stable depuis mars 2011 monsieur Gateau. A cette époque, le gouvernement Adelie 1 ramenait, avec l'union nationale, un peu de stabilité dans la politique et la République qui avaient connu plus de quatre Premier ministre en deux mois. Ensuite, les gouvernements de droite conservatrice et de centre-droit se sont alterné rapidement pour des causes de décès mais la stabilité n'a pas réellement été remise en cause. On était loin d'une crise politique. Viennent ensuite les gouvernements Fevernov 1, Kusher 2, McGregor 1 et 2 et là s'arrête la période de réelle stabilité gouvernementale et politique. Deux petits mois dans le flou et la République redémarre avec les gouvernements Valbonesi 2, Salinovitch 1, bien qu'on puisse relativiser la stabilité de ce gouvernement là, et Dellas 1. Personnellement j'en arrive à près 16 mois de réelle stabilité, sans compter l'époque où la République commençait à vivre.

[Benjamin McGregor]

Sachez, monsieur Gateau, que je me rappelle avoir été Premier Ministre à cette époque. Je ne conteste pas ce point là, je conteste le fait que vous résumiez la prétendue seule période de stabilité aux deux mois où Montredon a été fort médiatisé puisqu'après est venu la triste époque Salinovitch et l'apogée du Montredonisme.

[François Bertrand]

Je ne suis pas indécis. J'ai annoncé ma démission et tant qu'il n'y aura pas M. Dellas pour en prendre acte, alors j'attends. Déjà qu'il semble avoir abandonné le gouvernement, je ne vais pas faire de même. Sinon et comme je l'ai dis, on tranche la tête de ce gouvernement. J'ai le sens des responsabilités.
Au delà de ma démission, c'est Maxime Dellas qui a présenté la sienne.

[Marc de St Imberb]

Monsieur de Saint Imberb, interrogé par une journaliste "Micro-Trottoir" à la sortie du siège du PSD à Aspen..

-Monsieur de St Imberb, que pensez-vous des Interviews des différentes tête de listes, publiées par l'AIF ?

Écoutez, je pense que chaque candidat à été fidèle à lui même et a répondu de manière franche et claire à chaque question, ce qui est primordial et je trouve que c'est une bonne chose. Pour le reste, vous connaissez ma position et plus largement celle du PSD concernant les différents programmes. Je regrette seulement que la Droite entière se refuse à monter un gouvernement avec des hommes de Gauche. Faire de la politique, c'est également faire en sorte qu'aucune voix représentant le peuple ne soit mise de côté.

-Qu’espérez-vous du prochain gouvernement ?

Une présence ministérielle.

-On vous a beaucoup vu pendant cette campagne, lors des débats et des rassemblements. Quels sont vos plans, pour après la campagne ?

Un peu de repos, et un bon café ! Bonne journée, mademoiselle.

[Marc de St Imberb]

Je suis absolument désabusé par le comportement du Parti pour la Liberté, qui vote massivement contre mon projet de Conseil National du Sport sans même prendre la peine de débattre à ce sujet ! Le PPL se croit sans doute au-dessus des débats nationaux qu'il juge indignes de son intérêt ? Il s'agit d'un vote formé par pur esprit de contradiction et de destruction !

[Yékèlz Tolöî]

Qu'un membre du gouvernement ose dire ça... Allez donc voir à quel point nous sommes museler avant de proférer de telles paroles.
Vos ministres refusent le débat parlementaire, remettent en cause la constitution, et c'est nous qui sommes en tort de refuser un tel projet ? Quelle blague.
J'ai mes raisons personnelles pour voter contre ce projet qui n'est qu'un mic-mac de plus dans l'administration, cessez donc de pleurer parce que nous votons -à titre personnel- contre celui-ci.

[Marc de St Imberb]

Vous n'avez pas à voter à titre personnel mais au nom du peuple. Cessez de crier "c'est le gouvernement qui a commencé". Je ne fais nullement partie de l'Assemblée, sauf à titre d'invité au vu de mes fonctions. Vous ne votez pas contre un projet, mais hélâs contre un parti, et c'est regrétable. Et peu démocratique.

[Arthur Carapin]

Monsieur le ministre, en amoureux de la démocratie, ne supporte pas l'existence de l'opposition.