[ADL/RDF/AN] Discussions programme

[Marie Delaunay]

Chaque ministre devra piocher librement dans les mesures proposées ou bien un quota pour l'application équitable des mesures de chaque parti va être mis en place ?

[Arthur Le Guen]

Je valide tout.

[Valentino Borgia]

Je suis partisan de laisser les ministres piocher. Pour autant, je pense qu'au nom de l'équité au sein de la coalition, il faudra, lors des conseils des ministres faire des rappels quant à l'impératif de respecter justement l'équité dans l'application des mesures.
Je pense que nous sommes tous d'accord.
Je compte d'ailleurs sur vous pour veiller à cela. J'espère que nous saurons éviter les tensions en ne respectant pas cela.

Monsieur le Guen a validé. Madame Delaunay est en passe de le faire j'imagine.
Puis je publier ?

[Marie Delaunay]

Je valide la totalité du programme commun.

[Valentino Borgia]

Je vous remercie.

Je tenais à vous dire que, malgré certaines divergences et des échanges plutôt tendus, je suis satisfait du chemin que nous prenons.
Pour l'heure, même si l'opposition est en train de se positionner petit à petit et que notre coalition n'était pas gagnée d'avance, je considère que nous avançons et que nous sommes constructifs.

Madame Delaunay,
Monsieur Le Guen,
je publie le programme commun, je distribue les feuilles de route individuellement dans la journée de demain et je prépare mon discours de politique générale.

[Arthur Le Guen]

De rien, Monsieur le Premier ministre.

Je suis ravis de voir que nos discussions nous ont menées vers le consensus. Ainsi, nous avons réussi à mettre en place un programme commun. Il n'y a plus qu'à nous mettre au travail et faire mentir la gauche qui n'attendait qu'une seule chose de nous : que nous nous divisions et que ce gouvernement ne tienne pas la route.
Nous allons les faire mentir, disais-je, et nous mettre au travail, au service des frôceux et de la Frôce.

Dernière petite précision, bien que de taille, concernant la Présidence de la République. Nous avons discuté de cela en interne au sein du RDF et Monsieur de Milon m'a confié que le poste l'intéresserait. Auquel cas, Madame Delphine David ne briguerait plus la Présidence bien entendu.

HRP : Arthur de Milon, s'il est candidat et surtout s'il est élu à la Présidence, créera un autre personnage, un PNJ, pour reprendre le poste de ministre de la Justice et des Institutions.

[Marie Delaunay]

Si M. de Milon souhaite se présenter, alors il doit quitter son ministère. Pour l’honneur de la République et de la population, on ne chasse pas un poste supérieur quand on est déjà en situation de responsabilités. Par conséquent, et je pense que M. Borgia sera d’accord avec moi : soit c’est le gouvernement et il s’y consacre totalement, soit c’est la présidence de la République et il démissionne de son poste. S’il se présente, l’Alliance Nationale le soutiendra totalement et sans failles.

[Valentino Borgia]

HRP / ok alors pour la forme :

RP / Monsieur De Milon est quelqu'un de très compétent. Il semblait déjà intéressé par son poste au gouvernement. Si je dois déjà remanier mon gouvernement, je risque de m'exposer aux critiques de l'opposition. Et puis cela m'embête de perdre un ministre expérimenté que j'ai d'ailleurs présenté comme tel.

[Arthur Le Guen]

Madame Delaunay,

Cela va de soi.

Monsieur le Premier ministre,

Je comprends votre ressenti. J'ai eu la même pensée lorsqu'il m'a annoncé ses intentions. Si je peux me permettre, entrez en contact direct avec lui, pour en parler. Et tenez-nous au courant.

[Valentino Borgia]

Très bien, bonne soirée.
N'hésitez pas à me contacter en cas de besoin.