On peut tout à fait mettre en place des services d'accueil favorisant les activités sportives ou culturelles pour les parents ne disposant pas des moyens pour agir autrement. Il a été prouvé que les semaines longues étaient peu favorables à la qualité de l'apprentissage par faute de concentration.les jeunes doivent rester sur les bancs de l'école, surtout si on oblige leur parent à prester un nombre d'heure élevée. Sinon ils resteront sans contrôle. Je serais même pour une limite à 35h/semaine et 28/semaine minimum.
De plus, on estime qu'un élève très sérieux travaille pour une durée environ égale à la moitié des heures de cours reçues afin d'organiser ses révisions et faire des exercices. Une limite à 35 h reviendrait à les faire travailler 52 heures et demi par semaine, c'est beaucoup trop pour des enfants et même pour des adultes.
Les exercices non notés restant permis, je reste ferme sur la suppression, elle est nécessaire pour rétablir vraiment l'égalité à l'école.Plutôt défavorable, je serais pour une réduction massive de l'importance, mais pas une suppression.
En clair quand des lycéens ou étudiants font "grève", ils sont techniquement absents. Certains établissements tolèrent ces absences dans une certaine mesure, alors que d'autres punissent les élèves.J'ai du mal à saisir.
Pour une avancée du droit à l'expression des jeunes, il me parait important que le comportement des établissements soit harmonisé dans le sens de la liberté.
Je ne sais pas si le RDS partage mon analyse, mais j'aimerais également ajouter quelques mots concernant les points qu'il défend et que je soutiens.
Il y a des endroits où les locaux établis sont en meilleur état ou moins sujets à dégradations par la faute d'éléments externes. Et souvent ces endroits sont les établissements figurant dans les lieux les plus favorisés.je pense qu'il ne faut pas financer plus un établissement qu'un autre, et surtout suite au motif des résultats. Ca stigmatise les types d'écoles.
Ca se voit que vous n'avez jamais compté le nombre de fautes d'orthographe une copie du BNES. Les bases sont trop souvent ignorées dans le secondaire.Ca va de soi, mais est-ce utile de le mentionner dans l'accord ? C'est normal et les bases se font en primaire et l'apprentissage de la connaissance continue tout au long des études.
La réforme n'était pas encore adoptée au moment où les programmes ont été rédigés, par lycée, je suppose que le RDS parle de la 4e année de secondaire. De plus, contrairement à la morale, la philosophie apprend bien plus que des principes, elle favorise des capacités à comprendre les vertus de ces principes et à se faire sa propre opinion.Je le répète, le lycée n'existe plus avec un L minuscule, mais un majuscule s'il s'agit de l'appellation de l'établissement. Un cours de philosophie aux premières secondaires ? C'est un peu trop à mon sens. Je suis plus pour un cours de morale ou de citoyenneté.