[Réunion publique] : Assise pour un pôle éducatif :

[Thomas Rolland]

Mesdames, et Messieurs, maires Frôceux,

Je vous souhaite à toutes et à tous la bienvenue à ses assises pour un pôle éducatif Frôceux, en espérant que vous soyez tous motivé et volontaire pour remplir la tache que nous nous sommes fixé : trouver à chaque grande municipalité volontaire, dans la limite du possible, un projet éducatif original, novateur, unique. Nous avons de grandes villes avec leurs universitées, mais nous ne devons pas laisser les périphéries à la traine et se vider ; chaque ville doit proposer une certaine attraction éducative : il n'y a pas de zone de non-éducation en Frôce. Ceci est l'envie du gouvernement, et est le vôtre aussi, je le pense.
J'aimerais qu'on commence ces assises en vous donnant la parole. Je laisserai chacun s'exprimer sur le projet éducatif qu'il veut faire porter, ensuite, nous discuterons des moyens, de la forme et des manières encore de diversifier tout cela.
Mais avant de commencer tout cela, j'aimerais rendre hommage à Daniel Gallon sans qui, je pense, j'aurais vécu la politique de la même manière.

Merci, et au travail.

[Alessandro de Bourbon-Siciles]

M. le Ministre,

L'Education ou l'instruction selon le terme que chacun souhaite utiliser, est un des piliers de toutes les sociétés modernes. Il est évident que, actuellement, les universités sont inégalement réparties sur le territoire national. Malheureusement, la ville dont je suis le maire, Etchegorda, traverse actuellement des difficultés financières sans précédent. Vous comprendrez donc que pour l'instant nous n'avons pas eu le temps d'étudier tout projet éducatif. Mon équipe et moi-même savons très bien que c'est un des projets à court ou moyen terme qui devra être mis en place.

[Valentino Borgia]

Pour ma part je soutiens le principe de cette initiative.
Pour autant, je serai très vigilant dans la concrétisation de ce projet. Il est évident que cette décentralisation éducative ne doit pas être le prétexte à plus d'établissements de l'Etat dans les villes, même périphériques.

Mais je suis tout à fait satisfait de voir que vous abordez votre mandature avec un projet qui va dans le sens d'une décentralisation intelligente.

[Abigail Tomas]

Mesdames, Messieurs, M. le Ministre,

Je suis fraîchement élue à la mairie de Farelle, mais j'ai longuement réfléchi à ce dossier. Je vois deux points importants dans votre discours.
Le premier, c'est la répartition des étudiants et des compétences d'enseignement sur le territoire frôceux.
Le second c'est l'organisation de tout ceci.

Je suis d'accord avec le M. Ministre lorsqu'il explique que "chaque ville doit proposer une certaine attraction éducative". Toute ville, même petite, ne doit pas être désertée en totalité par l'enseignement supérieur. Et je suis également d'accord avec M. Borgia lorsqu'il explique que "cette décentralisation éducative ne doit pas être le prétexte à plus d'établissements de l'Etat dans les villes".

Plutôt que d'opérer une véritable décentralisation administrative des universités, ce que les petites villes ne pourraient supporter en terme de coût et de gestion, je vous proposerais plutôt de partir sur une spécialisation des enseignements tout en conservant ou en recréant une unité administrative par région. Je pense que c'est en ce sens que M. le Ministre souhaite nous guider, et je pense que c'est le projet le plus à même de fédérer tout le monde ici et de nous amener vers une université frôceuse riche et cohérente.

Concrètement, je pense que la gestion administrative des universités frôceuses doit se faire par région. Trois pôles administratifs (Université Agrume - Aspen, Université des Prigors - Anglès, Université Cofonoria - Casarastra) de gestion des compétences d'enseignement. Trois pôles qui doivent regrouper un grand nombre des savoirs et conserver une vaste étendue d'enseignements généralistes. Et ensuite une ou des entités dans chaque ville, rattachées à ce pôle régional, avec des enseignements plus spécifiques.

Nous disposons à Farelle des anciens locaux de l'Université, depuis quelques années servant essentiellement à une fonction locative de bureaux. Nous avions un projet de réhabilitation de ces bâtiments à la mairie, mais si le Ministère confirme vouloir re-dispatcher les savoirs en Frôce, nous serions enclins à modifier nos projets.

[David Caldo]

Mesdames, Messieurs, Monsieur Le Ministre,

Moi même élu depuis peu à la ville de Salusa, j'ai découvert une ville morte, sans vie mais une vie tout de même à explorer, "la Jeunesse", tout d'abord pour redonner un nouvel élan de plaisirs, de se reconnaître dans sa propre ville, en tant que responsable de ma population il me fallait agir et vite. Tout a commencé par redessiner le centre qui devenait vieillot. Un peu de couleur, peinture et remise en état de la voirie, avec construction de routes, d'une voie piétonne au bord de mer, avec roller et vélo accepté, j'ai aussi permi aux vélos de se mouvoir grâce à une délimitation, par mesure de sécurité nous avons pris la décision de détruire le stade olympique en attente de le reconstruire avec une capacité de 25000 places, athlétisme, footbal, rugby, musculation, etc seront concentrés dans ce centre complexe sportif olympique de très haut niveau. Nous avons refait la piscine qui possène sauna, jaccuzi, etc... mais aussi nous lui avons fait un aggrandissement en proposant une activité gigantesque avec la création d'une fosse à plongée ou des prochainement des cours seront donnés, ce devait être normal sachant que nous étions à proximité de la mer.
nous avons aussi construit 3 grands parkings, au 3coins de la ville, le parking est gratuit, et prochainement nous allons proposer à no concitoyens un système de navette en bus avec un passage tous les 15 minutes.
Pour redonner une nouvelle dynamique à la ville il a fallut donner ce premier élan, maintenant nous possèdons une école primaire, un lycée, et oui il nous manque une école supérieure, dons oui nous sommes prêt à recevoir cette école supérieure, très important pour l'épanouissement de nos jeunes mais aussi de les garder dans notre ville, il ne faut se voiler la face, s'il n'y a pas d'école dans leur propre ville en générale là ou il y en a une, de grande entreprises suivent, et nous serait une mort sibite pour la nouvelle génération que nous voulons absolument garder.
C'est à mes yeux un dossier très important qu'il faut reprendre point par point, je crois que la répartitions des jeunes étudiants doit être équitable.
Actuellement notre ville travaille justement pour attirer tous les jeunes et moins jeunes, car ce sont eux notre avenir, pour celà il nous faut aussi des entreprise d'envergure, là aussi c'est un point à mettre dans le dossier un système de partenariat entre le pôle universitaire, les entreprises, l'état et la ville pour justement faire diminuer la charge à la ville mais aussi à l'état.

l'éducation c'est l'affaire de tous, et les petites villes doivent être écouté, et aussi nous sommes prêt à recevoir ce pôle universitaire, d'autant plus qu'une ZONE D'ACTIVITE COMMERCIALE verra le jour très prochainement.

Monsieur le ministre, je crois que c'est dossier très intéressant et attractif, s'il est bien entendu et compris, et surtout si nous faisons agir plusieurs intervenants, universitaires, entreprises, villes, état.
Actuellement nous possèdons un terrain prêt à accueillir ce pôle universitaire juste à côté du grand complexe sportif, ça sera un très GRAND ESPACE COMPLEXE UNIVERSITAIRE SPORTIF le "GESCOUS"

Avec nos sincères salutations Monsieur le ministre

Le Maire de SALUSA Mettez de la couleur dans le projet " ARC EN CIEL"

[Elena Fazzini]

Madame, Messieurs, Monsieur le Ministre bonjour,

Étant Maire de Nobles-les-Prigors et malgré le message que j'ai déjà envoyé à Mr le Ministre (resté sans réponses). Je souhaite réaffirmé ma réticence à ce projet il pose de grands problème. En effet sans aides pensé pour les étudiants, quel étudiant sera capable de faire des kilomètre pour aller étudier. Connaissant le prix de l'immobilier très peu, pourrons s'installer dans ces grandes villes universitaires.

Et les bourses ne suffisent pas, je me suis penché moi aussi sur la question et prenons l'exemple de la France, le système de bourses y es plutôt bien développé seulement le prix des loyers compte pour un peu plus d'un tiers dans le budget mensuel d'un étudiant !

De plus je réitère, faire fuir la jeunesse de nos ville moyennes ou petite n'es en aucun cas une solution économique !!!
Tout dépend ce que nous voulons pour notre jeunesse ? Une université pour tous avec un service publique de qualité et donc de futur travailleurs qui sont formés et qui fournissent ensuite un travail de qualité ou bien des université pour certain et la grande majorité de la jeunesse relégué car venant de classes de la société basse, à un niveau d'enseignement bas ....

[Vincent Valbonesi]

Les universités dans les grandes villes, les écoles spécialisées en périphérie. Voilà la position que je défends sur cette question. J'appuie pleinement les propos de Mme Tomas.

[Marc de St Imberb]

Monsieur le Ministre, Mesdames et Messieurs les Maires,

Depuis la fermeture de l'Université de Symphorien, commune dont je suis Maire, la ville a perdu en fréquentation et donc en activité. Ceci se ressent sur l'économie ainsi que sur la vie sociale en général.
Pour les jeunes habitants de Symphorien, j'ai décidé de mettre en place une bourse spécifique qui sera mise en place bientôt, et qui offrira aux jeunes Symphoriens d'avantage de moyens pour étudier, étant donné qu'ils ne peuvent plus le faire dans leur commune. Ceci est un premier point.

Néanmoins, j'ai pensé qu'il serait intéressant de mettre au point un projet éducatif original, sinon utile : une "Haute École d’Études Politiques". Celle-ci proposerait un cursus en trois ans, accessible gratuitement sur concours après une licence. Les étudiants pourront ainsi choisir de suivre une voie dans différents domaines : Médias, Management, Affaires Internationales, Fonction publique ou autres. Ce diplôme permettra de mettre sur le marché de l'emploi de jeunes gens motivés, venant de tous horizons, et qualifiés.
Si ce projet est retenu, j'aimerais qu'il soit implanté dans ma ville désertée des étudiants de Symphorien.

Je vous remercie.

[Hélène Le Menn]

Je tiens également à rendre hommage à Daniel Gallon, sans qui et comme Mr le Ministre, ma vie politique n'aurait pas eu de sens !

Je suis Maire de Karnag depuis peu (hier exactement), après un rapide état des lieux de la ville ce matin. C'est franchement pas "folichon" les infrastructures éducatives et sportives.

En aucun cas, je n'accable mes prédécesseurs, mais il faut vraiment un véritable travail à tout niveau dans "ma" ville. Je pense qu'en fait, laisser à l'abandon des villes soi-disant à cause de leur taille en terme de population est une véritable erreur. Garantir sans exception un véritable service public de l'Enseignement, qu'il soit primaire, secondaire ou supérieur, est la meilleure solution à enrayer la perte de confiance de notre jeunesse en l'Etat et donc enrayer un maximum la délinquance et autres problèmes liées à toute société.

Pour ma part, je pense que Karnag serait prête à acueillir des infrastructures universitaires sans aucun problème, en utilisant l'argent provenant des taxes sur le Tourisme. Je rappelle que Karnag est une station balnéaire très prisée par nos concitoyens et concitoyennes, mais aussi par de nombreux étrangers et étrangères, appréciant notre climat doux et ensoleillé !

Je finirais par une question, Mr le Ministre : Ces assises ne traitent que de l'Enseignement Supérieur, ou bien de l'Education en générale ?

[Abigail Tomas]

Il faudra m'expliquer dès lors comment des villes comprises entre 15 et 30'000 habitants pour reprendre les villes des maires qui se sont fait entendre, peuvent assumer les coûts de construction, de mise en place, et de fonctionnement d'une université à part entière, avec toutes les disciplines courantes. Vous avez tripler ou quadrupler les impôts de vos citoyens ? Payer un enseignant pour 4 élèves ?
Et qu'on ne vienne pas me parler de taxe sur le tourisme. Le budget de la mairie de Karnag est aujourd'hui à l'équilibre avec cette fameuse taxe. Alors à moins la encore de la doubler ou tripler, j'ai du mal à comprendre comment Mme le Maire peut assumer la charge d'une université.