[Présidentielle juillet] Débat Economie
- Gavroche Finacci
- Président de la Commission Electorale
- Messages : 2541
- Enregistré le : 14 juin 2010, 21:01
- Type de compte : Principal
[Présidentielle juillet] Débat Economie
Début du débat : Mardi 16 juillet 0 heures
Fin du débat : Vendredi 19 juillet 20 heures
Thèmes abordés : Économie, finances et travail
Règles à respecter :
- Le but étant de se comporter d'une manière proche à un vrai débat, les balises quotes sont strictement interdites
- Il est interdit de poster deux fois à la suite
- Il est interdit de poster avant l'heure officielle du début du débat
- Bien entendu, les propos répréhensibles par la loi française sont strictement prohibés
- Les journalistes sont autorisés à participer s'ils restent neutres
- Toute personne qui n'est ni journaliste, ni candidate ne doit pas poster sur ce topic
- L'édition de messages est totalement interdite. C'est à l'auteur de vérifier si personne n'a posté.
Tout manquement aux règles sera puni de la suppression du message et d'une pénalité sur la pondération.
De plus, nous vous demandons de privilégier les interventions courtes pour garder un débat dynamique, les pavés que nous avons vus dans le passé ne sont absolument pas réalistes et n'encouragent pas à la participation. Si les débordements se font trop nombreux, nous imposerons une limite de mots dans le futur.
Fin du débat : Vendredi 19 juillet 20 heures
Thèmes abordés : Économie, finances et travail
Règles à respecter :
- Le but étant de se comporter d'une manière proche à un vrai débat, les balises quotes sont strictement interdites
- Il est interdit de poster deux fois à la suite
- Il est interdit de poster avant l'heure officielle du début du débat
- Bien entendu, les propos répréhensibles par la loi française sont strictement prohibés
- Les journalistes sont autorisés à participer s'ils restent neutres
- Toute personne qui n'est ni journaliste, ni candidate ne doit pas poster sur ce topic
- L'édition de messages est totalement interdite. C'est à l'auteur de vérifier si personne n'a posté.
Tout manquement aux règles sera puni de la suppression du message et d'une pénalité sur la pondération.
De plus, nous vous demandons de privilégier les interventions courtes pour garder un débat dynamique, les pavés que nous avons vus dans le passé ne sont absolument pas réalistes et n'encouragent pas à la participation. Si les débordements se font trop nombreux, nous imposerons une limite de mots dans le futur.
- François Bertrand
- Représentant Parlementaire
- Messages : 936
- Enregistré le : 01 nov. 2011, 00:30
- Type de compte : Principal
Re: [Présidentielle juillet] Débat Economie
La politique économique du gouvernement actuel n'est ni antilibérale ni socialiste, je m'étonne donc quelque peu du soutien précipité qui est accordé à mon interlocuteur socialiste par des centristes qui ne savent plus de quel bord politique ils sont ni de quel bord politique M. Montgomery est. Je vais profiter de ce débat qui porte sur des enjeux essentiels de notre pays pour démontrer que la politique de M. Montgomery n'est pas favorable à une économie de marché libre, créatrice de richesses et innovante parce que son projet économique est dirigiste et étatiste.
Mais d'abord, pour dénouer tout le logiciel idéologique de la gauche qui pense avoir le monopole du cœur, je veux dire aux frôceux les yeux dans les yeux que je ne suis pas favorable à une économie libérale au point de sacrifier la satisfaction des besoins les plus essentiels ni la solidarité nécessaire à toute société qui permet de maintenir le lien social comme la possibilité pour tout un chacun de se relever après avoir mis un genoux à terre. C'est pourquoi j'ai l'intention de réviser la loi sur l'allocation minimum d'activité pour que cette aide vitale pour près de 900 000 foyers puisse être conservée au-delà d'une année.
La gauche NPS ne l'a pas fait, la partie du centre au pouvoir non plus. Si les frôceux me font confiance, je veux pouvoir le faire. C'est une attente considérable de nos compatriotes et un enjeux crucial pour notre avenir.
Mais d'abord, pour dénouer tout le logiciel idéologique de la gauche qui pense avoir le monopole du cœur, je veux dire aux frôceux les yeux dans les yeux que je ne suis pas favorable à une économie libérale au point de sacrifier la satisfaction des besoins les plus essentiels ni la solidarité nécessaire à toute société qui permet de maintenir le lien social comme la possibilité pour tout un chacun de se relever après avoir mis un genoux à terre. C'est pourquoi j'ai l'intention de réviser la loi sur l'allocation minimum d'activité pour que cette aide vitale pour près de 900 000 foyers puisse être conservée au-delà d'une année.
La gauche NPS ne l'a pas fait, la partie du centre au pouvoir non plus. Si les frôceux me font confiance, je veux pouvoir le faire. C'est une attente considérable de nos compatriotes et un enjeux crucial pour notre avenir.
Maire de Lônes et Vice-Président de l'Assemblée Nationale
Président de l'Union pour une Démocratie Républicaine
« La franchise est la meilleure des diplomaties, sans doute parce qu'elle ne fait pas de tort à l'autre » - Ivan Tourgueniev
- George Montgomery
- Président de la République
- Messages : 960
- Enregistré le : 11 févr. 2012, 23:05
Re: [Présidentielle juillet] Débat Economie
Oui M. Bertrand. Notre projet économique est totalement opposé. Vous êtes le défenseur des droits et libertés des entreprises et des spéculateurs. Je suis, aux côtés du peuple de Frôce, le défenseur des droits et libertés des citoyens. Cela fait de nous une première différence magistrale. Mais continuons ensemble cet état des lieux. Vous êtes le défenseur de l’économie de marché. Dois-je-vous rappeler que le Nouveau Parti Socialiste, au sein duquel je suis membre, a reconnu l’économie de marché ? Je n’ai jamais entendu cette reconnaissance de la part du plus grand libéral que la Frôce ait connu. Voilà une deuxième différence entre nous : vous êtes un homme de promesses, je suis un homme d’actes. Poursuivons. Vous vous faites ici le défenseur du libéralisme. Après tout, c’est votre droit. Je serais selon vous un étatiste et dirigiste. Soit. Alors étudions rapidement la situation.
Votre idéologie est à la source de la crise économique, financière, sociale et budgétaire, la plus grave qui ait eu lieu depuis le début de l’internationalisation des échanges. Vous êtes le défenseur d’un système qui place aujourd’hui plus de 57 % des grecs de moins de 25 ans au chômage. Vous êtes le défenseur d’un système qui fixe un taux de chômage record et dramatique de plus de 20 % de la population active en Espagne. Vous êtes le défenseur d’un système qui donne à la France, notre allié et voisin, près de 8 millions de pauvres. Passons à l’étatiste-dirigiste que je suis : la Frôce a été sous gouvernement socialiste ou social-démocrate pendant les trois quarts des trente dernières années, quelle est notre situation aujourd’hui ? Le plus faible taux de chômage en Europe, la plus forte croissance en Europe et en Méditerranée, une cohésion sociale renforcée, une inflation maitrisée par un coût de la vie plus faible qu’à l’étranger, un système de sécurité sociale sans un centime de déficit.
Dans le monde du XXI siècle, si notre économie n’était pas libre, elle ne nous apporterait pas la croissance, elle ne nous apporterait pas une baisse du taux de chômage, elle ne nous apporterait pas la stabilité budgétaire dont nous jouissons. Vous pouvez poursuivre cette tactique politicienne de dénigrement des politiques publiques, vous n’enlèverez pas à nos politiques sociales le bienfait qu’elles apportent à la population. Avant de penser à faire un énième cadeau aux entreprises, je pense prioritairement à mes concitoyens. Voilà la dernière différence.
Votre idéologie est à la source de la crise économique, financière, sociale et budgétaire, la plus grave qui ait eu lieu depuis le début de l’internationalisation des échanges. Vous êtes le défenseur d’un système qui place aujourd’hui plus de 57 % des grecs de moins de 25 ans au chômage. Vous êtes le défenseur d’un système qui fixe un taux de chômage record et dramatique de plus de 20 % de la population active en Espagne. Vous êtes le défenseur d’un système qui donne à la France, notre allié et voisin, près de 8 millions de pauvres. Passons à l’étatiste-dirigiste que je suis : la Frôce a été sous gouvernement socialiste ou social-démocrate pendant les trois quarts des trente dernières années, quelle est notre situation aujourd’hui ? Le plus faible taux de chômage en Europe, la plus forte croissance en Europe et en Méditerranée, une cohésion sociale renforcée, une inflation maitrisée par un coût de la vie plus faible qu’à l’étranger, un système de sécurité sociale sans un centime de déficit.
Dans le monde du XXI siècle, si notre économie n’était pas libre, elle ne nous apporterait pas la croissance, elle ne nous apporterait pas une baisse du taux de chômage, elle ne nous apporterait pas la stabilité budgétaire dont nous jouissons. Vous pouvez poursuivre cette tactique politicienne de dénigrement des politiques publiques, vous n’enlèverez pas à nos politiques sociales le bienfait qu’elles apportent à la population. Avant de penser à faire un énième cadeau aux entreprises, je pense prioritairement à mes concitoyens. Voilà la dernière différence.
Président de la République
Ancien Premier ministre
Ancien Président de la Cour Suprême
Ancien Ministre d'Etat, de l'Intérieur et de la Défense
Ancien Ministre de la Justice et des Institutions
Ancien Ministre de l'Economie, des Finances et du Travail
Ancien Représentant parlementaire
Ancien Premier ministre
Ancien Président de la Cour Suprême
Ancien Ministre d'Etat, de l'Intérieur et de la Défense
Ancien Ministre de la Justice et des Institutions
Ancien Ministre de l'Economie, des Finances et du Travail
Ancien Représentant parlementaire
-
- Messages : 151
- Enregistré le : 18 oct. 2012, 17:38
- Type de compte : PNJ (secondaire)
Re: [Présidentielle juillet] Débat Economie
M.Montgomery, vous ne pouvez nier que Mme de Cassagne, par ses mesures, a largement contribué à une amélioration des chiffres économiques de la Frôce. Souvenons nous du gouvernement Social-Démocrate de Joseph Vossen, et de l'explosion du chômage qu'il y a eu pendant cette période. Concrètement, qui a économiquement fait le plus de bien à la Frôce au regard des chiffres économiques ? La droite ou la gauche ?
Rédacteur en chef et Directeur du journal "Le Temps" et de la radio "SRF Info"
Présentateur de l'émission "On dé-Krypzt l'actu" sur Canal 4
- François Bertrand
- Représentant Parlementaire
- Messages : 936
- Enregistré le : 01 nov. 2011, 00:30
- Type de compte : Principal
Re: [Présidentielle juillet] Débat Economie
Vous esquivez le sujet en parlant de la situation économique de pays étrangers. Les frôceux qui nous écoutent se préoccupent d'abord de la situation économique de leur propre pays et jusqu'ici je suis le seul à proposer des solutions concrètes pour eux.
Vous m'imputez la responsabilité des crises conjoncturelles que traversent les pays européens, mais vous oubliez deux choses. Premièrement je n'ai jamais été à la tête d'un gouvernement contrairement à vous et deuxièmement la plupart des pays européens qui ont subit de plein fouet la crise des dettes souveraines étaient des pays gouvernés par un Premier ministre de gauche. En Espagne et en Grèce par exemple.
Que dire de votre ami Romano Prodi que vous avez eu à cœur d'exhiber dans votre meeting. L'ancien président de la Commission Européenne qu'il est a été l'instigateur de la zone euro qui a substitué une monnaie unique à des monnaies nationales, éliminant cette prérogative historique de l'Etat de battre de monnaie et empêchant les gouvernements des Etats membres d'améliorer leur conjoncture par une politique monétaire bien menée.
L'ancien président de la Commission Européenne qu'il est a également encouragé l'adhésion de Chypre à l'Union Européenne et à la zone euro. Ah! Chypre, vous savez, cette île paradisiaque pour les fonds d'investissement pourris, les fonds spéculatifs et les systèmes d'option binaires dont les sites promotionnels ne cessent d'arnaquer ceux qui, tentés par l’appât du gain, déboursent des centaines d'euros en dépôt. Ce n'est pas moi qui le dit, c'est l'autorité européenne des marchés financiers. Vous oserez après ça me traiter de soutien des spéculateurs?
Je suis favorable à la taxation des transactions financières dont le texte de loi a été porté par Marc de Saint-Imberb. Cet homme d'Etat dont vous avez vous même loué les qualités mais qui ne semble pas avoir été présent dans votre meeting de campagne, ce qui confirme ce que je disais la semaine dernière : vous divisez et ce, au sein même de votre propre parti politique.
Ne m'identifiez pas à une idéologie parce que vous savez très bien que je ne me revendique d'aucune d'elles. Mais ça vous arrangerait tellement pour donner de la force à votre stratégie de communication qui mise sur le clivage des idées. Je vais être très clair, je ne suis ni ultralibéral ni marxiste. Sur les questions économiques et sociales je suis hétérodoxe et pragmatique, je ne vais donc m'associer à aucun modèle contrairement au vôtre qui en Europe, puisque vous aimez donner des exemples à l'échelle communautaire, n'a cessé de démontrer son incapacité à résoudre les problèmes posés. Oui je soutiens les entreprises et oui je soutiens ceux qui dans leur vie prennent des risques pour réussir. Mais je vais vous dire, face à la précarité je ne me contente pas de m’apitoyer sur le sort des travailleurs pauvres. Je propose des solutions : la flexisécurité scandinave et la relance par la consommation. C'est à dire qu'il s'agira pour l'Etat de soutenir l'investissement et le pouvoir d'achat en agissant sur le levier fiscal pour libérer le budget des entreprises comme des ménages. Vous aurez alors l'effet multiplicateur démontré par Keynes qui permettra de retrouver une hausse du niveau de la croissance.
Maintenant je vais vous donner un contre-exemple concret à l'échelle européenne et là, autant vous dire que votre proximité avec les sociaux-démocrates allemands vous fera défaut. Le gouvernement de Gerhard Schröder a engagé un paquet de réformes sociales qui ont imposé aux travailleurs allemands une politique ultralibérale du travail, la flexibilité de l'emploi. Cette politique est un trompe l’œil sur les statistiques du chômage et induit pour les salariés une incertitude sur le contrat de travail signé.
Là où vous énumérez des généralités et des velléités démagogiques, je propose un cap très clair pour améliorer le quotidien de nos compatriotes.
Vous m'imputez la responsabilité des crises conjoncturelles que traversent les pays européens, mais vous oubliez deux choses. Premièrement je n'ai jamais été à la tête d'un gouvernement contrairement à vous et deuxièmement la plupart des pays européens qui ont subit de plein fouet la crise des dettes souveraines étaient des pays gouvernés par un Premier ministre de gauche. En Espagne et en Grèce par exemple.
Que dire de votre ami Romano Prodi que vous avez eu à cœur d'exhiber dans votre meeting. L'ancien président de la Commission Européenne qu'il est a été l'instigateur de la zone euro qui a substitué une monnaie unique à des monnaies nationales, éliminant cette prérogative historique de l'Etat de battre de monnaie et empêchant les gouvernements des Etats membres d'améliorer leur conjoncture par une politique monétaire bien menée.
L'ancien président de la Commission Européenne qu'il est a également encouragé l'adhésion de Chypre à l'Union Européenne et à la zone euro. Ah! Chypre, vous savez, cette île paradisiaque pour les fonds d'investissement pourris, les fonds spéculatifs et les systèmes d'option binaires dont les sites promotionnels ne cessent d'arnaquer ceux qui, tentés par l’appât du gain, déboursent des centaines d'euros en dépôt. Ce n'est pas moi qui le dit, c'est l'autorité européenne des marchés financiers. Vous oserez après ça me traiter de soutien des spéculateurs?
Je suis favorable à la taxation des transactions financières dont le texte de loi a été porté par Marc de Saint-Imberb. Cet homme d'Etat dont vous avez vous même loué les qualités mais qui ne semble pas avoir été présent dans votre meeting de campagne, ce qui confirme ce que je disais la semaine dernière : vous divisez et ce, au sein même de votre propre parti politique.
Ne m'identifiez pas à une idéologie parce que vous savez très bien que je ne me revendique d'aucune d'elles. Mais ça vous arrangerait tellement pour donner de la force à votre stratégie de communication qui mise sur le clivage des idées. Je vais être très clair, je ne suis ni ultralibéral ni marxiste. Sur les questions économiques et sociales je suis hétérodoxe et pragmatique, je ne vais donc m'associer à aucun modèle contrairement au vôtre qui en Europe, puisque vous aimez donner des exemples à l'échelle communautaire, n'a cessé de démontrer son incapacité à résoudre les problèmes posés. Oui je soutiens les entreprises et oui je soutiens ceux qui dans leur vie prennent des risques pour réussir. Mais je vais vous dire, face à la précarité je ne me contente pas de m’apitoyer sur le sort des travailleurs pauvres. Je propose des solutions : la flexisécurité scandinave et la relance par la consommation. C'est à dire qu'il s'agira pour l'Etat de soutenir l'investissement et le pouvoir d'achat en agissant sur le levier fiscal pour libérer le budget des entreprises comme des ménages. Vous aurez alors l'effet multiplicateur démontré par Keynes qui permettra de retrouver une hausse du niveau de la croissance.
Maintenant je vais vous donner un contre-exemple concret à l'échelle européenne et là, autant vous dire que votre proximité avec les sociaux-démocrates allemands vous fera défaut. Le gouvernement de Gerhard Schröder a engagé un paquet de réformes sociales qui ont imposé aux travailleurs allemands une politique ultralibérale du travail, la flexibilité de l'emploi. Cette politique est un trompe l’œil sur les statistiques du chômage et induit pour les salariés une incertitude sur le contrat de travail signé.
Là où vous énumérez des généralités et des velléités démagogiques, je propose un cap très clair pour améliorer le quotidien de nos compatriotes.
Maire de Lônes et Vice-Président de l'Assemblée Nationale
Président de l'Union pour une Démocratie Républicaine
« La franchise est la meilleure des diplomaties, sans doute parce qu'elle ne fait pas de tort à l'autre » - Ivan Tourgueniev
- George Montgomery
- Président de la République
- Messages : 960
- Enregistré le : 11 févr. 2012, 23:05
Re: [Présidentielle juillet] Débat Economie
Vous personnellement n’avez jamais eu la responsabilité d’un gouvernement M. Bertrand. Par conséquent, je fais partie de ceux qui estiment que ce manque d’expérience sera préjudiciable à la République si jamais vous étiez élu. Les Frôceux ont besoin d’avoir confiance dans un dirigeant qui incarne des idées, une certaine idée de la Frôce mais aussi et surtout l’autorité que nécessite le rôle de chef de l’Etat. Mes convictions en matière économique sont fortes. Mon expérience, longue de plusieurs années, au ministère de l’économie, des finances et du travail, parle pour moi. Les résultats que j’ai obtenus en menant une politique de gauche ont eux aussi permis à la Frôce de retrouver le chemin vertueux de la croissance en alliant productivité et justice. Je n’ai pas à être en avant mon programme économique parce que les Frôceux connaissent déjà l’étendu de celui-ci et les résultats attendus.
Je préfère ne pas répondre à vos provocations, notamment celles sur une prétendue division au sein de ma famille politique. Il me semble que la diversité des participants à mon meeting du premier tour était la meilleure réponse possible que je pouvais apporter aux calomniateurs de cette campagne électorale dont vous faite partie. L’absence de l’ancien Président de la République n’a aucune cause politique. Je suis candidat à la Présidence de la République, je dois être en mesure de prendre des décisions, d’arbitrer, de trancher. Vous savez, dans un jardin, il y a toujours des mauvaises herbes. Un bon jardinier va se séparer des mauvaises herbes, le mauvais jardinier ne va rien faire parce qu’il ne veut pas prendre le risque de replanter quelque chose de nouveau par-dessus. A vous de voir de quel côté vous êtes M. Bertrand.
Je préfère ne pas répondre à vos provocations, notamment celles sur une prétendue division au sein de ma famille politique. Il me semble que la diversité des participants à mon meeting du premier tour était la meilleure réponse possible que je pouvais apporter aux calomniateurs de cette campagne électorale dont vous faite partie. L’absence de l’ancien Président de la République n’a aucune cause politique. Je suis candidat à la Présidence de la République, je dois être en mesure de prendre des décisions, d’arbitrer, de trancher. Vous savez, dans un jardin, il y a toujours des mauvaises herbes. Un bon jardinier va se séparer des mauvaises herbes, le mauvais jardinier ne va rien faire parce qu’il ne veut pas prendre le risque de replanter quelque chose de nouveau par-dessus. A vous de voir de quel côté vous êtes M. Bertrand.
Président de la République
Ancien Premier ministre
Ancien Président de la Cour Suprême
Ancien Ministre d'Etat, de l'Intérieur et de la Défense
Ancien Ministre de la Justice et des Institutions
Ancien Ministre de l'Economie, des Finances et du Travail
Ancien Représentant parlementaire
Ancien Premier ministre
Ancien Président de la Cour Suprême
Ancien Ministre d'Etat, de l'Intérieur et de la Défense
Ancien Ministre de la Justice et des Institutions
Ancien Ministre de l'Economie, des Finances et du Travail
Ancien Représentant parlementaire
- François Bertrand
- Représentant Parlementaire
- Messages : 936
- Enregistré le : 01 nov. 2011, 00:30
- Type de compte : Principal
Re: [Présidentielle juillet] Débat Economie
Je note que là encore vous esquivez, d'abord les remarques de Xavier Kryptz-Herblain et ensuite ma réponse à votre argumentaire sur l'état de l'économie européenne.
Le bilan économique dont vous vous prévalez n'est pas le vôtre et vous le savez très bien puisque c'est celui de Catherine de Cassagne, il faut rendre à César ce qui lui appartient. Qu'à fait la coalition de gauche à laquelle vous appartenez depuis un an ? Une politique de baisse de la pression fiscale qu'aujourd'hui vous rejetez en bloc et en détail, en bon socialiste que vous êtes soudainement devenu depuis la fondation du NPS. Depuis un an la gauche n'a même pas daigné tenir sa promesse en ramenant les acquis sociaux aux frôceux qui en ont besoin. Vous vous êtes contentés de remettre en place l'impôt de solidarité sur la fortune qui est stupidement inutile, qui ne changera pas les conditions de vie de nos compatriotes et qui ne fera que pointer du doigt les plus riches pour monter les uns contre les autres.
Ce que je veux démontrer par là, c'est que comme toujours la gauche ment au Frôceux. Vossen ne fait plus de politique, mais le mal est toujours là. Il se représentera simplement sous une nouvelle forme une fois que vous serez élu. Je veux aussi démontrer aux frôceux qui assistent à ce débat qu'une fois encore la gauche divise le peuple de Frôce.
Expliquez donc aux frôceux les différences qui vous opposent à la partie du centre qui forme une coalition de gouvernement avec le NPS. Expliquez donc aux frôceux que vous n'allez pas diviser alors même que vous avez claqué la porte du gouvernement de Thomas François et que vous traitez avec mépris Marc de St Imberb puisque vous le qualifiez de mauvaise herbe. Au lieu de le respecter pour son action et pour la victoire à la dernière présidentielle qu'il a apporté à votre parti, vous ne cessez de vous contredire et de mentir aux frôceux comme vous l'avez fait avec Vincent Valbonesi ou le bilan de la gauche social-démocrate en Frôce comme en Europe, cette fois-ci en reniant ce que vous aviez dit juste après la démission de St-Imberb, qu'il fut un grand président de la République. Vous ne pouvez pas vous investir de la posture de nouveau leader de la gauche en balayant tout ce qui vous a précédé. Je constate simplement que sur cette table l'opportuniste c'est vous.
Hier encore vous n'aviez pas hésité à critiquer le gouvernement actuel jusqu'à lui claquer la porte. Hier encore vous congratuliez Marc de Saint-Imberb.
Opportuniste quand ça l'arrange, brutal quand il n'a rien à perdre, il s'appelle George Montgomery et c'est le candidat socialiste.
Le bilan économique dont vous vous prévalez n'est pas le vôtre et vous le savez très bien puisque c'est celui de Catherine de Cassagne, il faut rendre à César ce qui lui appartient. Qu'à fait la coalition de gauche à laquelle vous appartenez depuis un an ? Une politique de baisse de la pression fiscale qu'aujourd'hui vous rejetez en bloc et en détail, en bon socialiste que vous êtes soudainement devenu depuis la fondation du NPS. Depuis un an la gauche n'a même pas daigné tenir sa promesse en ramenant les acquis sociaux aux frôceux qui en ont besoin. Vous vous êtes contentés de remettre en place l'impôt de solidarité sur la fortune qui est stupidement inutile, qui ne changera pas les conditions de vie de nos compatriotes et qui ne fera que pointer du doigt les plus riches pour monter les uns contre les autres.
Ce que je veux démontrer par là, c'est que comme toujours la gauche ment au Frôceux. Vossen ne fait plus de politique, mais le mal est toujours là. Il se représentera simplement sous une nouvelle forme une fois que vous serez élu. Je veux aussi démontrer aux frôceux qui assistent à ce débat qu'une fois encore la gauche divise le peuple de Frôce.
Expliquez donc aux frôceux les différences qui vous opposent à la partie du centre qui forme une coalition de gouvernement avec le NPS. Expliquez donc aux frôceux que vous n'allez pas diviser alors même que vous avez claqué la porte du gouvernement de Thomas François et que vous traitez avec mépris Marc de St Imberb puisque vous le qualifiez de mauvaise herbe. Au lieu de le respecter pour son action et pour la victoire à la dernière présidentielle qu'il a apporté à votre parti, vous ne cessez de vous contredire et de mentir aux frôceux comme vous l'avez fait avec Vincent Valbonesi ou le bilan de la gauche social-démocrate en Frôce comme en Europe, cette fois-ci en reniant ce que vous aviez dit juste après la démission de St-Imberb, qu'il fut un grand président de la République. Vous ne pouvez pas vous investir de la posture de nouveau leader de la gauche en balayant tout ce qui vous a précédé. Je constate simplement que sur cette table l'opportuniste c'est vous.
Hier encore vous n'aviez pas hésité à critiquer le gouvernement actuel jusqu'à lui claquer la porte. Hier encore vous congratuliez Marc de Saint-Imberb.
Opportuniste quand ça l'arrange, brutal quand il n'a rien à perdre, il s'appelle George Montgomery et c'est le candidat socialiste.
Maire de Lônes et Vice-Président de l'Assemblée Nationale
Président de l'Union pour une Démocratie Républicaine
« La franchise est la meilleure des diplomaties, sans doute parce qu'elle ne fait pas de tort à l'autre » - Ivan Tourgueniev
- George Montgomery
- Président de la République
- Messages : 960
- Enregistré le : 11 févr. 2012, 23:05
Re: [Présidentielle juillet] Débat Economie
J’étais ministre d’Etat, ministre de l’économie, des finances et du travail bien avant la première apparition publique de Mme de Cassagne. Je suis donc au regret de constater votre méconnaissance de la vie politique frôceuse. J’ai eu la gestion des finances publiques de notre pays plus de cinq ans avant le passage de votre amie libartarienne à ce poste qui n’a eu de cesse de détruire l’Etat et la chose publique dans notre pays. Ces destructions, nous sommes en train de revenir dessus petit à petit et mon mandat sera l’occasion de restaurer l’équité dans notre pays. Venir dire ici que l’exceptionnelle croissance qui a couronné mon passage au ministère de l’économie est le fruit de la politique de Mme de Cassagne alors qu’elle n’avait aucune existence politique, c’est fort de café M. Bertrand. Les Frôceux doivent se sentir terriblement consterné face à une inculture politique.
Mais enfin, poursuivons. Je n’esquive pas la question de M. Kryptz-Herblain puisque j’ai déjà répondu mille fois à cette question. J’attends un peu de nouveauté. Pour la clarté du débat politique, je souhaite exprimer de nouvelles idées et ne pas revenir sans cesse sur une séquence politique qui ne me concerne pas. Je ne reviendrais pas plus longtemps sur la destruction de la fonction publique exécutée par Mme de Cassagne sous les ordres de M. Borgia, votre éminent soutien dans cette campagne présidentielle du second tour, personne n’en doute. Si vous êtes fier d’être soutenu par le fossoyeur de la fonction publique frôceuse, j’ai peine pour vous, surtout quand l’on ose ensuite prôner le rassemblement, c'est-à-dire l’union de tous les frôceux. Il est en vrai qu’en mettant au chômage 50 000 fonctionnaires par an, en réduisant le nombre d’hôpitaux, de médecins, d’infirmières, de professeurs, votre rassemblement infra riches sera aisé M. Bertrand. Je vous laisse bien volontiers ce bilan-là. Je note quand même le ton à peine orienté de ce journaliste. Les frôceux ont désormais connaissance du parti pris de M. Kryptz-Herblain. Et croire que l’on me dit encore aujourd’hui que les journalistes sont de gauche !
Je n’ai nulle part dit que M. de Saint-Imberb était une mauvaise herbe. Ecoutez M. Bertrand, si vous voulez faire de la politique avec un petit p, vous n’avez pas besoin de moi. Donc que faisons-nous ce soir ? Dois-je débattre ou dois-je m’abaisser à répondre à vos sous-entendus digne de la politique spectacle à l’américaine ? Nous sommes en Frôce, les électeurs ont le droit d’attendre autre chose d’un tel débat que le niveau auquel vous êtes en train de l’abaisser.
Mais enfin, poursuivons. Je n’esquive pas la question de M. Kryptz-Herblain puisque j’ai déjà répondu mille fois à cette question. J’attends un peu de nouveauté. Pour la clarté du débat politique, je souhaite exprimer de nouvelles idées et ne pas revenir sans cesse sur une séquence politique qui ne me concerne pas. Je ne reviendrais pas plus longtemps sur la destruction de la fonction publique exécutée par Mme de Cassagne sous les ordres de M. Borgia, votre éminent soutien dans cette campagne présidentielle du second tour, personne n’en doute. Si vous êtes fier d’être soutenu par le fossoyeur de la fonction publique frôceuse, j’ai peine pour vous, surtout quand l’on ose ensuite prôner le rassemblement, c'est-à-dire l’union de tous les frôceux. Il est en vrai qu’en mettant au chômage 50 000 fonctionnaires par an, en réduisant le nombre d’hôpitaux, de médecins, d’infirmières, de professeurs, votre rassemblement infra riches sera aisé M. Bertrand. Je vous laisse bien volontiers ce bilan-là. Je note quand même le ton à peine orienté de ce journaliste. Les frôceux ont désormais connaissance du parti pris de M. Kryptz-Herblain. Et croire que l’on me dit encore aujourd’hui que les journalistes sont de gauche !
Je n’ai nulle part dit que M. de Saint-Imberb était une mauvaise herbe. Ecoutez M. Bertrand, si vous voulez faire de la politique avec un petit p, vous n’avez pas besoin de moi. Donc que faisons-nous ce soir ? Dois-je débattre ou dois-je m’abaisser à répondre à vos sous-entendus digne de la politique spectacle à l’américaine ? Nous sommes en Frôce, les électeurs ont le droit d’attendre autre chose d’un tel débat que le niveau auquel vous êtes en train de l’abaisser.
Président de la République
Ancien Premier ministre
Ancien Président de la Cour Suprême
Ancien Ministre d'Etat, de l'Intérieur et de la Défense
Ancien Ministre de la Justice et des Institutions
Ancien Ministre de l'Economie, des Finances et du Travail
Ancien Représentant parlementaire
Ancien Premier ministre
Ancien Président de la Cour Suprême
Ancien Ministre d'Etat, de l'Intérieur et de la Défense
Ancien Ministre de la Justice et des Institutions
Ancien Ministre de l'Economie, des Finances et du Travail
Ancien Représentant parlementaire
- François Bertrand
- Représentant Parlementaire
- Messages : 936
- Enregistré le : 01 nov. 2011, 00:30
- Type de compte : Principal
Re: [Présidentielle juillet] Débat Economie
M. Borgia s'il est partiellement mon allié en terme d'idées est un homme libre qui fait ses choix librement, on ne peut pas en dire autant de la coalition actuelle qui, le couteau sous la gorge, se précipite sottement pour soutenir à l'unisson votre candidature au point de manquer de crédibilité.
M. Borgia a lui été polit en nous souhaitant bonne chance, à vous comme à moi. On ne peut pas en dire autant de votre fidèle amie Debora Da Silva qui me traite, je cite, d'opportuniste incolore et inodore. Belle vision du débat public.
Des sous entendus de spectacle, vous en avez fait avec votre fable sur les jardins et les mauvaises herbes. Je me contente simplement d'éclaircir votre propos bien dissimulé, mais que j'ai bien compris et que les frôceux eux aussi derrière leur écran ont compris.
Vous aimez me donner des intentions que je n'ai pas, c'est assez étonnant. Mais laissez moi remettre en cause ce que vous affirmez. Je vous vois tenter de changer de sujet sous le prétexte que vous ne voulez pas vous répéter alors qu'en fait vous ne voulez pas répondre. Moi je vais vous dire ce qui vous gêne, vous n'admettez pas la réalité parce que celle ci met à mal toute votre idéologie sectaire.
La dépêche de l'AIF sur les statistiques économiques de notre pays évoque des résultats trois ans après les mesures prises par Catherine de Cassagne, laissant les vôtres de mesures n'avoir aucun effet actuel. Je suis parfaitement au courant que vous aviez été ministre de l'Economie avant elle et si vous aviez un peu de bon sens, vous comprendriez que ce constat va dans mon sens.
Je ne suis pas en train de défendre l'intégralité du bilan des libertariens lorsqu'ils furent au pouvoir, sinon j'aurais pris ma carte du parti. Je note juste que certains principes libéraux ont eu leur effet escompté mais que sur le plan social il aurait fallu rester vigilant et protéger les frôceux des risques sociaux imputables à certaines mesures comme la RGPP.
M. Borgia a lui été polit en nous souhaitant bonne chance, à vous comme à moi. On ne peut pas en dire autant de votre fidèle amie Debora Da Silva qui me traite, je cite, d'opportuniste incolore et inodore. Belle vision du débat public.
Des sous entendus de spectacle, vous en avez fait avec votre fable sur les jardins et les mauvaises herbes. Je me contente simplement d'éclaircir votre propos bien dissimulé, mais que j'ai bien compris et que les frôceux eux aussi derrière leur écran ont compris.
Vous aimez me donner des intentions que je n'ai pas, c'est assez étonnant. Mais laissez moi remettre en cause ce que vous affirmez. Je vous vois tenter de changer de sujet sous le prétexte que vous ne voulez pas vous répéter alors qu'en fait vous ne voulez pas répondre. Moi je vais vous dire ce qui vous gêne, vous n'admettez pas la réalité parce que celle ci met à mal toute votre idéologie sectaire.
La dépêche de l'AIF sur les statistiques économiques de notre pays évoque des résultats trois ans après les mesures prises par Catherine de Cassagne, laissant les vôtres de mesures n'avoir aucun effet actuel. Je suis parfaitement au courant que vous aviez été ministre de l'Economie avant elle et si vous aviez un peu de bon sens, vous comprendriez que ce constat va dans mon sens.
Je ne suis pas en train de défendre l'intégralité du bilan des libertariens lorsqu'ils furent au pouvoir, sinon j'aurais pris ma carte du parti. Je note juste que certains principes libéraux ont eu leur effet escompté mais que sur le plan social il aurait fallu rester vigilant et protéger les frôceux des risques sociaux imputables à certaines mesures comme la RGPP.
Maire de Lônes et Vice-Président de l'Assemblée Nationale
Président de l'Union pour une Démocratie Républicaine
« La franchise est la meilleure des diplomaties, sans doute parce qu'elle ne fait pas de tort à l'autre » - Ivan Tourgueniev
- George Montgomery
- Président de la République
- Messages : 960
- Enregistré le : 11 févr. 2012, 23:05
Re: [Présidentielle juillet] Débat Economie
Tout à fait M. Bertrand. Vous êtes le candidat du rassemblement, tenancier du deux poids deux mesures. Je m’explique. Quand M. Borgia ou un autre vous soutient, il fait le bon choix, le choix pour la Frôce et un candidat brillant, au même niveau que le plus grand des résistants de la période de la dictature de Lacroix. Soit. Alors laissez-vous dire quelque chose : le soutien de Mme Da Silva, brillante ministre de l’économie, des finances et du travail, répond à une question simple, claire et précise : quel est notre projet pour la République ? Il se trouve que Mme Da Silva et sa formation politique connaissent votre programme, vos alliés et votre expérience. Au regard de ces trois critères, comme elle a eu le loisir de le dire, le vote Bertrand ne serait pas en adéquation avec ses idées et ses valeurs. Par contre, mon projet politique que je porte fièrement et dignement correspond à ses attentes. Je n’ai pas eu à aller discuter avec elle et ses militants pour les convaincre de faire le bon choix. Je n’ai pas eu à promettre à ses lieutenants comme on dit des postes en cas de victoire. Non. J’ai des valeurs et des principes. Si ces principes sont les vôtres, c’est votre problème mais ce ne sont pas mes principes. Je ne mange pas de ce pain-là. Par conséquent, je n’attends que des soutiens désintéressés et vraiment sincères. Je n’ai pas besoin du soutien de l’autre candidat de cette élection présidentielle pour convaincre les frôceux de la sincérité de ma candidature.
J’ai été le ministre qui a apporté 1,8 point de croissance en moyenne à notre pays pendant trois années consécutives. Ce qui a été fait après mon passage n’a aucune conséquence sur le bilan qui est le miens. Quel a été le bilan aujourd’hui des mesures des libertariens ? Une croissance à 1 %. Si chez vous c’est un meilleur résultat que 1,8 % tout en ayant détruit la fonction publique et des dizaines de milliers d’emplois, alors je ne peux plus rien pour vous. Mais vous parlez suffisamment du bilan et de l’action des libertariens pour faire naitre en moi une question : avez-vous, vous, une idée de comment sera votre politique ? Parce qu’hormis nous rabâcher à chaque fois que vous êtes en admiration devant le parti fossoyeur de l’économie publique frôceuse, je ne vois rien.
J’ai été le ministre qui a apporté 1,8 point de croissance en moyenne à notre pays pendant trois années consécutives. Ce qui a été fait après mon passage n’a aucune conséquence sur le bilan qui est le miens. Quel a été le bilan aujourd’hui des mesures des libertariens ? Une croissance à 1 %. Si chez vous c’est un meilleur résultat que 1,8 % tout en ayant détruit la fonction publique et des dizaines de milliers d’emplois, alors je ne peux plus rien pour vous. Mais vous parlez suffisamment du bilan et de l’action des libertariens pour faire naitre en moi une question : avez-vous, vous, une idée de comment sera votre politique ? Parce qu’hormis nous rabâcher à chaque fois que vous êtes en admiration devant le parti fossoyeur de l’économie publique frôceuse, je ne vois rien.
Président de la République
Ancien Premier ministre
Ancien Président de la Cour Suprême
Ancien Ministre d'Etat, de l'Intérieur et de la Défense
Ancien Ministre de la Justice et des Institutions
Ancien Ministre de l'Economie, des Finances et du Travail
Ancien Représentant parlementaire
Ancien Premier ministre
Ancien Président de la Cour Suprême
Ancien Ministre d'Etat, de l'Intérieur et de la Défense
Ancien Ministre de la Justice et des Institutions
Ancien Ministre de l'Economie, des Finances et du Travail
Ancien Représentant parlementaire