Visite en Palestine

[Dimitri Fevernov]

Mahmoud Abbas expliqua à Dimitri que leurs emplois du temps étaient surchargés et qu'ils ne pouvaient se permettre un bain de foule maintenant. Dimitri se montra compréhensif et indiqua à son homologue qu'il était près à le suivre en vue de discuter. Il fit quelques saluts de la main à la foule jusqu'à la voiture officielle, se demandant où ils allaient continuer leur conversation.

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

La conversation se déroule :


1,3,4,5 : Au palais présidentiel
2,6 : A l'ambassade frôceuse

[Dimitri Fevernov]

Le convoi se mit en route vers le palais présidentiel. Dans la voiture les deux Présidents discutèrent de banalités. Dimitri montra un intérêt particulier à la ville de Ramallah et à ses quartiers. Ils arrivèrent dans le batiment présidentiel et il suivit Abbas jusqu'à son bureau. Il récupéra la mallette d'Igor. Une fois seuls (avec un interprête), Dimitri entama les choses sérieuses :

- Je souhaite vous exprimer au nom de mon peuple, mon entier soutien dans votre démarche d'adhésion à l'ONU et à vous féliciter pour votre adhésion à l'UNESCO. Ces évènements marquent votre histoire et nos esprits. La Frôce soutient vos démarches et espèrent qu'elles se verront donner une suite favorable. Néanmoins, je souhaite aujourd'hui que nous allions plus loin. Je souhaite que nos pays signe un traité de reconnaissance. La Frôce souhaite reconnaitre la Palestine selon les frontières de 1967. Je ne suis pas venu les mains vides.

Il ouvrit la mallette et en sortit deux exemplaires du traité. Il laissa son homologue le lire et attendit son verdict.

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

Après lecture, Mahmoud Abbas :


1 : Refuse
2,4,5,6 : Accepte
3 : Hésite

[Dimitri Fevernov]

Les deux hommes prirent donc un stylo et signèrent le traité. Dimitri expliqua que pour qu'il soit effectif il fallait que l'Assemblée Nationale frôceuse le valide mais comme la majorité y était favorable, le traité serait approuvé. Après cela, Dimitri souhaite aborder l'état actuel de la Palestine et notamment des attentats :

- Les attentats faits par certains extrémistes à l'encontre d'Israël sont en partie responsables des difficultés rencontrées dans l'accord de paix. La Frôce souhaite lutter de façon durable contre le terrorisme, sur son sol et dans le monde. J'ai pour projet de créer une coopération de nos forces policières et de renseignements avec celles d'autres états pour rendre cette lutte efficace. C'est actuellement un projet que j'aimerais concrétiser. Seriez-vous intéressé ? Cela pourrait renforcer votre démarche de paix et d'apaisement.

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

1,3 : Il accepte
2,6 : Il refuse
4,5 : Il hésite et demande un délai pour réfléchir

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

Les raisons de son refus :


1,3 : Il n'estime pas la lutte anti terroriste comme une priorité.
2,5 : Il considère que les actes terroristes sont le fait de personnes excédées par la spoliation d'Israël.
4,6 : Il pense qu'Israël est autant impliqué dans le terrorisme et refuse de faire le premier pas.

[Dimitri Fevernov]

- Effectivement, j'imagine que vos efforts doivent sur concentrer sur d'autres éléments. Sachez que si vous changez d'avis, la Frôce vous apportera toute l'aide nécessaire.

Il rangea le traité dans la mallette et demanda :

- Voyez-vous d'autres sujets à aborder ?

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

1 : Oui
2 : Non

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

Lequel ?


1,2 : Une aide humanitaire de la Frôce
3 : Une aide militaire de la Frôce pour attaquer les territoires colonisés par Israël
4,5 : Un contrat commercial entre les deux pays
6 : Un pacte militaire de défense mutuelle