[Spécial élections] janvier 2013
Posté : 07 janv. 2013, 02:02
Avec probablement 7 listes en compétition, les élections législatives de janvier 2013 s'annoncent autrement plus intéressantes que la purge initiée au mois de novembre ayant offert une victoire confortable au Parti Social-Démocrate qui fut surtout marquée par l'émergence de l'Alternative Démocrate Libertarienne.
Le contexte politique semble très défavorable à la gauche, beaucoup qualifient Joseph Vossen de pire Premier ministre depuis Bilbo Arcson suite à ses longues indécisions en début de mandat et à sa gestion peu appréciée de l'affaire Kent & Derek. Ses partenaires de coalition du RSE ont quant à eux été victimes des absences prolongées d'Alessandra Gasparini et Richard Cypher et ne semblent pas en mesure de reprendre la tête à gauche.
Du côté de la droite, on peut espérer, si le RDF a eu un retentissement quasi nul sur le débat politique national, l'ADL menée par Valentino Borgia a mené une opposition plus combattive qu'à l'accoutumée et l'Alliance Nationale a fait des débuts remarqués. Le constat est plus mitigé pour l'UPF dont le leader Arthur Carapin n'a pas démérité, mais a été lâché par ses lieutenants, la présence même de son parti aux législatives semble même causer des doutes chez certains observateurs.
Le centre, absent de la dernière élection, peut nourrir quelques espoirs avec la présence du Centre Humaniste mené par l'ancien président François Askalovitch, en revanche l'ARC menée par un autre ex-président, Louis Lacroix, ne devrait pas présenter de liste d'après quelques membres de la future direction interrogés par la TCF.
Le premier sondage de notre partenaire ICOC :
ADL (20.8%): 56 députés (- 17)
PSD (20.3%): 54 députés (- 30)
RSE (13.8%): 37 députés (- 22)
CH (13.8%): 37 députés (+ 37)
AN (13.3%): 36 députés (+ 13)
UPF (9.6%): 25 députés (- 3)
RDF (8.4%): 22 députés (+ 22)
Selon ce sondage, ce sont de lourdes pertes qui s'annoncent pour la coalition au pouvoir, avec 52 sièges perdus, principalement au bénéfice des nouvelles formations politiques, la pire performance des deux partis depuis les très agitées législatives de mars 2012. A l'inverse les forces nationalistes se dirigent vers une performance historique avec 61 députés, ce qui constituerait la deuxième meilleure performance de ce courant de pensée après l'élection de juillet 2010 et ce qui en ferait pour la première fois la première tendance politique du pays.
Mais le grand gagnant semble être l'ADL de Valentino Borgia, même si son parti semble voué à perdre des sièges, le sondage le place en tête et offre une majorité absolue aux 4 forces de droite combinées avec 52,1 % des intentions de vote et 139 députés, 5 de plus que nécessaire et place tous ses concurrents de droite très loin du parti libertarien. Si les partis de droite parviennent à s'unir, le président de la province du Piémont, Valentino Borgia serait probablement le premier chef de gouvernement libertarien de l'Histoire de Frôce et le premier dirigeant issu d'une coalition de droite depuis Jack Kusher en juin 2011.
Rappelons toutefois que le taux d'indécision reste très haut avant la campagne officielle.
Le contexte politique semble très défavorable à la gauche, beaucoup qualifient Joseph Vossen de pire Premier ministre depuis Bilbo Arcson suite à ses longues indécisions en début de mandat et à sa gestion peu appréciée de l'affaire Kent & Derek. Ses partenaires de coalition du RSE ont quant à eux été victimes des absences prolongées d'Alessandra Gasparini et Richard Cypher et ne semblent pas en mesure de reprendre la tête à gauche.
Du côté de la droite, on peut espérer, si le RDF a eu un retentissement quasi nul sur le débat politique national, l'ADL menée par Valentino Borgia a mené une opposition plus combattive qu'à l'accoutumée et l'Alliance Nationale a fait des débuts remarqués. Le constat est plus mitigé pour l'UPF dont le leader Arthur Carapin n'a pas démérité, mais a été lâché par ses lieutenants, la présence même de son parti aux législatives semble même causer des doutes chez certains observateurs.
Le centre, absent de la dernière élection, peut nourrir quelques espoirs avec la présence du Centre Humaniste mené par l'ancien président François Askalovitch, en revanche l'ARC menée par un autre ex-président, Louis Lacroix, ne devrait pas présenter de liste d'après quelques membres de la future direction interrogés par la TCF.
Le premier sondage de notre partenaire ICOC :
ADL (20.8%): 56 députés (- 17)
PSD (20.3%): 54 députés (- 30)
RSE (13.8%): 37 députés (- 22)
CH (13.8%): 37 députés (+ 37)
AN (13.3%): 36 députés (+ 13)
UPF (9.6%): 25 députés (- 3)
RDF (8.4%): 22 députés (+ 22)
Selon ce sondage, ce sont de lourdes pertes qui s'annoncent pour la coalition au pouvoir, avec 52 sièges perdus, principalement au bénéfice des nouvelles formations politiques, la pire performance des deux partis depuis les très agitées législatives de mars 2012. A l'inverse les forces nationalistes se dirigent vers une performance historique avec 61 députés, ce qui constituerait la deuxième meilleure performance de ce courant de pensée après l'élection de juillet 2010 et ce qui en ferait pour la première fois la première tendance politique du pays.
Mais le grand gagnant semble être l'ADL de Valentino Borgia, même si son parti semble voué à perdre des sièges, le sondage le place en tête et offre une majorité absolue aux 4 forces de droite combinées avec 52,1 % des intentions de vote et 139 députés, 5 de plus que nécessaire et place tous ses concurrents de droite très loin du parti libertarien. Si les partis de droite parviennent à s'unir, le président de la province du Piémont, Valentino Borgia serait probablement le premier chef de gouvernement libertarien de l'Histoire de Frôce et le premier dirigeant issu d'une coalition de droite depuis Jack Kusher en juin 2011.
Rappelons toutefois que le taux d'indécision reste très haut avant la campagne officielle.