Atelier : Législations exceptionnelles
Posté : 21 mars 2012, 03:24
Messieurs les membres de la commission,
La mission qui nous revient ne peut être rendue possible que par l'application de mesures exceptionnelles, je n'aime guère ces procédés en temps normal, mais pour être fiers de notre Histoire, il est de notre devoir de montrer aux générations à venir ce qu'il advient des personnes ayant trahi notre système démocratique.
La première proposition qui me vient à l'esprit est bien entendu l'abolition de la période de prescription pour l'ensemble des crimes ayant permis d'établir, de solidifier ou de soutenir la dictature. Les délits ne seront pas concernés étant donné que nous nous devons de nous placer dans le combat d'avant garde et non dans le combat d'arrière-garde.
La deuxième proposition est le vote d'une loi permettant à l'Assemblée Nationale d'accorder l'immunité partielle ou totale à une personne permettant d'établir la culpabilité ou de localiser un auteur de crime particulièrement grave, le critère de crime particulièrement grave s'appliquerait bien sur aux crimes dictatoriaux. Je pense que les exécutants peuvent se racheter de leur faute en nous aidant à localiser les vrais monstres.
La troisième proposition est la mise en place d'une peine d'indignité nationale, réservée aux personnes reconnues coupables des crimes suivants :
- Haute trahison
- Intelligence avec une puissance étrangère
- Trahison
- Tout crime de catégorie A à D ayant permis d'établir, consolider ou soutenir la dictature en Frôce
Cette sanction qui doit être prononcée à l'unanimité des juges induit la saisie de tous les biens du condamné au profit de l’État et la déchéance de sa nationalité frôceuse sans possibilité de la récupérer.
La quatrième proposition est la mise en place d'une loi qualifiant de circonstance aggravante pouvant doubler la peine encourue le lien d'un crime avec la dictature.
La dernière proposition est l'adoption d'une loi mettant hors la loi toute association ayant soutenu la dictature de façon directe. Les conséquences seraient les suivantes :
- Dissolution des partis politiques ayant soutenu la dictature
- Dissolution des associations à but non lucratif ayant soutenu la dictature
- Mise sous tutelle des fédérations sportives ayant soutenu la dictature
- Nationalisation sans compensation des entreprises ayant soutenu la dictature
Messieurs les membres de la commission, je requiers votre avis sur ces propositions et je suis à votre écoute si vous en émettez d'autres.
La mission qui nous revient ne peut être rendue possible que par l'application de mesures exceptionnelles, je n'aime guère ces procédés en temps normal, mais pour être fiers de notre Histoire, il est de notre devoir de montrer aux générations à venir ce qu'il advient des personnes ayant trahi notre système démocratique.
La première proposition qui me vient à l'esprit est bien entendu l'abolition de la période de prescription pour l'ensemble des crimes ayant permis d'établir, de solidifier ou de soutenir la dictature. Les délits ne seront pas concernés étant donné que nous nous devons de nous placer dans le combat d'avant garde et non dans le combat d'arrière-garde.
La deuxième proposition est le vote d'une loi permettant à l'Assemblée Nationale d'accorder l'immunité partielle ou totale à une personne permettant d'établir la culpabilité ou de localiser un auteur de crime particulièrement grave, le critère de crime particulièrement grave s'appliquerait bien sur aux crimes dictatoriaux. Je pense que les exécutants peuvent se racheter de leur faute en nous aidant à localiser les vrais monstres.
La troisième proposition est la mise en place d'une peine d'indignité nationale, réservée aux personnes reconnues coupables des crimes suivants :
- Haute trahison
- Intelligence avec une puissance étrangère
- Trahison
- Tout crime de catégorie A à D ayant permis d'établir, consolider ou soutenir la dictature en Frôce
Cette sanction qui doit être prononcée à l'unanimité des juges induit la saisie de tous les biens du condamné au profit de l’État et la déchéance de sa nationalité frôceuse sans possibilité de la récupérer.
La quatrième proposition est la mise en place d'une loi qualifiant de circonstance aggravante pouvant doubler la peine encourue le lien d'un crime avec la dictature.
La dernière proposition est l'adoption d'une loi mettant hors la loi toute association ayant soutenu la dictature de façon directe. Les conséquences seraient les suivantes :
- Dissolution des partis politiques ayant soutenu la dictature
- Dissolution des associations à but non lucratif ayant soutenu la dictature
- Mise sous tutelle des fédérations sportives ayant soutenu la dictature
- Nationalisation sans compensation des entreprises ayant soutenu la dictature
Messieurs les membres de la commission, je requiers votre avis sur ces propositions et je suis à votre écoute si vous en émettez d'autres.