[13 rue de Pattada] Chez Laurent de Montredon
Posté : 15 mars 2012, 19:31
Laurent de Montredon a emménagé il y a peu dans sa maison de banlieue à Anglès. Il a ainsi rejoint son frère, qui y travaille comme employé, et la famille de sa femme, origine de l'île des Prigors. Quitter Cofonoria lui a déchiré le coeur lui qui y était "né" selon ses propres termes. En réalité, Laurent de Montredon n'était probablement pas né sur le sol frôceux. Mais la famille qui l'avait accueilli y habitant depuis l'éternité et il avait totalement adopté l'archipel et ses habitants. Etchegorda était sa ville.
Alors en partir pour regagner l'île des Prigors, plus sêche, plus montagneuse, plus rude dans un certain sens, avait été très dur. C'était une idée de sa femme. Après le dépôt de la motion constructive à l'assemblée nationale, et malgré sa "victoire" au bout du processus, Laurent de Montredon avait pris un coup au moral. Il avait assuré la transition démocratique et avait regagné le camp des citoyens avec un certain soulagement. Retourner à Etchegorda, mairie qu'il avait quitté, croyant plus que tout en la valeur de cette démission, aurait été prendre les Etchegordiens pour des idiots et des mouchoirs.
Anglès serait donc sa nouvelle destination.
Dans son semi malheur, son beau père était proche de fonctionnaires de mairie. Il ne tarda pas à l'informer que Montredon avait sa petite popularité dans le coin. Dans un premier temps, l'idée ne l'avait pas emballé. Il était fatigué de la politique nationale et souhaitait partir pour Marseille pour se ressourcer auprès de sa "soeur de sac poubelle" comme il l'aimait l'appeler.
Mais la proposition qui s'était offerte à lui pour reprendre les députés de Stefano Peruzzi lui était apparue comme intéressante. Sans compter qu'il briguait la place de porte parole du RSE. Les vacances seraient pour plus tard.
Alors en partir pour regagner l'île des Prigors, plus sêche, plus montagneuse, plus rude dans un certain sens, avait été très dur. C'était une idée de sa femme. Après le dépôt de la motion constructive à l'assemblée nationale, et malgré sa "victoire" au bout du processus, Laurent de Montredon avait pris un coup au moral. Il avait assuré la transition démocratique et avait regagné le camp des citoyens avec un certain soulagement. Retourner à Etchegorda, mairie qu'il avait quitté, croyant plus que tout en la valeur de cette démission, aurait été prendre les Etchegordiens pour des idiots et des mouchoirs.
Anglès serait donc sa nouvelle destination.
Dans son semi malheur, son beau père était proche de fonctionnaires de mairie. Il ne tarda pas à l'informer que Montredon avait sa petite popularité dans le coin. Dans un premier temps, l'idée ne l'avait pas emballé. Il était fatigué de la politique nationale et souhaitait partir pour Marseille pour se ressourcer auprès de sa "soeur de sac poubelle" comme il l'aimait l'appeler.
Mais la proposition qui s'était offerte à lui pour reprendre les députés de Stefano Peruzzi lui était apparue comme intéressante. Sans compter qu'il briguait la place de porte parole du RSE. Les vacances seraient pour plus tard.