Frôce - Archives V2

Bonsoir à tous et à toutes, bienvenue dans l'émission courte et rapide intitulée " Sur le grill ". Je poserai quelques questions à un représentant de chaque parti politique frôceux sur la politique, sur sa vie, sur l'actualité nationale et internationale.
Ce soir, devant moi, se trouve Maxime Dellas, Président de la Fédération Démocrate Frôceuse, merci d'avoir accepté cette invitation.


Que pensez-vous du résultat des élections législatives? Est-ce que la FDF peut soutenir une alliance centriste?
Le résultat des législatives nous montre plusieurs choses, d'une part la Frôce a souhaité, souhaite, une alternance vis-à-vis des deux précédant gouvernements qui on été assez bien marqués à gauche ... Ensuite, il y a l'émergence de partis nouveaux qui ont choisis de représenter de nouvelles idées, de proposer un nouveau programme aux frôceux. Au moment de la création de la FDF, les législatives qui ont suivi ont été remportées par la FDF. Tout cela se situe dans une suite logique ...
Enfin, je pense qu'il faut admettre que nous avons participer de façon moins présente aux débats et à la campagne de ce mois de mars ...

La FDF peut elle soutenir une alliance centriste ? Bien sûr ! L'un de nos soucis premier, à la FDF, est de prendre acte du choix des frôceux qui, cette fois ci, c'est porté sur des partis à tendances centristes. De plus, même si certains disent que notre message s'est radicalisé à gauche, nous réaffirmons aujourd'hui que nous sommes bien un parti de centre-gauche !

Allez-vous demissioner après une telle gifle électorale? Si non, vous êtes candidat au poste de Premier Ministre aux prochaines élections?
La FDF a enregistré ses pires résultats électoraux depuis sa création. Néanmoins, au sein du parti, ni moi ni personne n'avons envisagé de changer de Présidence. Donc clairement NON, je ne démissionnerai pas !
Ensuite, comme je l'ai dit, le premier soucis à la FDF est de respecter le choix de l'électeur qui n'a visiblement pas souhaiter nous re-donner sa confiance. Ce choix, j'en prends note et je l'accepte. Donc NON je ne me présenterai pas au poste de Premier Ministre.

La gauche radicale, votre ancien allié gouvernemental, revient à l'Assemblée Nationale... une réaction?
Eh bien, les gens le savent, je ne suis pas plus attaché que ça à l'extrémisme politique ... Néanmoins, il y a des gens au sein de cette branche politique que je connais bien et que j'apprécie ! Je leur souhaite donc un bon retour ! Rires !

Le RDS, ca vous dit quoi? Qu'en pensez-vous?
Le RDS fait partie de nos alliés. Dans le sens où nous avons gouverné avec eux durant deux législatures ...
Il y a eu des tensions certes entre nos deux formations politiques. Mais maintenant l'heure n'est plus à la discorde entre nous et je me vois bien diriger avec eux dans 8 semaines ne fut-ce que pour faire enrager le PLC ! Rires !

McGregor despote dégagé ou homme d'état préparant son retour?
Ni l'un ni l'autre. Benjamin n'a pas été un despote. Il a dirigé à la fois un gouvernement et un parti ... On l'a assimilé à un hyper-dirigent. Mais quand il a fallu remettre la FDF dans une ligne idéologique droite, il était au premier rang !
Mais il est toujours présent sur la scène nationale ! Ce n'est pas parce qu'on exerce plus de mandats qu'on est mort en politique ! De plus, il est toujours, à l'heure actuelle, Trésorier et Porte-Parole de la FDF.

Un ami, un ennemi, un caractère dérangeant?
Un ami ! Quoi qu'il arrive, Ben sera toujours mon ami ! Parce qu'il a été là pour m'aider, j'ai été présent aussi.
Il n'est certainement pas quelqu'un qui me dérange. Il a ses idées et ses valeurs et il déteste qu'on crache dessus voilà pourquoi il s'est parfois emporté. mais c'est quelqu'un d'honnête qui fait partie de mes plus proches amis. Comme des gens comme Hugo Salinovitch, par exemple ...

La France va choisir son Président de la République en mai, vous êtes pour qui ? Pourquoi?
Je soutiens, de façon tout à fait personnelle, François Hollande. Car il est celui qui incarne le mieux mes idées, du coté français. Je pense également que sur le plan des relations franco-frôceuses, il sera plus facile de discuter avec Mr Hollande qu'avec d'autres candidats ...

Quelles sont, pour vous, les trois choses à faire dès demain ?
Eh bien retourner travailler, d'abord ! Tous à notre niveau. Moi se sera à la fois à la FDF, à la fois à Hofbach. Il faut construire notre Frôce tous les jours !
Ensuite, agir selon nos valeurs, notre conscience et notre devoir.
Et enfin, aimer ceux qui nous entoure.
Voilà comment, selon moi, on peut tous faire avancer la Frôce !

Vous avez des défauts? On peut les connaitre?
Oh ! Eh bien, je suis un idéaliste. Et comme tous les idéalistes, il m'arrive de me prendre des gifles lorsque l'on se réveille et que l'on se rend compte que le Monde n'est pas comme on l'avait imaginé ...
Mais c'est aussi une force ! Celle qui fait que l'on sait ce que l'on veut et qui fait qu'on est prêt à tout pour faire triompher ses idées !

Un rêve? Une ambition? Un secret ? Une confidence ?
Sur le plan personnel, un mariage ... J'ai auprès de moi, maintenant, une compagne discrète mais qui a été présente quand les choses se sont un peu gâtées pour la FDF. Mais maintenant c'est croire en un demain plus beau avec elle. sourire.
Et sur le plan professionnel, dynamiser Hofbach ! Encore et toujours plus ! Et puis, ... peut être que dans 8 semaines on aura des surprises. sourire.

Merci Monsieur Dellas. C'était Maxime Dellas, Président de la Fédération Démocrate Frôceuse. Bonne soirée à tous et à toutes !

Bonjour à tous et à toutes, bienvenue dans l'émission courte et rapide intitulée " Sur le grill ". Hier l'émission a commencé et désormais, chaque jour, je poserai quelques questions à un représentant de tout les partis politique frôceux sur la politique, sur sa vie, sur l'actualité nationale et internationale.
Ce midi, devant moi, se trouve Louis Lloyd, co-président de la Nouvelle Volonté d'Action, merci d'avoir accepté cette invitation.


Que pensez-vous du résultat des élections législatives? Est-ce que la NVA va entrer dans un gouvernement centriste?

La Nouvelle Volonté d'Action, parti auquel j'appartiens depuis peu, a remporte le challenge qu'elle s'était fixé à savoir devenir un formation qui compte dans notre pays. Alors que les sondages préélectoraux nous créditaient d'un score entre 1 et 2%, si je me souviens bien, nous avons réussi à renverser la tendance grâce à un travail en interne et une campagne rondement menée. Au final, je suis heureux que plus de 8% des frôceux se sont portés sur nos candidats. A titre personnel, j'ai été un des fers de lance de notre mouvement durant les débats et cela m'a plu. Je ne suis pas déçu de la politique frôceuse ! Quant à une entrée au gouvernement, la NVA est disposée à le faire si nos idées sont respectées car nous avons été élus grâce à notre programme. La politique, ma conception, ce n'est pas abandonner ses convictions pour des postes. On verra bien, nous sommes actuellement en discussion avec les partis idéologiquement proches de nous: je n'ai pas d'informations plus précises à donner.

Quels seraient selon vous les avantages et les inconvénients d'un tel gouvernement?

Le principal avantage c'est que nous y serons (rires) ! Enfin, un gouvernement centriste est en adéquation avec notre positionnement politique donc on ne va pas se plaindre de voir des compères du centre droit et du centre gauche converger vers nous pour trouver un accord gouvernementale. Par ailleurs, je pense que la plupart des mouvements centristes à savoir la NVA, le RPR et le DUC sont des partis qui ont à prouver leur valeur en quelque sorte, ce sera une première pour ces formations assez jeunes. En effet, je pense que l'USD et la NVA sont deux aventures différentes, nous avons fait table rase du passé et repartons sur des nouvelles bases. C'est aussi un problème, cette nouveauté, finalement, nous ne sommes pas des politiciens qui ont l'habitude de travailler ensemble. Il va falloir un temps d'adaptation si l'équipe gouvernementale se concrétise. De plus, je voudrais ajouter que la configuration de l'Assemblée laisse peu de marge de manoeuvre mine de rien, le consensus sera de rigueur.

La gauche et la droite radicale, sont renforcés à l'Assemblée Nationale... une réaction?

C'est le choix des frôceux. Après il est évident que la NVA ne s'associera ni à la droite de la droite ni la gauche de la gauche. Je ne veux pas participer à la diabolisation des extrêmes, cela ferait leur jeu et c'est même plutôt facile de s'y attaquer. Dans nos institutions, nous avons choisi un système qui permet à l'ensemble des partis de s'exprimer et d'entrer à l'Assemblée Nationale: c'est un risque. Mais je vois la République, et surtout les valeurs qu'elle promeut, plus forte que les ambitions extrémistes. A ce propos ce sont eux qui soi-disant sont les défenseurs de nos valeurs, alors que leurs programmes sont truffés de mesures liberticides. Je leur rappelle que notre devise est Justice, Liberté, Démocratie. Le retour en arrière et la fin des droits, ce n'est pas ce pourquoi les frôceux se sont battus pour la République.

La FDF est morte, vive la FDF?

La FDF n'est pas morte avec quelques députés elle reste une force à l'Assemblée Nationale. Bon, c'est vrai que cela sent plus la fin que le début de leur côté. L'usure du pouvoir et le renouvellement des dirigeants peuvent expliquer cette baisse de régime. J'ai envie de leur dire: vous avez travaillé pendant plusieurs mois, très bien, maintenant laissez nous, nous allons tenter de faire mieux. Leur politique a eu des bons points mais ils ont beaucoup trop lâché à la gauche réactionnaires. Et puis, leur groupe humain a explosé sur les dernières semaines. Ils ont perdu un peu de leur âme là-dedans.

L'homme politique avec lequel vous vous entendez le mieux?

Ce serait intéressant de me reposer cette question dans quelques mois quand je me serais confronter à davantage de personnes. Aujourd'hui, c'est Ryan Linden Hagen qui est le politicien avec qui je m'entends le mieux. Logique, il m'a accueilli au NVA, nous avons élaborer la majorité du programme ensemble et puis nous dirigeons le parti en binôme. Vous savez, je n'ai pas encore rencontré beaucoup de monde. J'ai une approche encore trop partisane des politiciens des autres formations puisque je ne les ai rencontré que dans le cadre des débats où nous étions face-à-face. Je ne connais donc pas les personnalités et n'ai pas encore développé des affinités particulières, même si j'ai eu vent des "stars" de la politique par le biais des médias. Il y en a dont j'aime bien le message d'autre moins.

Je me souviendrai de ça donc, je vous reposerai la question d'ici quelques émissions...Votre idole politique? Musicale? Historique?

J'ai un peu du mal avec le terme "idole", cela fait un peu fanatique. Si j'avais quelqu'un à mettre en avant sur ces dernières années politiquement, ce serait Tony Blair, j'ai apprécié sa politique à part la guerre en Irak. Côté musical, je suis un fan de Pete Doherty, bon ce n'est pas un exemple de comportement à suivre, sauf que musicalement ce qu'il a fait depuis le début des années 2000 avec les Libertines, les Babyshambles ou en solo c'est vraiment pas mal. Après, si on remonte à plus loin j'adore les Clash. Sinon, historiquement, je pencherais pour Winston Churchill. Mince encore un britannique ? Décidément, je ne me détache pas de mes racines. Bon, je vais changer et dire l'actuel roi d'Espagne Juan Carlos. J'ai beaucoup d'admiration pour ce qu'il a fait en faveur de son pays, notamment la démocratisation, et au final l'embellie espagnole dans tous les domaines des années 1990 voire même du début des années 2000 cela vient quand même de la fin de la dictature: il symbolise cela, un grand monsieur.

La France va choisir son Président de la République en mai, vous êtes pour qui ? Pourquoi?

Si j'étais français, je voterais pour François Bayrou car c'est celui de qui je suis le plus proche en terme d'idées, c'est assez banal.

Quelles sont, pour vous, les trois choses à faire dès demain en Frôce?

Mon objectif, c'est de faire de la Frôce une terre d'innovation et de dynamisme économique. Quelque soit le domaine dans lequel je pourrais plancher en tant que représentant de la Nation, j'aurais ce principe en tête. Donc forcément, il faut améliorer l'éducation, la recherche, la création d'entreprise, les nouvelles technologies... Sans oublier de garantir un progrès parce que la société doit avancer et non reculer, on revient sur nos amis réactionnaires qui eux promettent le retour en arrière sur des points qui sont désormais inscrits dans la pensée frôceuse. Le conservatisme, c'est la peur du futur donc on se raccroche au passé. Au contraire, je souhaite que l'on bâtisse le futur et ce futur doit être meilleur que notre présent, c'est le sens de l'évolution.

Quels sont les vos points forts ? Vos points faibles?

Je suis assez attentionné et patient comme homme donc on peut dire que ce sont des intéressants quand on fait de la politique. Parfois, je pêche parfois par excès de confiance. Non pas en moi mais en général, je suis optimiste donc cela peut me jouer des tours. Que voulez vous, on ne se refait pas.

Vous avez un rêve? Une ambition? Un secret ? Une confidence ?

Petit, je voulais être le buteur du XV gallois. Bon, comment dire, apparemment cela n'a pas marché même si j'ai joué de nombreux matchs au niveau amateur qui m'ont comblé. Désormais, ce serait d'être le buteur de l'équipe de Frôce, métaphoriquement parlant, être là quand on aura besoin de moi. Qu'importe la situation, face au poteaux je sais garder mon calme et au pire si le ballon passe à côté, cela fera un heureux dans les tribunes.

Merci Monsieur Lloyd. C'était Louis Lloyd, Président de la Nouvelle Volonté d'Action. Bonne soirée à tous et à toutes !

Bonsoir à tous et à toutes, bienvenue dans l'émission courte et rapide intitulée " Sur le grill ". Je vais, comme d'habitude, poser quelques questions à un représentant de tout les partis politique frôceux sur la politique, sur sa vie, sur l'actualité nationale et internationale. Le mettre sur le grill globale, pour ce premier tour des partis.
Ce soir, devant moi, se trouve Vincent Valbonesi, Président du Rassemblement Pour la République, merci d'avoir accepté cette invitation.


Que pensez-vous du résultat des élections législatives ? Quelle serait votre coalition idéale ?

Le résultat des élections législatives sème le trouble plus qu’autre chose. Les frôceux ont la chance d’avoir un panel de solution politique extrêmement élevé, par conséquent, au moment du choix, les esprits se dispersent et l’on se retrouve avec un hémicycle explosé en neuf partis. On se retrouve avec trois forces politiques majeures : la gauche, le centre et la droite. Avec pour la gauche et la droite, une radicalité qui me déplait fortement. C’est pourquoi, je prône une alliance des partis modérés, par conséquent, les plus au centre de l’échiquier politique national. Une coalition entre la FDF, le DUC, la NVA et le RPR qui ont toutes et tous des positions modérées et républicaines permettrait à la Frôce d’être gouverné avec stabilité et consistance.

Si vous êtes Premier Ministre, votre Premier voyage, c'est où et avec qui ?

Comme vous le savez, les affaires étrangères sont du ressort du Président de la République. Cependant, j’ai bien l’ambition de proposer une réforme constitutionnelle pour permettre au gouvernement élu par le peuple de prendre en main ce secteur-là de notre politique nationale. Cependant, un Premier ministre a toute la liberté qu’il souhaite de se rendre à l’étranger, dans cette optique, il me semble important de joindre l’utile à l’agréable, c’est pourquoi une tournée rapide sera prévue chez nos plus proches partenaires : la France, l’Italie et l’Espagne. Je n’ai pas spécialement d’affinité avec les pouvoirs en place mais il est aujourd’hui important de reconnaître et d’honorer les amis de la Frôce.

Le centre, c'est quoi ? Un peu de gauche et de droite mélangé ?

Le centre, c’est la combinaison de plusieurs facteurs essentiels. Le centre est favorable au capitalisme, comme la quasi-totalité des partis qui existent, même à gauche. Nous ne souhaitons aucune révolution d’aucune sorte. Au contraire, nous préconisons une intervention étatique beaucoup plus importante que ce qu’elle n’est aujourd’hui. Mais le centre a aussi pour caractéristique, et j’y tiens beaucoup, à mettre en œuvre une véritable politique sociale. Je n’ai eu de cesse tout au long de ma carrière de me préoccuper des plus faibles d’entre nous, cette attention, je compte la conserver tout au long de ma vie politique future, que je sois aux responsabilités ou non. Le centre, via le RPR et lui seul, est une idéologie qui permet de rassembler autour de lui. Mais uniquement des partis progressistes et non des partis extrémistes. Voilà notre limite.

Le PLC est second, une paix est possible ?

Le PLC est second oui, et je déplore une nouvelle fois devant vous un score aussi élevé de la part de l’extrême droite. J’ai participé à la fondation de ce parti sur des valeurs autres que celles actuellement à la tête du parti à travers ses dirigeants qui ont, comme on le sait tous, tenus des propos humiliants et scandaleux sur bien des sujets. Tant que le PLC ne retrouvera pas des allures modérées, républicaines et surtout, respectables, aucun rapprochement ne sera possible. Je vous rappelle que c’est le PLC qui a ouvert les hostilités en appelant ouvertement à une guerre ouverte avec le RPR auquel j’appartiens. Par conséquent, j’en appelle au droit d’inventaire de ce côté de l’échiquier politique : nous ne travaillerons jamais avec les extrêmes.

Les hommes politiques de gauche et de droite que vous admirez le plus ?

C’est une question pour le moins polémique à laquelle j’ai droit dites-moi ! Pour ma part, j’envisage deux individus à gauche qui bénéficient d’un talent politique indéniable, je ne parle pas des idées, uniquement des personnes, je pourrais citer MM. Salinovitch, Vossen et Peruzzi. Du côté de la droite, je dirai que l’ensemble des individus membres du PRF de l’époque sont des gens responsables et respectables. Je n’oublie pas l’ancien Président Lacroix de Beaufoy qui a rejoint les rangs du RPR dernièrement. Je n’ai aucune reconnaissance envers les membres du PLC si ce n’est M. Harper qui s’est un peu perdu dans ce parti sans trop savoir pourquoi ni comment.

Si vous étiez un simple citoyen, quels seraient vos principales exigences dès demain ?

Il y a une défiance généralisée aujourd’hui, cela à cause d’un manque de prise de responsabilité des gouvernements précédents, entre le peuple de Frôce et la politique. J’aspire à ce que la politique redevienne un symbole d’unité et d’espérance pour l’avenir. Tout citoyen, au-delà de ses convictions idéologique, ne peut se satisfaire de voir son pays et son gouvernement nager dans le trouble. C’est pourquoi il me semble aujourd’hui comme prioritaire de demander aux politiciens en tout genre de rétablir ce lien de confiance si important entre eux et le peuple.

La France va choisir son Président de la République en mai, vous êtes pour qui ? Pourquoi ?

Pour ma part, j’apporterai mon soutien à M. François Bayrou qui est un homme du centre, tout comme moi, et qui souhaite mettre en place une politique semblable à la mienne en cas d’accession aux responsabilités.

Mc Gregor - Montredon, vous applaudissez qui ?

Les deux ont eu un parcours connus et reconnus à la tête du gouvernement, je n’ai pas de préférence. Les alliances étaient déjà bien compliquées de leur temps, je n’ose imaginer ce que cela va donner au niveau stabilité pour la législature à venir.

Quels sont les vos points forts ? Vos points faibles ?

L’énergie me caractérise probablement le mieux. Chaque matin j’ai une envie folle de me donner corps et âmes pour la cause à laquelle je me suis engagé étant plus jeune : la Frôce. Cet excès d’énergie peut être une difficulté parfois quand la situation impose un peu plus de retenu. Mais que voulez-vous, je suis fait comme ça et ça n’est pas à mon âge que cela changera !

Vous avez un rêve ? Une ambition ? Un secret ? Une confidence ?

Je n’ai pas de rêve non, j’ai seulement des espérances et des attentes fortes, très fortes envers autrui et envers l’avenir. J’aime me considérer comme un bâtisseur qui apporte réellement à la société et qui ne se contente pas de belles paroles. C’est avec cet esprit que je conduis une politique locale à Casarastra et une politique nationale, je l’espère, avec le RPR. J’aime les hommes et les femmes qui agissent pour la collectivité.

Merci! C'était Vincent Valbonesi, Président du RPR. Bonne soirée à tous et à toutes ! Demain midi, je recevrai Hugo Salinovitch, Président du RSE.

Bonjour à tous et à toutes, bienvenue dans l'émission courte et rapide intitulée " Sur le grill ". Je vais, comme d'habitude, poser quelques questions à un représentant de tout les partis politique frôceux sur la politique, sur sa vie, sur l'actualité nationale et internationale. Le mettre sur le grill global, pour ce premier tour des partis.
Ce midi, devant moi, se trouve Hugo Salinovitch, Président du Rassemblement pour la Démocratie et le Socialisme, RDS, merci d'avoir accepté cette invitation.
•Que pensez-vous du résultat des élections législatives? Est-ce que le RDS à capter l'électorat des Démocrates?

Hé bien, nous prenons acte de ce résultat. Il n'est pas bon pour la gauche. C'est bien sûr une déception. Mais cette défaite est plutôt celle du camp dont vous parlez. La GPC fait son retour, le RDS sort renforcé, le REC se maintient, donc la gauche n'est pas complétement défaite. Sont défaits les indécis, les incertains. Les électeurs n'ont pas été dupes.

Le RDS a en effet réussi à capter une partie de cet électorat. Tous ceux qui ont vu le travail du RDS au gouvernement, le fait que le RDS a réussi à maintenir la majorité à gauche. Tous les électeurs de gauche de ce parti nous ont rejoint pour ces raisons. Le RDS a été présent, a proposé des projets de gauche que cela soit M. Albus, M. Cypher ou moi-même.

•Le RDS actuel n'a jamais eu de Premier Ministre véritable, seriez-vous, dès les prochaines élections législatives, le candidat du RDS à ce poste?

Merci, vous êtes gentil, j'ai été Premier Ministre... Certes de transition Rires. Nous n'avons pas eu de Premier Ministre car nous n'avons pas été majoritaires. La situation est là différente. Nous sommes majoritaires à gauche, donc nous pourrions. Mais devrions-nous? Bref, vous comprenez que je n'ai pas de réponse à votre question.

•Le PLC, et Jean Baptiste Marshall, ca vous inspire quoi? Plus Berlusconi ou plus Pinochet?

Rires Belle question, M. Pappa, vous êtes un bon journaliste piquant, j'aime bien!! Je vous dirais qu'il est un peu le mélange des deux... mais il serait ainsi issu d'une relation homosexuelle, le pauvre, il en mourait!!
Redevenons sérieux. Je ne développerai pas plus sur ce sujet, parlons de choses intéressantes.

•Laurent de Montredon est désormais socialiste... quels sont les avantages et les inconvénients de cette adhésion?

Mais il l'a toujours été. Il a cru en l'aventure de l'autre parti, je n'ai pas à juger ceci, et je serai mal placé pour le faire, n'étant pas engagé politiquement à ce moment là.
Ecoutez, il n'y a que des avantages à cette adhésion. Laurent nous apporte son expérience, son analyse et ses savoirs.

•L'homme politique avec lequel vous vous entendez le mieux? Celui qui vous inspire le moins confiance?

Celui avec qui je m'entends le mieux, mais ils sont nombreux. Laurent de Montredon, Marc Albus, Richard Cypher, Maxime Dellas qui a de grande qualité mais qui malheureusement est enfermé dans un carcan.
Celui qui m'inspire le moins confiance....Ils sont nombreux aussi, mais chut, ne disons pas de mal! Rires

•Vous êtes socialistes... à la danoise, la grecque ou plutôt à la Chavez et à la brésilienne?

Avant de répondre, je tiens à rendre hommage aux socialistes grecs qui ont eu le courage de dévoiler la hauteur de la dette que la droite avait, elle, cachée. Pour revenir à votre question, je suis tout simplement un socialiste frôceux, qui part de l'histoire frôceuse, de la réalité de notre politique. Pas de ceux qui cherchent des exemples ailleurs ou dans leur livres doctrinaux.

•La France va choisir son Président de la République en mai, vous êtes pour qui ? Pourquoi?

Même si toute la gauche française a mon amitié, je soutiens tout particulièrement François Hollande. Il est le candidat du Parti Socialiste français, membre de l'Internationale Socialiste, comme le RDS.

•Vous être discret sur votre vie, sur vous. Quelle est l'histoire de cette canne? Parlez-moi de vous.

Je n'aime pas parler de ma vie privée. Pour une seule raison, vous m'avez invité ici pour mes combats et idées politiques pas pour ma personne. Donc elle n'est pas intéressante et encore heureux.
Cette canne est un vestige de la dictature, je dirais Rires . Elle a au moins le don de me rappeller quotidiennement que la Démocratie n'est pas un luxe, qu'elle n'est pas non plus un don mais un héritage. Que notre pays a été capable de produire le pire. Voilà pourquoi je suis si combatif dans mon engagement.

•Quels sont les vos points forts ? Vos points faibles?

Mes points forts, la force de mes convictions, le fait, que contrairement à d'autres, j'y crois! Mes points faibles?? Je laisse mes adversaires les énoncer rires

•Votre rêve politique? Votre ambition? Vous avez un secret ? Une confidence ?

Faire de la Frôce une démocratie parfaite. Un pays où les mots Liberté, Egalité, Justice soient plus qu'une devise. Un pays de tolérance et de fraternité.

Merci! C'était Hugo Salinovitch, Président du RDS. Bon après midi à tous et à toutes !

Bonsoir à tous et à toutes, bienvenue dans l'émission courte et rapide intitulée " Sur le grill ". Je vais, comme d'habitude, poser quelques questions à un représentant de tout les partis politique frôceux sur la politique, sur sa vie, sur l'actualité nationale et internationale. Le mettre sur le grill globale, pour ce premier tour des partis.
Ce soir, devant moi, se trouve Jean-Baptiste Marshall, Président du Parti Libéral Conservateur, merci d'avoir accepté cette invitation.
• Que pensez-vous du résultat des élections législatives ? Le PLC est-il entrain de s'affirmer comme le seul parti de droite véritable et durable ou pensez-vous que le PRF reviendra à la vie ?

Les élections législatives ont été une victoire incontestable pour le PLC, et donc, par extension, pour les idées libérales et conservatrices. Nous sommes arrivé second avec 16,64% des voix, tout juste derrière le RPR, faisant ainsi du Parti Libéral Conservateur, la deuxième force politique légitime du pays. Ensuite, vous le dites très bien vous même, le PLC est désormais le seul et unique parti politique de droite dans ce pays. Le PRF est en état de mort cérébrale. Je le déplore car c'est un parti avec lequel je n'aurai absolument pas eu de problème à collaborer. C'est d'ailleurs ce que le PLC avait fait lors de la précédente élection présidentielle en organisant une primaire commune et donc en présentant un candidat commun, Monsieur De Milon. Malheureusement, ce dernier a pris son retrait de la vie politique et le PRF, déjà dans une situation difficile depuis quelques temps, ne semble pas s'en remettre. Cette élection législative fut, je pense, le coup de grâce porté au PRF. L'arrivé du RPR de Monsieur Valbonesi n'arrange rien. J'appelle donc l'ensemble des frôceuses et frôceux de droite, attachés à la liberté et aux valeurs morales à nous rejoindre. Les frôceux de droite ne peuvent se reconnaitre dans un parti se réclamant parfois du centrisme puis une autre fois du 'centre-droitisme', se déclare ouvertement à la fois du "social-libéralisme", de l'"humanisme" et enfin - j'ai gardé le meilleur pour la fin - du "progressisme". Alors, que peut-on en conclure sur le RPR et sur son chef ? Que ces gens ne sont ni de droite, ni de gauche non plus, ni même du centre. Ils sont de nulle part et de partout à la fois. Monsieur Valbonesi incarne la maladie de Parkinson en politique. Il est tout, et par conséquent il n’est rien.
Un vide est en train de se créer à droite. Et il y a, je pense, peu de chance que les citoyens et militants de droite se reconnaissent dans les "valeurs" du parti socialo-étatiste qu'est le RPR de Valbonesi. Voilà pourquoi nous au PLC, nous serons là pour être la réelle alternative à tous ces partis politiques de gauche dure, socialistes et étatiste. Nous serons là pour crier haut et fort que le socialisme ne marche pas, qu'il n'a jamais marché, que l'interventionnisme étatique dans le domaine économique est nocif. Nous sommes le parti du peuple et de la liberté car nous défendons le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple et non pas le gouvernement d'une élite, par une élite et pour une élite. Nous prônons moins d'Etat - et donc plus de liberté et responsabilité individuelle - moins d'impôts - car nous sommes scandalisé par certaines mesures confiscatoires et par celles et ceux qui souhaitent porter atteinte à la propriété de l’individu sur le fruit de son travail - et enfin plus de valeurs morales.

• Vous êtes candidat à la Présidence de l'Assemblée et au poste de Premier Ministre... Vous pensez aussi à la Présidence de la République ?

Je suis en effet candidat à la Présidence de l'Assemblée Nationale ainsi qu'au poste de Premier Ministre. Je m'explique. Je souhaite briguer la Présidence de l'Assemblée Nationale car j'estime avoir l'expérience et la passion nécessaire pour remplir cette tâche. Il s'agit d'une candidature apolitique. Je ne me présente pas en tant que représentant parlementaire PLC mais en tant qu'homme d'expérience. Si je devais être Président de l'Assemblée Nationale, je serais faire la part des choses et mettre de côté mes opinions personnelles pour gérer au mieux l'organisation et l'animation des débats et des votes dans la Chambre. En tant que Président de l'Assemblée Nationale, je conserverais mes droits et devoirs de représentant parlementaire et cela serait uniquement dans le cadre de cette dernière fonction que j'exprimerais, défendrais et proposerais mes idées, mes valeurs. Malheureusement, je pense que la plupart des autres députés auront un réflexe sectaire et choisiront mon adversaire. Je ne me fais pas trop d'illusion.
La Présidence, pour être franc avec vous, je n'y pense pas vraiment. Je n'ai pas envie de moisir au Palais d'Anthelme. Le jour où vous me verrez concourir à une élection présidentielle arrivera quand un véritable régime présidentiel sera à nouveau réinstauré. Pas avant.

• La NVA exclu une alliance avec vous ? Ca vous fait réagir ? Vous voterez contre ses textes ?

Je me fiche éperdument du NVA qui ne doit son "succès" qu'à un seul homme, certes de qualité, sans qui rien aurait été possible. J'ose le dire, sans Monsieur Llyod, le NVA serait dans la même situation que le PRF actuellement, en état de mort cérébrale. Au delà de cela, je n'attends rien du NVA, ni même du RPR et tout ce qui se trouve à leur gauche. Ces partis sont des mouvements socialistes, étatistes, dirigistes, et j'en passe. Avec eux, ce sera toujours plus de dette, toujours plus de taxes et de moins en moins de liberté.
Surtaxer, surimposer, c'est la Frôce qui s'autodévore. Aucun des partis politiques de Frôce ne s'en rend compte sauf bien entendu le PLC. Nous pensons que nous ne pouvons pas sortir d'une crise ou régler les problèmes en surtaxant le fruit du travail et de l'épargne. Pour cette raison, nous sommes accusé de défendre les riches par certains extrémistes de gauche. C'est parfaitement absurde. Les frôceux ont soif de liberté et de responsabilité. Ils nous l'ont montré lors des précédentes élections législatives. Les frôceux comprennent de plus en plus qu'ils n'ont pas besoin d'un "Etat Papa" pour gronder et d'un "Etat maman" pour moucher. La pléiade des partis étatistes que nous avons en Frôce font mine de s'occuper de vous, en réalité ils se donnent simplement bonne conscience, car c'est bien connu, la bonté, l'humanisme et la générosité sont de leur côté, de l'autre il n'y a que des extrémistes et des cons. Quel mépris.
Pour finir et pour vous répondre pleinement, les textes que proposeront les députés NVA ne seront pas rejetés par les députés PLC simplement parce qu'ils proviennent d'un parti politique différent. Ce serait ridicule. Les projets que nous estimerons bons seront votés, ceux que nous estimeront néfastes ou inutiles seront rejetés. Quelque soit leur provenance. C'est aussi simple que cela.

• Valbonesi Premier Ministre... Une hypothèse qui vous fait plutôt bander ou plutôt dégueuler ?

Je vais rester poli en disant que cette hypothèse, fortement probable, me donne la nausée. Les vomissements arriveront lors de sa désignation officielle. L'idée de voir un socialiste doublé d'un antisémite notoire à Belley me dégoute au plus haut point. Voir en plus qu'il souhaite que de la politique étrangère soit du ressort de son Gouvernement et non plus du Président de la République m'inquiète tout autant. A cette allure, le Président de la République ne sera bientôt plus qu'une marionnette qui prendra la poussière. D'ici les deux prochains Gouvernements de Gauche, la fonction présidentielle n'existera plus. Et c'est très grave.

• La GPC est de retour, un sentiment ?

Il est tout bonnement incroyable de voir qu'à notre époque, il existe encore des groupuscules politiques se déclarant plus ou moins ouvertement d'une idéologie mortifère et d'un système qui n'a jamais marché et qui a toujours inéluctablement conduit au pire des totalitarismes. Comme je l'ai déjà déclaré récemment, la planification de l'économique ainsi que le renversement du capitalisme pour instaurer une société sans classe implique inexorablement un contrôle des moyens par lesquels les hommes peuvent réaliser les fins qu'ils se fixent ainsi que le contrôle de ces fins. Or, un contrôle total de la vie économique d'un pays signifie que les moyens et les fins humaines sont décidées par l'État et qu'ainsi les libertés sont abolie.
Ces gens ne m'inspire que du mépris. J'éviterai donc soigneusement de les côtoyer à l'Assemblée Nationale.

• Le régime de Bachar Al Assad, vous approuvez ? La possible guerre de Tsahal contre l'Iran, vous approuvez ?

Je n'approuve bien entendu pas le régime sanguinaire et totalitaire de Bachar Al Assad.
Mais la situation reste néanmoins très complexe et je pense pas qu'il ne faille intervenir militairement là-bas au risque de mettre le pays dans le chaos plus qu'il ne l'est déjà. La chute de Bachar Al Assad pourrait favoriser l'arrivée au pouvoir de ces principaux opposants, à savoir les Frères musulmans et Al Qaeda.
Il existe néanmoins en Syrie un mouvement qui prône l'établissement d'une réelle démocratie à l’occidentale. Il s'agit de la Syrian Democratic Coalition (SDC). Malheureusement, ce mouvement ne dispose d’aucun appui actuellement. Je pense qu'il est du devoir de la Frôce, de l'Europe et plus largement du monde libre de soutenir moralement, financièrement et - s'il le faut par la suite - militairement ce mouvement démocratique syrien.
Enfin, sur la situation iranienne, je vous le dis, l'intervention armée est dorénavant inévitable. Israël attaquera l'Iran avec ou sans l'accord des États-Unis. La survie de l'Etat d'Israël est en jeu. La folie d'Ahmadinejad n'a pas et n'a plus de limite. Elle doit être freinée le plus rapidement possible. En tant qu'ami d'Israël et du peuple juif, j'approuverai pleinement cette intervention quand elle aura lieue.

• La France va choisir son Président de la République en mai, vous êtes pour qui ? Pourquoi ?

La France est malheureusement en train de couler. Savoir quel capitaine aveugle conduira le pays dans les prochaines années vers le naufrage ne m’intéresse pas, le rythme du naufrage non plus.
Si j'étais français, je m'abstiendrai à cette élection et je préparerai mes valises pour les États-Unis.

• Même question pour les USA qui votent en primaires ?

Obama est assurément le pire Président des États-Unis d'Amérique. Toutefois, je pense qu'il a des chances de se faire réélire. Malheureusement. Je n'ose imaginer dans quel état se trouveront les États-Unis après quatre années supplémentaires d'Obama. Malgré tout, j'ai suivi et suis toujours les primaires républicaines. Il y a considérablement, pour ne pas dire infiniment, plus d’intelligence dans une seule petite phrase de Mitt Romney, Rick Santorum ou Newt Gingrich qu’il n’y en a dans toutes les déclarations et tous les discours de Messieurs Valbonesi et Peruzzi réunis par exemple. Et si on à l'audade d'ajouter Messieurs Salinovitch et Fevernov sur la balance, le poids n’y sera toujours pas.
Il y a aux Etats-Unis, une vraie droite, représentée par le Parti Républicain. En Frôce, il y a le PLC.

• Quels sont vos points forts ? Vos points faibles ?

Je suis quelqu'un de déterminé et de combatif. Je suis également un "maverick", un franc-tireur si vous préférez. Je n'aime pas me conformer aux codes et conventions habituels. Je suis politiquement incorrect et ça, je suis conscient que cela ne plaît pas à tout le monde, mais je m'en fiche éperdument. Je suis un homme de conviction, qui parle vrai et qui ne passe pas par quatre chemin pour dire les choses. Ca peut être considéré par certain comme un défaut, en ce qui me concerne je vois ça comme une qualité.

• Votre rêve politique ? Votre ambition ? Vous avez un secret ? Une confidence ?

Mon rêve en politique est de pouvoir accorder une réelle liberté à nos concitoyens, de remettre à l'ordre du jour la responsabilité et la liberté, d'abandonner cette notion funeste d'Etat Providence, d'Etat nounou. Mon rêve est de redonner le pouvoir au peuple car je crois, comme Reagan l'a dit en son temps que "soit nous croyons en notre capacité d’autogouvernement, soit nous admettons qu’une élite intellectuelle peut, dans une capitale lointaine, planifier notre vie pour nous mieux que nous-mêmes". Nous sommes arrivés à l'heure du choix. Entre le camps de la coercition étatique et le camps de la liberté, j'ai choisi la liberté. Je me battrai donc pour elle jusqu'au bout.
Je n'ai aucune ambition personnelle si ce n'est défendre mes idées et les mettre en pratique pour le bien de chaque individu.

• Merci! C'était Jean-Baptiste Marshall, Président du PLC. Bonne soirée à tous et à toutes ! Demain midi, je recevrai Barta Elaï, Président de la GPC.

Bonjour à tous et à toutes, bienvenue dans l'émission courte et rapide intitulée " Sur le grill ". Je vais, comme d'habitude, poser quelques questions à un représentant de tout les partis politique frôceux sur la politique, sur sa vie, sur l'actualité nationale et internationale. Le mettre sur le grill global, pour ce premier tour des partis.
Ce midi, devant moi, se trouve Barta Elaï, Président de la Gauche Populaire et Citoyenne, GPC, merci d'avoir accepté cette invitation.
Que pensez-vous du résultat des élections législatives? Est-ce que la GPC va réellement peser un poids électoral dans l'assemblée?

Je trouve que c'est un bon résultat pour mon parti, nous n'avons pas remporté énormément de députés mais ce retour à l'Assemblée reste un bon point pour nous. Mais je regrette quand même la débâcle de la gauche au profit du centre-droit et de l'extrême droite frôceuse.
Concernant notre poids à l'Assemblée, je dois avouer qu'il y peu de chances que nous soyons décisif lors des votes.

Pensez-vous que votre présence à l'Assemblée est durable? Vous arrive-t-il de penser au poste de Premier Ministre?

Notre parti est en pleine reconstruction et nous présenterons bientôt un tout nouveau visage de la GPC vis-à-vis des idéaux et des propositions, je pense donc que oui notre présence à l'Assemblée est durable.
Pour ce qui est du poste de Premier Ministre, je vais être très claire là dessus, à moins que les seuls candidats à ce poste font partie de la droite dure, jamais je ne tenterai de me présenter au poste de Premier Ministre.

La NVA exclu une alliance avec vous? Ca vous fait réagir? Vous voterez contre ses textes?

Il y a de bonnes idées dans le programme de la NVA, il y aussi un immense vide concernant certains sujets. Je n'ai rien contre la NVA mais je pense que même si ils avaient été d'accord, il aurait été très dur de travailler ensemble.
Moi et mes collègues députés voteront contres leurs textes si ils nous semblent mauvais pour la Frôce et le peuple frôceux; si il nous semble bons, nous voterons naturellement pour.

Laurent de Montredon est désormais Socialiste et Ecologiste... vous regretter que la GPC n'ait pas pu attirer cet ancien Premier Ministre?

A part sur certains sujets, certaines décisions et sa "mini-guerre" avec Benjamin McGregor, Laurent de Montredon a été un Ministre de l'Intérieur et un Premier Ministre plutôt bon. Il est évident que je regrette qu'une telle personne ne nous ait pas rejoint. Mais son éloignement idéologique avec notre parti nous laissé peu de chances qu'il nous rejoigne.

La GPC, à la gauche de la gauche ou un parti pareil que le RDS mais plus bloqué idéologiquement?

Ce sont les deux à la fois, la GPC sera toujours la gauche de la gauche, mais je trouve que le RDS qui vient de fusionner avec le REC est beaucoup plus bloqué dans ses propositions que l'était l'UGR. J'apprécie très fortement et sincèrement les membres du RES et j’espère que leur programme sera plus à gauche qu'il l'été auparavant.

Vos références à l'étranger, c'est quoi? C'est qui?

Historiquement, je ne peux m'empêcher de parler de Che Guevara, c'était un grand révolutionnaire mais qui a été malheureusement fusillé. Aujourd'hui, il y a aussi Oskar Lafontaine qui a permis à son parti d'obtenir de bons résultats en Allemagne.

La France va choisir son Président de la République en mai, vous êtes pour qui ? Pourquoi?

Je soutiens Jean-Luc Mélenchon par ce qu'il est pour moi le candidat naturelle des ouvriers français; néanmoins je dois avouer m’intéresser aux candidats d’extrême-gauche et apprécier plus particulièrement Philippe Poutou.

Quels sont les personnalités avec lesquelles vous ne traiteriez jamais d'aucun sujet que ce soit?

Le débat est pour moi l'un des piliers de la démocratie, c'est pour ceci que je suis près à débattre avec n'importe quelle personne de n'importe quelle opinion politique sur n'importe quelle sujet.

Quels sont les vos points forts ? Vos points faibles?

A mon avis mon point fort est la combativité lorsqu'il s'agit de défendre mes idéaux.
Mon principal point faible est d'être un peu utopique sur certains sujets.

Votre rêve politique? Votre ambition? Vous avez un secret ? Une confidence ?

Je n'ai ni de secret ni de confidence à vous faire, pour mon ambition, sachez que j'ai pour seul but de mener mon parti le plus haut possible et permettre au nos propositions de voir le jour.

Merci! C'était Barta Elaï, Président de la GPC. Bonne après midi à tous et à toutes !

Bonjour à tous et à toutes, bienvenue dans l'émission courte et rapide intitulée " Sur le grill ". Je vais, comme d'habitude, poser quelques questions à un représentant de tout les partis politique frôceux sur la politique, sur sa vie, sur l'actualité nationale ou internationale. Le mettre sur le grill global, quoi.
Ce midi, devant moi, se trouve Yekelz Toloi, Président du Parti Pour la Liberté, PPL, merci d'avoir accepté cette invitation.
- Monieur Toloi, vous êtes un politique que l'on entend pas beaucoup et que l'on ne voit pas beaucoup, qui êtes vous, racontez-nous?

Tout d'abord bonjour à vous et merci de me recevoir comme invité dans votre émission.
En effet, je ne suis pas un homme politique qui cherche à multiplier les annonces fracassantes dans la forme mais stériles dans le fond, ni un de ces partisants du mensonge médiatique permanent même dans l'erreur. Non, je suis un homme politique qui tente de lancer des débats d'ordre nationaux, qui essaye de trouver des solutions qui nous profiteraient à tous et pas seulement à l'idéologie d'un parti ou d'une frange de la population, ou pour faire plaisir à certaines communeautés de pensées, religieuses ou idéologistes. C'est pour cela que mon rôle actuel est plus d'être en retrait, plus dans la réfléxion que dans l'action. Mais croyez moi, je vis la politique Frôceuse au jour le jour et m'y implique du plus profond de mon être.

- Après déjà quelques temps et des annonces en grandes pompes du premier Conseil des Ministres, nous n'entendons plus rien et nous n'avons pas plus d'information... est-ce que ca vous ennuie cette attitude du Gouvernement ?

Je ne suis pas ici pour tirer à boulets rouges sur le gouvernement ou critiquer qui que ce soit sans raison. Ce petit jeu politique amuse et bénéficie peut-être à certains de mes homologues, mais ne m'intéresse pas. Je vais donc vous donner ma vision la plus simple et la plus franche sur ce gouvernement : l'heure n'est pas encore au jugement. Je respecte leur point de vue, leurs idées, leurs projets, bien que je ne sois pas d'accord avec la plupart de ceux-ci. J'essaye de leur expliquer pourquoi dans certains débats lancés par les ministres (notemment en économie, travail, et éducation) afin de leur faire comprendre qu'une partie de la population Frôceuse qui n'a pas votée pour eux est aussi en droit d'avoir des attentes et d'être écoutée. Suite à cela, libre à eux d'en tenir compte ou pas. Le manque de transparence actuel sera criticable (et sûrement critiqué) quand le temps sera venu, pour l'instant je les laisse faire leur métier.

- Le peuple Frôceux sait que vous n'êtes pas de gauche, mais mettez-vous un peu à la place d'un sympathisant de gauche. A quel parti adhéreriez-vous? Quels seraient votre personnalité préférée?

Ce qui est sûr, c'est que je ne me reconnais pas dans la guerre des égos qui a actuellement lieux entre le PSD et le RSE, pourtant très proches. Il me serait insupportable d'avoir à défendre des valeurs tout en menant une croisande face à des militants et hommes politiques qui ont les mêmes valeurs que moi...
Je vais vous surprendre, mais le côté militantiste et engagé de l'APC me tenterait plus. Evidemment, nous sommes toujours dans une hypothèse très peu probable.

- La gauche est actuellement bien en place au niveau électoral, comment expliquez-vous la déroute de la droite populaire et républicaine?

Ma présence récente en politique m'empêche de critiquer sans refléxion ceux qui ont mené les combats politiques d'antan en représentant la droite Frôceuse. Bien sûr qu'il y a eu des erreurs, bien sûr qu'il y aurait du y avoir des changements. Mais je n'étais à cette époque que spectateur et je ne m'aventurerais pas dans un blâme de ceux qui portaient nos idées et nos valeurs. Le contexte était là, les évènements aussi. A nous de rebondir le plus tôt possible et de montrer à notre électorat ce que nous valons vraiment !

- Quels sont vos rêves?

Mon rêve le plus utopiste fût d'être footballeur. J'ai toujours voulu être un grand joueur pour faire tomber les moeurs actuelles, pour montrer qu'il n'y a pas que l'argent qui régit se sport et pour retrouver une certaine proximité avec les supporters et tous ceux que le football fait rêver. Malheureusement, c'est la politique qui m'a entraînée dans ses filets

- Quand vous étiez petit, adolescent, vous imaginiez déjà que vous seriez un homme politique national?

Durant mes études d'économies je souhaitais avant tout diffuser un savoir souvent trop baffoué, complexe et inconnu dans le fond du grand public. Je me suis rendu compte que cela ne serait possible qu'en ayant une certaine couverture populaire et médiatique, qui passe aujourd'hui par la politique. Cependant, je ne me considère par comme un "animal" politique. La modestie sera toujours mon fer de lance, et j'accepte les idées des autres. Il faut dire qu'un peu de moralisation dans les débats politiques ne serait que bénéfique.

- Votre coup de coeur dans ce pays, c'est quoi?

L'esprit convivial, chaleureux. Vous savez, j'ai passé une partie de ma jeunesse dans un ancien pays soviétique, l'ambiance n'y était pas du tout la même et les moeurs bien différentes. C'est avant tout ces différences de comportements et de façon de vivre qui m'ont marqué.

- Au contraire, votre coup de gueule?

Ce n'est pas vraiment un coup de gueule, mais l'unique présence de personnalités sympathisantes à la gauche dans les ministères et postes clés me déçoit. Il faut parfoir accepter le fait que toutes les bonnes idées et bonnes personnalités ne se trouvent pas forcément dans son camps. Je vais prendre un exemple extrême : saviez vous que Staline disposait de dizaines de millier de livres, et que ceux-ci étaient essentiellement écrits par ses adversaires (idéologiques, politiques, militaires, ...) ? Il puisait dans les écrits des autres une refléxion unique au monde, car il avait compris que si d'autres camps parvenaient à lui tenir tête et à exister, c'est qu'ils avaient dans leurs rangs des gens aussi intelligents et perspicaces que lui. C'est donc en s'inspirant d'eux qu'il parvenait à avoir une longueur d'avance sur les sujets clés, à s'émanciper d'une pensée unique. Certes, son cas s'applique à des pratiques indéfendables, mais dans les faits il a aussi démontré que même le plus grand mégaloman pouvait et devait s'inspirer de ses adversaires.

- Pour finir, une idole mondiale? Une îcone?

Surtout pas une star ou une érégie des médias, je les hais. Ils représentent pour moi toute l'hypocrisie et l'ignorance mondiale. Je dirais donc Voltaire, pour son génie encore inégalé.

Merci! Bonne soirée à tous et à toutes !

Bonjour à tous et à toutes, bienvenue dans l'émission courte et rapide intitulée " Sur le grill ". Je vais, comme d'habitude, poser quelques questions à un représentant de tout les partis politique frôceux sur la politique, sur sa vie, sur l'actualité nationale ou internationale. Le mettre sur le grill global, quoi.
Ce midi, devant moi, se trouve le Premier Ministre, Hugo Salinovitch, Président du Rassemblement Socialiste et Ecologiste, RSE, et maire d'Orgues-les-Bains, merci d'avoir accepté cette invitation.
Bonsoir Monsieur le Premier Ministre, merci d'avoir accepté notre invitation ! Un récent sondage du groupe Yocto Media vient de sortir. Il vous place loin devant les leaders de la gauche modérée et semble devoir affirmer que vous seriez victorieux aux prochaines élections vis-à-vis des partis de la coalition, effaçant ainsi la défaite des dernières élections. Quelle est votre interprétation propre à vous?

Bonsoir Monsieur Linden Hagen. Vous savez, quand on est membre d'une coalition, il n'y a jamais de victoire pour un de ses membres seul. Le PSD était en tête d'un cheveu devant le RSE. Hé bien, je vais peut être vous étonner mais j'en suis ravi. La coalition de gauche a gagné et agit aujourd'hui pour les Frôceux. La victoire du PSD, du RSE ou même de l'APC était ma victoire, car elle était celle de notre coalition.
Quand à ce sondage, je n'ai jamais commenté le moindre sondage, cela ne m'interesse pas. Travaillons, ne cherchons pas à plaire à tout prix.

Est-ce qu'après les prochaines élections, si le PSD ou l'APC sont devant, vous céderez votre poste de Premier Ministre?

Hugo rigola. Mais votre question ne veut rien dire. Le futur premier ministre sera celui choisi par la majorité de la coalition, un point c'est tout.

Votre majorité, Monsieur le Premier Ministre, est entrain de se diviser clairement au vu des votes à l'AN. Quelle est votre analyse de ses votes plus que divisés?

Elle n'est pas divisée. Certains, .....dirons-nous..... électrons libres, votent comme ils l'entendent. Ils refusent de s'inscrire dans la logique de leur majorité, ceci est leur problème pas le mien. Nous, nous avançons.


On voit quand même clairement une division des voix significatives où les démocrates et les sociaux-démocrates accordent leurs votes à des projets quand les communistes et les socialistes rejettent en bloc et sans nuance. Mais bon soit. Quels sont vos priorités en terme de gestion politique nationale?

Ceci est votre analyse et n'engage que vous. Une priorité: totu simplement améliorer le sort des frôceux avec des mesures concrètes. Avoir des projets d'avenir pour notre pays.


Très bien, dans ce cas, allez-y, livrez nous votre analyse des votes à l'Assemblée Nationale et de l'état de votre majorité dans l'enceinte politique !

Hé bien il ya une majorité claire, qui travaille, qui propose, qui vote. Et des électrons libres qui pensent à leur avenir politique et qui s'assoient sur toute logique, sur le bien de la Frôce. Vous voyez, c'est simple.

Donc le PDF et le PSD ont des députés qui s'assoient sur la Frôce ? Sur ce, merci Monsieur le Premier Ministre pour ces réponses à nos questions ! Une dernière question pour rappeler à la Frôce qui vous êtes... expliquez nous brièvement qui vous êtes, ce que vous représentez et d'où vous venez, Hugo Salinovitch.

Le PSD et le PDF n'ont rien à voir là-dedans. Il s'agit de personnalités esseulées.
Vous expliquez qui je suis, hé bien Hugo Salinovitch, premier ministre Hugot rit. Merci à vous monsieur Linden Hagen.

Merci! Bonne soirée à tous et à toutes !

Bonjour à tous et à toutes, bienvenue dans l'émission courte et rapide intitulée " Sur le grill ". Je vais, comme d'habitude, poser quelques questions à un représentant de tout les partis politique frôceux sur la politique, sur sa vie, sur l'actualité nationale ou internationale. Le mettre sur le grill global, quoi.
Ce midi, devant moi, se trouve le Président de l'Assemblée Nationale, Maxime Dellas, Vice-Président du Parti Social-Démocrate, PSD, et maire d'Hoffbach, merci d'avoir accepté cette invitation.
Bonsoir Monsieur le Président de l'Assemblée Nationale, merci d'avoir accepté notre invitation ! Un récent sondage du groupe Yocto Media vient de sortir. Il vous place loin derrière les leaders de la gauche socialiste et semble vouloir affirmer que vous seriez défait aux prochaines élections en ce qui concerne les rapports de force au sein de la coalition, effaçant ainsi la victoire des dernières élections. Quelle est votre interprétation propre à vous?

J'ai toujours fais détachement des sondages, vous savez ... Lorsque j'ai pris la direction de la FDF en février dernier, les sondages annonçaient que la FDF gagnerait de loin les élections législatives de mars ... le résultat fut tout autre !
Il faut ajouter à tout cela que, depuis les dernières élections, j'ai pris une "retraite" idéologique et quelque peu partisane en relevant le défis de la Présidence de l'Assemblée Nationale.
Notons que le sondage auquel vous faites allusion ne place aucun homme politique bien au-devant des autres. Il semblerait, et c'est mon analyse du sondage, que la classe politique n'ai pas spécialement la cote en ce moment ...
Enfin, et c'est incroyable ! Tout le monde parle d'un sondage réalisé par une journaliste inconnue qui n'a "autopsiée" que 1136 frôceux et ne leur a demandé de se prononcer que sur 21 personnalités politiques dont 15 de gauche !
Autre grande particularité, comment expliquer que Richard Cypher, qui pèse 10% de voix de préférence aux dernières législatives, et Laurent de Montredon, qui a quand même été élu avec plus de 80% des voix en avril, ne collectent respectivement qu'un 5,61/10 et un 5,84/10 ?!

Ce sondage me conforte dans mon attitude vis-à-vis des sondages ! Rire !

Vous deviez normallement prendre la tête du Gouvernement après votre formidable remontée électorale. Le Président en à décidé autrement, est-ce que vous regrettez d'avoir laissé la place à un leader d'un parti qui a reculé dans les voix?

Je n'ai pas à contester les décisions du Président de la République, qui m'a d'ailleurs consulté avant de prendre celle-ci, mais je peux dire que dans un sens ce choix, qui constitue une dérogation à la tradition républicaine de notre nation, m'a désolé sur le moment puisque c'est à moi qu'il s'est appliqué ! Sourire.
Néanmoins, ce n'est qu'à la fin de cette législature que nous pourrons dire si le Président a bien fait ! Rire.
Mais soulignons que le Premier Ministre a eu la décence pour combler cet écart de nommer plus de ministres PSD que de ministres RSE, ce qui pour moi est le signe que la confiance est retrouvée et que la "gue-guerre" est clôturée ! D'autant que, comme vous l'aurez remarqué, les ministres PSD n'ont pas chômé puisqu'ils sont à l'origine de plusieurs mesures phares du gouvernement. Je fais allusions à Lluis Camp qui est en élaboration d'une réforme de notre fiscalité ainsi qu'à Madame Fevernova qui propose une nouvelle constitution !

En temps que chef des sociaux démocrates a l'Assemblée Nationale, que pensez vous de l'éclatement ou du moins l'érosion de la majorité ?

C'est regrettable évidement ! Les députés PSD ont toute leur place au sein de la majorité aux cotés des députés du RSE et de l'APC. Il est donc regrettable de voir une majorité comme la notre s'effriter ...
Néanmoins, ces distances sont parfois nécessaires ... Nous l'avons vu lors de certains débats au coeurs des idées du PSD mais contraire au valeurs des autres partis de la majorité.
Et, il est parfois bon de rappeler à tout le monde que le PSD et le RSE, même si ils ont décidé de marcher cote à cote, n'ont pas les même valeurs ni la même vision de la Frôce ! C'est pour cela que nous siégeons séparément ... Sourire.


Maxime Dellas, vous représentez l'aile gauche du Parti Social Démocrate. Pourquoi ne pas avoir choisi de rejoindre les rangs des socialistes?

Je n'ai pas rejoins les rangs du RSE car nous avons des différences idéologiques ... Je suis de gauche, oui. Mais il y a des points dans le programme du RSE que je ne pourrais jamais défendre ...
Néanmoins, il est vrai que je suis très proches des idées et de certains membres du Rassemblement pour l'Ecologie et le Socialisme ...
Mais mes idées sont pleinement prises en compte au sein du Parti Social-Démocrate, par conséquent je ne compte pas changer de parti si je m'y sens bien et que je peux donner une voix réelle à ma vision de ce que doit être la Frôce ...

Le Congrès du PSD s'est déroulé correctement, quel est le message principal que l'on doit en retenir? Vous êtes les seuls à gauche à faire des congrès et, sans lui avoir demandé, nous savons qu'Hugo Salinovitch répondrait qu'il travaille, lui.

L'orientation du PSD est simple, il faut, pour les militants prendre un moment pour faire le point, pour regarder le chemin parcouru tous ensemble, pour évaluer celui qu'il nous reste à faire ...
Le message à retenir ? D'une part que le PSD est uni et conscient. Conscient de son devoir et de ses choix. Et d'autre part, que la gauche n'est pas morte, nous avons vu Alessandra Gasparini qui est venue pour participer aux activités que nous proposons, et cela fait plaisir de voir que nos amis de la coalition sont ouverts ! Je salue, au passage, Madame Gasparini qui a toujours été droite dans ses valeurs et pourtant toujours favorable à la discussion !

Monsieur Dellas, le Président De Montredon met une énergie terrible dans l'édification d'une union méditerranéenne. Si je ne me trompe pas, c'était une des propositions du PSD non?

En effet, avant les dernières élections législatives, le PSD a fait savoir publiquement son envie que la Frôce entre dans une union de la Méditerranée.
Mais le PSD vivant au sein de l'Union des Forces de Gauche, il est normal que le Président qui a été porté par cette coalition reprenne des promesses de campagne de l'un des partis. Notez également que sur ce sujet, il a tenu à laisser des prérogatives au Vice-Président de la République et à nommer certains ambassadeurs pour la Méditerranée parmi les membres du PSD.
Pour moi, le Président fait comme à son habitude, il travaille d'arrache pied en s'entourant de personnes responsables et compétentes, tout en restant honnête !
Et ce n'est pas moi qui vais me plaindre que le chef de la diplomatie applique le programme en matières d'affaires extérieures de notre parti ! Rire !

Merci Maxime pour ces réponses à nos questions ! Une dernière question pour rappeler à la Frôce qui vous êtes... expliquez nous brièvement qui vous êtes, ce que vous représentez et d'où vous venez, Maxime Dellas.

Je suis né en Frôce, ma mère était frôceuse et mon père était un ambassadeur grec. Le jour où il est reparti pour la Grèce, je l'ai suivit. C'est là-bas que j'ai grandi et que j'ai fais mes études. C'est là que je me sui sensibilisé à gauche ...
Je suis revenu il y a peu de temps en Frôce après le décès de ma mère. J'ai décidé de consacrer ma vie à notre beau pays et à la défense de sa démocratie. Je suis rentré à la FDF (ancien PSD) et puis je suis devenu maire d'Hofbach, puis Chef de Cabinet du Premier Ministre de l'époque, Benjamin McGregor qui m'a ensuite nommé au Ministère de la Santé. Après sa démission, Laurent de Montredon m'a nommé Ministre e l'Intérieur et des services publics. Ces années au gouvernement m'ont permis de tisser des contacts avec de grands hommes politiques d'autres bords qui sont devenus mes amis, je pense à Richard Cypher et à Hugo Salinovitch par exemple. A la FDF, j'ai repris le poste de Porte-Parole par intérim avant de devenir le 2e Président du parti, après Benjamin McGregor. J'ai beaucoup travailler avec Joseph Vossen (alors Vice-Président du parti). Et avec Hugo Salinovitch et Dimitri Fevernov lorsque nous avons jeté les bases de l'UFG. Avec Benjamin McGregor, nous avons travaillé à la construction du PSD. Après cela je suis devenu Président de l'Assemblée Nationale et j'ai décidé de démissionner de mon poste de Président du PSD afin d'avoir le recul nécessaire quand à la fonction qui m'attendait. A présent, je me suis néanmoins représenté à la Présidence de mon parti, conscient des enjeux qui sont semés sur le chemin de la Frôce.

Voila qui est plus complet que notre invité de l'émission précédente, merci! Bonne soirée à tous et à toutes !

Bonjour à toutes et tous, bienvenus à cette édition de l'émission "Sur le Grill". Aujourd'hui nous avons le plaisir de recevoir Madame Mackenzie Calloway !
Madame Calloway, bonjour !

Bonjour Anna, je vous remercie de m'accorder cette interviews, je répondrais comme à mon habitude, avec beaucoup de sincérité.


Vous venez de reprendre le rennes de la ville d'Esperanto, comment voyez vous cette fonction ?

Je suis une personne, extrêmement attaché aux territoires,je le considère comme une attache local, ce qu'est un moyens de garder les pieds sur terre, d’être aux plus prêt des concitoyens et de mieux saisir leurs préoccupation ...
Je souhaite développé la mairie avec force, engagement, respect de la vie politique mais aussi de nos concitoyens. En leur donnant dés que le l’occasion ce présente de s'exprimer sur la politique d la ville, mais aussi faire des propositions concrète. Cela est essentiel, les citoyens doivent etre aux cœurs des politique de proximité.
Espéranto est pour moi mon laboratoire d'idée, elle est l’occasion de donner ma visions pour mes concitoyens de manière à construire des projets sur le longs terme et de préparer l'avenir dans notre ville.


Vous êtes députée à présent, une fonction de plus à votre palmarès, comment vous en sortez vous ?

Hé bien ! J'ai un directeur de cabinet extrêmement efficace, je tiens par ailleurs à la saluer, mon mari Rod Calloway et mon assistante parlementaire Kate. Ils font un travail, formidable, et je doit avoué parfois considérable ! ( rire)
Il nous arrive quelques semaines de recevoir plus de 2000 lettres, et je répond à toutes les personnes, c'est parfois un peu long mais ,nous y arriverons.

Plus sérieusement, je tien simplement à vous dire Anna, que je ne cherche aucun palmarès, mais je suis dans une logique de constance politique !J'ai justement une conception différente que certain politique dans notre pays. Quand, je me suis engagée pour la mairie d'Esperanto,je venais de perdre aux élections législatives !

Donc, j'ai prit mes responsabilités et j'ai finalement accepter de représenté mes députés à Assemblée.

Vous êtes l'un des exemple de femmes politiques se débattant dans un milieu plutôt masculin, pour vous cela représente quoi ?

Effectivement, c'est pas facile tous les jours j'ai du faire face à beaucoup de mépris, d’arrogance, des attaques gratuites sur ma personnes ainsi que des coup faible parfois un peu trop ! Mais, je suis solide, déterminé à défendre mes valeurs et mes concitoyens dans la démarche qui est la mienne.

Je doit remercier Maxime Dellas et Benjamin Mcgregor, mais deux amis et camarades ont toujours était la pour moi, j'ai toujours leurs soutiens et pour moi, c'est très important. Ils m'ont beaucoup, aider et je pense qu'il continueront !

Votre fondation restreint son activité, pourquoi ?

Oui, effectivement, mais c'est parce que je me suis m'y à 100% dans mes deux mandats électives,ma constance politique et la, bien réelle, ce n'est pas de la communication, c'est un principe. Je viens de déposer justement un texte de loi, et je doit remercier mes amis et camarades du Parti Social-Démocrate de m'avoir aider à le rédiger mais aussi de l'avoir appuyer au sein de l'Assemblée Nationale.

Je doit aussi rendre un hommage à Monsieur Laurent De Montredon qui m'a permis d’être Conseillère à la citoyenneté et à la démocratie participative lorsqu'il était encore Président de la république. En ces heures sombre, je souhaite, lui dire merci de sa confiance et de son intérêt à la causse que je défend.

Serez vous candidate à votre réélection en juin ?

Je serais bien-sur, candidate aux élections législatives, afin de continué le travail que j'ai mis en place. Et si les Frôceux m'en donne mandant, je défendrai avec force et convictions leurs intérêts. Je suis ici pour servir et non pour me servir !

Merci à vous !

Je vous remercie de m'avoir accorder cette interviews !