Chiffrons la Frôce
Posté : 29 juin 2010, 02:06
Chers collègues, salut !
Je me permets d'ouvrir le premier sujet de cette belle institution pour que nous puissions donner une idée rapide de la conjoncture frôceuse actuelle.
Sans trop entrer dans les détails, je pense qu'il convient de présumer que la dictature a opéré une politique interventionniste et keynésienne. L'ouverture progressive du régime l'a soumis à la contrainte extérieure et a donc bouleversé la structure économique peu flexible de notre pays.
Je pense donc qu'il faut tabler sur une grippe récente de l'économie frôceuse qui se traduira plus par une tendance à virer au rouge plutôt qu'à des indicateurs réellement catastrophiques.
Pour ce faire, il me semble que nous devons nous retrouver dans le modèle de la stag-flation : je propose une croissance inférieure à 1,5% l'an depuis 2008, un taux d'inflation à 5% et un taux de chômage en hausse aux alentours de 8,5% (contre seulement 4,5% en 2004).
Je pense également qu'il faille tenir en compte que les entreprises frôceuses (toutes publiques) font un grand effort d'investissement avec plus de 30% de la valeur ajoutée (ainsi la grande majorité de la part de la VA attribuée au capital repart pour le moment en investissements).
Voilà, j'attends vos suggestions.
Je me permets d'ouvrir le premier sujet de cette belle institution pour que nous puissions donner une idée rapide de la conjoncture frôceuse actuelle.
Sans trop entrer dans les détails, je pense qu'il convient de présumer que la dictature a opéré une politique interventionniste et keynésienne. L'ouverture progressive du régime l'a soumis à la contrainte extérieure et a donc bouleversé la structure économique peu flexible de notre pays.
Je pense donc qu'il faut tabler sur une grippe récente de l'économie frôceuse qui se traduira plus par une tendance à virer au rouge plutôt qu'à des indicateurs réellement catastrophiques.
Pour ce faire, il me semble que nous devons nous retrouver dans le modèle de la stag-flation : je propose une croissance inférieure à 1,5% l'an depuis 2008, un taux d'inflation à 5% et un taux de chômage en hausse aux alentours de 8,5% (contre seulement 4,5% en 2004).
Je pense également qu'il faille tenir en compte que les entreprises frôceuses (toutes publiques) font un grand effort d'investissement avec plus de 30% de la valeur ajoutée (ainsi la grande majorité de la part de la VA attribuée au capital repart pour le moment en investissements).
Voilà, j'attends vos suggestions.