Frôce - Archives V2

Alors, d'une, je ne monte pas le ton. Ma dernière phrase est au moins du même acabit que les votre. Ne comptez pas sur moi pour me laisser traiter d'abruti. En outre, je ne vois pas en quoi dans mes propos je vous ai fait passé pour infréquentable. Ce petit jeu est indigne du Peuple et je ne compte pas m'y abaisser. À bon entendeur.
De deux, le dialogue politique ne doit pas être celui d'une conversation de salon de coiffure. Politiser le politique, c'est essentiel. C'est ça qui permet à nos citoyens de réfléchir sur les choses et de s'intéresser vraiment aux questions politiques. Tant que je ne vous coupe pas et ne vous insulte pas, je ne vous permet pas de dire que mon attitude n'est pas la bonne.
De trois (et c'est bien l'essentiel) vous ne répondez plus à rien et ne faites plus que des digressions. Si vous n'avez rien à dire ou aucune envie de me répondre soit, d'autres le feront et le peuple sera seul juge. Mais par pitié, laissez le débat exister plutôt que de le souiller de ces interventions totalement inconstructives.

Face à tant de mauvaise foi, personne ne répondra.

Dés qu'un avis s'oppose au votre, c'est extraordinaire comme l'on devient immédiatement infréquentable, un nuisible pour la société. J'apprécie votre sens du respect autant que les frôceux qui assistent médusé à votre ton lors de ce débat à mon encontre, quelle belle image donnez vous de la politique, de l'écoute, du dialogue que vous défendez tant M. Callet. Souvent les actes ne suivent pas les propos, cet adage se vérifie une nouvelle fois, malheureusement.

Trouvez moi un argument de fond dans cette citation et je retire mes propos.

Matiou Callet a écrit :Alors, d'une, je ne monte pas le ton. Ma dernière phrase est au moins du même acabit que les votre. Ne comptez pas sur moi pour me laisser traiter d'abruti. En outre, je ne vois pas en quoi dans mes propos je vous ai fait passé pour infréquentable. Ce petit jeu est indigne du Peuple et je ne compte pas m'y abaisser. À bon entendeur.
De deux, le dialogue politique ne doit pas être celui d'une conversation de salon de coiffure. Politiser le politique, c'est essentiel. C'est ça qui permet à nos citoyens de réfléchir sur les choses et de s'intéresser vraiment aux questions politiques. Tant que je ne vous coupe pas et ne vous insulte pas, je ne vous permet pas de dire que mon attitude n'est pas la bonne.
De trois (et c'est bien l'essentiel) vous ne répondez plus à rien et ne faites plus que des digressions. Si vous n'avez rien à dire ou aucune envie de me répondre soit, d'autres le feront et le peuple sera seul juge. Mais par pitié, laissez le débat exister plutôt que de le souiller de ces interventions totalement inconstructives.

Et vous ? Y a t il une once de fond la dedans ?

Quelle mauvaise foi tout de même, vous venez prendre la seule intervention ou je vous personnellement en sortant du sujet pour recadrer le débat, et vous vous en servez pour tenter de mettre à bats, mais n'est ce pas là une pratique honteuse M. Callet ?

Allez pour clôre le sujet sachez que ceci est la réponse à ce que vous avez dit. C'est terrible, j'ai à nouveau l'impression d'être au primaire en me devant de montrer que vous êtes celui qui a commencé dans la digression. Décidément, Audiard avait raison… vous ne perdez pas de temps, mais vous en faites perdre aux autres. Salut Ô.

Qui est Audiard M. Callet ? Ne serait ce pas là une faute éliminatoire dans le cadre d'une telle élection ?

Je suis donc fier de montrer aux frôceux votre vraie nature : dés qu'une opposition prend le temps de contrer vos arguments un par peu par un semblant de base idéologique, vous abandonnez. Croyez vous convaincre à l'international en ayant une telle attitude ? La Frôce ne sera certainement pas votre terrain d'essai pour tenter vos expériences vaseuses.

…

Belle capacité d'argumentation M. Callet, vous pouvez partir si le débat d'idée ne vous intéresse pas, Moscou et Bruxelles sont impatientes de vous recevoir.

Vous oubliez encore Pjong-Jang… et peut-être même Rangoon

Rangoon, c'est de la rigolade. Vous devriez filer en Côte d'Ivoire au plus vite pour voler au secours de M. Gbagbo qui hurle lui aussi à la domination des dominants sur les pauvres sans défense.