Frôce - Archives V2

Marie Cossac a écrit :

Julien Vinel a écrit :

Vincent Valbonesi a écrit :

Julien Vinel a écrit :Ah oui c'est certain. Aucun lien entre condition sociale et délinquance...

Il y a effectivement un lien entre condition sociale et délinquance, mais ça n'est pas automatique. Si toutes les personnes ayant une condition sociale difficile étaient des délinquants, la guerre civile ne serait pas loi, et la Frôce serait un Etat de non-droit. Or ça n'est pas vraiment le cas, la délinquance s'explique par de multiples facteurs, la condition sociale n'explique pas tout. Que l'on soit riche ou pauvre, l'élément déterminant, c'est l'éducation et les valeurs que l'on reçoit au cours de notre jeunesse, là est la base. Un individu élevé avec certaines valeurs ne commettra aucun délit même s'il est dans une condition sociale difficile.

Et l'éducation donnée dépend de quoi? Du capital social des parents non ? Evidemment que différents facteurs doivent être pris en considération. Mais plus le capital social est bas , plus la délinquance risque d'apparaitre.

Mais vous n'êtes pas possible !

Croyez-vous que le capital social des paysans soit plus élevé ? Non. Et pourtant la délinquance rurale n'existe quasiment pas. Vous mentez aux frôceux en tentant de couvrir les criminels.

Soit vous ne savez pas ce qu'est le capital social soit vous ne connaissez pas les paysans. Ou les deux ?

Julien Vinel a écrit :

Marie Cossac a écrit :

Julien Vinel a écrit :

Vincent Valbonesi a écrit :

Julien Vinel a écrit :Ah oui c'est certain. Aucun lien entre condition sociale et délinquance...

Il y a effectivement un lien entre condition sociale et délinquance, mais ça n'est pas automatique. Si toutes les personnes ayant une condition sociale difficile étaient des délinquants, la guerre civile ne serait pas loi, et la Frôce serait un Etat de non-droit. Or ça n'est pas vraiment le cas, la délinquance s'explique par de multiples facteurs, la condition sociale n'explique pas tout. Que l'on soit riche ou pauvre, l'élément déterminant, c'est l'éducation et les valeurs que l'on reçoit au cours de notre jeunesse, là est la base. Un individu élevé avec certaines valeurs ne commettra aucun délit même s'il est dans une condition sociale difficile.

Et l'éducation donnée dépend de quoi? Du capital social des parents non ? Evidemment que différents facteurs doivent être pris en considération. Mais plus le capital social est bas , plus la délinquance risque d'apparaitre.

Mais vous n'êtes pas possible !

Croyez-vous que le capital social des paysans soit plus élevé ? Non. Et pourtant la délinquance rurale n'existe quasiment pas. Vous mentez aux frôceux en tentant de couvrir les criminels.

Soit vous ne savez pas ce que c'est le capital social soit vous ne connaissez pas les paysans. Ou les deux ?

Connaissant Marie, je doute qu'elle ne connaisse pas ça la bougresse. Elle dit vrai, les paysans ne sont pas plus adaptes des salles d'opéras que les banlieusards, leur compte en banque à plus tendance à descendre vers le bas que de monter vers le haut, comme les banlieusards, et pourtant, les faits divers concernant des fils de paysans qui brûle des voitures, j'en entend pas souvent parler. Il faut arrêter de protéger une minorité d'individus qui ne mérite pas autant d'attention et de moyens. Le temps et l'argent que nous passons a éduqués et a civilisés ces gens là, c'est du temps et de l'argent perdu pour des causes plus urgentes.

Définition du capital social: aller souvent à l'opéra et avoir un de l'argent en banque !

Excusez moi monsieur Vinel, mais j'ai eu accès à la lecture de Pierre Bourdieu. Je sais donc pertinement que le capital social représente le prestige ainsi que les réseaux et relation. Vous avez certainement voulu évoquer également le capital culturel et économique afin d'être le plus complet possible.

Alors avant d'être méprisant et pédant, sachez de quoi vous parlez et allez au bout des choses plutôt que de me prendre pour une imbécile. Et vous, comme l'ensemble des gauchistes du débat, ne répondez toujours pas à la contradiction que monsieur Valbonesi et moi-même vous présentons : comment expliquez-vous que dans nos campagnes où existe pourtant des exclusions sociales, économiques et culturelles il n'y ait pas d'actes d'incivilité comme en banlieue ? Je crois que votre culture de l'excuse, vous pouvez commencer à la ranger.

Marie Cossac a écrit :Excusez moi monsieur Vinel, mais j'ai eu accès à la lecture de Pierre Bourdieu. Je sais donc pertinement que le capital social représente le prestige ainsi que les réseaux et relation. Vous avez certainement voulu évoquer également le capital culturel et économique afin d'être le plus complet possible.

Alors avant d'être méprisant et pédant, sachez de quoi vous parlez et allez au bout des choses plutôt que de me prendre pour une imbécile. Et vous, comme l'ensemble des gauchistes du débat, ne répondez toujours pas à la contradiction que monsieur Valbonesi et moi-même vous présentons : comment expliquez-vous que dans nos campagnes où existe pourtant des exclusions sociales, économiques et culturelles il n'y ait pas d'actes d'incivilité comme en banlieue ? Je crois que votre culture de l'excuse, vous pouvez commencer à la ranger.

Sachez madame que je n'ai pas voulu être méprisant. Ce n'est pas mon style.

Je ne cherche pas d'excuses. Je cherche à expliquer un pphénomène afin de pouvoir y répondre le plus efficacement possible. Je crois que c'est different non ?

Pour votre question sur les campagnes. Je vois que les situations ne sont pas comparables. Vous voulez vraiment comparer les banlieux aux campagnes ? N'y a-t-il pas plus de mixités selon vous ? L'éducation n'a-t-elle pas été différente ? D'autre part, les possibilités de délinquer sont peut-être plus faibles non ?

Mauro Garibaldi a écrit :Il faut instaurer un climat de confiance entre la police et la population. Actuellement les forces de l'ordre remplissent 2 fonctions: Le maintient de l'ordre social et la protection de la proriété privée. Il faut changer celà en profondeur, sinon nous ne faisons que des mesurettes sans réel effet.

Je propose:

- Ouverture de commissariats de quartier au rôle aussi bien préventif que répréssif.
- Désarmement de la Police de patrouille, pour éviter les bavures et instaurer un nouveau climat de confiance.
- Suppréssion des unités de maintient de l'ordre de la voie publique (type CRS) car c'est un symptôme d'un malaise social pour que des unités soient formées à réprimer les manifestations...
- Formations policière accentuées sur l'aspect psychologique.

En un mot remettre la police au service de l'ensemble de la population!

Je pense qu'il faut différencier deux catégories de police.
Celle d'intervention qui assure la sécurité et qui doit instaurer tout de même un climat de respect et d'ordre et celle de proximité qui elle, à la base, est plus ciblée dans les quartiers et sert plus à instaurer un climat de confiance.
Celle qui maintient l'ordre doit avoir des moyens de répression, pour sa sécurité et sa crédibilité.
Celle de proximité pourrait à la limite être désarmée, et encore, il s'agit de leur sécurité.
Tout ça pour dire que les missions ne sont pas les mêmes, il faut les dissocier avant même de définir un rôle concret à une sorte de police généralisable.

Je suis plutot contre désarmer la police de proximité.

Ca peut etre con comme image, mais le "respect du flingue" est important. Commençons déjà par désarmer les bandes avant de désarmer la police.