(Yékèlz monta le premier sur l’estrade, afin de débuter ce qui doit être le dernier meeting de la campagne.
Des applaudissements accompagnent la montée du Représentant Parlementaire, très présent en cette fin de campagne.)
Chers amis, chers sympathisants ou membres du PPL, chers compatriotes !
Nous voilà de nouveau réunis, en une seule et même famille, en un seul et même corps ce soir, pour clôturer cette campagne qui nous a une nouvelle fois montrée à quel point le PPL s’est imposé dans le paysage politique Frôceux !
Nous sommes à 24h du suffrage, suffrage durant lequel il faudra voter, faire voter, et offrir une victoire nette au PPL afin de peser le plus possible dans le futur gouvernement. Durant toute cette campagne nous avons défendu notre programme, votre programme ! Nous avons défendu les idées de réussite, de libre entreprise, de morale, d’éthique, d’avenir, de succès et de confiance. Avec vous, tout au long de cette campagne, nous avons pu voir la bassesse et la médiocrité de ceux qui nous ont assimilés à des extrémistes ou à des épouvantails du libéralisme. Ils auront au moins eu le mérite de nous faire rire, et de nous rassembler toujours plus nombreux pour défendre nos valeurs, notre pays !
Lors du meeting d’hier à Angles, j’ai pu voir une foule débordante d’attente, d’espoir, de volonté. J’ai pu voir ces hommes et ces femmes qui se déplacent pour se rendre compte qu’un autre avenir que celui de l’assistanat est possible, que la réussite n’est plus un sujet tabou et que des citoyens, aujourd’hui en Frôce, sont prêts à prendre leur destin en main pour avoir les représentants qu’ils méritent. Et je les revois ce soir, et je vous vois ce soir !
(Applaudissements dans la salle, de plus en plus enthousiaste.)
Vous l’avez compris, l’heure n’est plus au consensus, aux discussions ou aux négociations. Non, l’heure est aujourd’hui au vote, au vote qui permettra au Parti pour la Liberté d’encore progresser et de toujours mieux vous représenter, de toujours plus se rapprocher du pouvoir, d’emmener aux sommets toujours plus d’élus qui ne vivent que pour le bonheur de leur pays et de leur peuple, et non pas pour satisfaire des élites ou groupes sociaux prédéfinis comme nous avons eu le malheur de l’observer lors des précédents mandants.
(Le public hue ceux-ci)
Que de lois, que de décisions, que de négociations qui ont mis à mal notre pays au nom d’une idéologie socialiste éprise d’assistanat et de résignation. Combien de citoyens mis sur la touche au nom de cela ? Combien de travailleurs, d’entrepreneurs, de patrons laissés pour compte, juste spoilés de leurs revenus pour financer encore et toujours plus d’étatisme, de marchés publics, de fonctionanire et d’incohérence économiques ? Nous ne pouvons plus continuer ainsi, nous devons remettre le travail et le mérite de chacun au centre de la logique étatiste, au centre de notre société.
C’est pourquoi le PPL s’engage à reformer la fiscalité de fond en comble, pour offrir à chacun le droit de profiter de ses revenus, du fruit de son travail.
C’est aussi pourquoi le PPL s’engage à limiter la présence de l’état sur les marchés qui couvrent notre territoire, pour permettre à nos entreprises de se développer, d’embaucher et de gagner en compétitivité.
La logique du PPL, c’est de pousser au succès, à l’investissement et à la réussite. D’encourager nos entreprises à aller conquérir de nouveaux marchés, à innover, à toujours défendre ses intérêts quand d’autres ne pensent qu’à profiter et à redistribuer.
La réussite de nos entreprises, c’est le synonyme de plein emplois, d’hausse naturelle des salaires, d’une évolution positive du niveau de vie global. C’est aussi de meilleures infrastructures pour tous, la présences d’entreprises privés qui, par le billet de la concurrence, innovent et nous fournissent les meilleurs services à des prix constamment en baisse.
C’est ça, la logique du PPL, une logique courageuse et ambitieuse au service de ses citoyens et de sa patrie !
(La foule applaudie, galvanisée par la scène.)
En parlant de patrie, qui aujourd’hui peut se vanter d’avoir un programme ambitieux pour celle-ci et ses intérêts ? Qui peut se targuer de vouloir préserver notre mode de vie et d’offrir à notre nation un avenir décent ?
Le PSD ? Ils sont bien trop occupés à mettre un programme ayant pour but de vider les caisses de l’état.
(Huées dans la salle.)
LE RPR ? Non, l’immobilisme n’a jamais triomphé.
(Nouvelle huée dans le public.)
Le PSE ? Quelqu’un sait ce que c’est ?
(Rires du public.)
Non, aucun. Nous sommes seuls mes amis, seuls à avoir foi en nos moyens et notre avenir, seul à croire en nos capacités et nos valeurs. Nous n’acceptons pas d’être résignés, nous n’acceptons pas d’être fatalistes, nous n’acceptons pas d’être assistés. Non !
Et c’est pour cela, qu’avec mon ami Jean Baptiste Marshall, toute l’équipe du PPL et tous ceux qui se mobilisent derrière nous, nous irons chercher la victoire qui nous donnera raison, qui montrera à nos confrères ce que notre pays vaut vraiment !
Mes amis, merci pour votre attention, merci pour tout, je laisse désormais la parole à celui qui guide cette campagne fabuleuse depuis le début, à celui qui se bat sans cesse pour nous représenter et lutter contre l’obscurantisme. Jean-Baptiste, c’est à toi mon ami !
(Tonnerre d’applaudissement dans la salle ! Les gens sont debout, excités et motivés !)