Prochaines législatives

[Daniel Faraday]

Ah bon ?

[Joseph Vossen]

On dirait que je vais avoir du pain sur la planche!

[Jonathan Vueling]

Si tu restes aux institutions... mouahahahahaaaa !

[Joseph Vossen]

Tu veux ma place, c'est ça?

[Maxime Dellas]

Pourquoi tu dis ça Joseph ?

[Jonathan Vueling]

Non, mais je dis qu'il faut se battre pour rester aux commandes parce que le RDS est un nouveau parti qui nous laissera aucun cadeau !

[Natalia Fevernova]

Il y a un fort émiettement politique, les indépendants réalisent souvent de bons scores, il y a 4 partis à gauche, je pense que c'est plus le moment d'arrondir les angles qu'autre chose.

[Jonathan Vueling]

Je peux céder sur beaucoup de chose, mais là je refuse. Dire a tous le monde que j'ai voulu abaisser le salaire des fonctionnaires, c'est un mensonge total et un fait électoraliste. Que ca vienne de la droite, ok. Mais qu'un parti de gouvernement qui ne dis rien en conseil et qui calomnie en public, c'est inacceptable.

[Laurent de Montredon]

Je salue le grand sens politique de Madame Fevernova.

Monsieur Vueling, je sais combien il est parfois blessant que l'on interprète ses propositions à tord, ou que l'on traverstisse la réalité pour des intérêts politiques.
Mais il y a aussi un intérêt supérieur à son propre cas : l'union politique.

Nous avons quand même un avantage indaignable : le chef de la RDS n'est plus au gouvernement. Nous devrions nous en satisfaire. Les deux représentants RDS au gouvernement sont plutôt "sages" et prêt au dialogue. Que l'on soit critiqué est normal. Essayons de ne pas prendre la mouche trop facilement.
Contentons nous de nier lorsqu'on nous balance des accusations fausses.

Quant à Monsieur Vossen, il n'y a aucune raison pour qu'il quitte les institutions.

[Jonathan Vueling]

Monsieur le Premier Ministre, je le dis et je le répète, Monsieur Salinovitch prêche un mensonge qui tourne déjà depuis longtemps dans les dents de la droite. Et il représente le RDS lorsqu'il le fait. Il serait donc normal que les deux représentants du RDS en conseil des ministres disent quelque chose. Or, ce n'est pas le cas et je le regrette profondément. Il y aurait-il deux tableaux? Peut être. Mais les frôceux ne voient qu'une partie, celle qui n'est pas celle qui se joue entre quatre murs et autour d'une table.

Pour la dernière phrase, sachez que c'était une simple boutade, il n'y avait aucune arrière pensée..