Parce que pendant le "débat", je n'appelle pas cela un débat au vue des réactions à mes propositions, je vous ai dis ce qu'il fallait de plus à ce projet, je pense avoir été clair en disant ce que je pense qu'il fallait ajouter notamment sur les examens des futurs enseignants mais aussi sur leur formation plus poussée... Mais, vous avez préféré mettre en place un conflit d'intérêt pur et simple, en déposant un texte qui n'arrangera absolument rien à la formation des enseignants.
J'espère que l'assemblée ne sera pas dupe et repoussera ce projet qui montre bien que l'on se moque des enseignants en leur proposant une loi régissant leur formation complètement insatisfaisante
[Débat] Loi sur la Formation des enseignants
- Charles de la Tour
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Re: [Débat] Loi sur la Formation des enseignants
Maître du Jeu
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Re: [Débat] Loi sur la Formation des enseignants
Comme évoqué lors de mon discours d'entrée en fonction, j'ai décidé de modifier la loi sur la formation des enseignants. Vous trouverez ici les modifications et les ajouts apportés, pour rendre cette loi et cette formation plus complète.
Je laisse ce projet loi aux débats pendant 5 jours avant de la transmettre au conseil des Ministres. J'attends donc vos propositions pour l'améliorer
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Je laisse ce projet loi aux débats pendant 5 jours avant de la transmettre au conseil des Ministres. J'attends donc vos propositions pour l'améliorer
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LOI RELATIVE A LA FORMATION DES ENSEIGNANTS DE L’ENSEIGNEMENT PRIMAIRE, ELEMENTAIRE ET SECONDAIRE
La Frôce a besoin d’une éduction forte, avec des enseignants formés de la meilleure manière qu’il soit. La formation de nos enseignants et personnels pédagogiques est donc essentiel pour mettre en place un bon apprentissage. Le métier d’enseignant s’apprend et le gouvernement Adélie souhaite réformer la loi Kelmann, trop peu explicative. De ce fait :
Vu la Constitution,
Vu la décision du conseil des Ministres en date du XX/XX/2011
Le gouvernement Adélie, par le biais de Charles de la Tour, Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la recherche, propose la loi suivante :
Article 1 : La loi L-2011-02-19 relative à la formation des enseignants est abrogée
Article 2 : Le gouvernement Adélie propose la loi suivante relative à la formation des enseignants de l’enseignement primaire, élémentaire et secondaire
Article 3 : La présente loi entrera en vigueur pour l’année scolaire 2011 / 2012, en cas de vote positif de l’assemblée nationale et de promulgation par la Présidence de la République.
Vu la Constitution,
Vu la décision du conseil des Ministres en date du XX/XX/2011
Le gouvernement Adélie, par le biais de Charles de la Tour, Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la recherche, propose la loi suivante :
Article 1 : La loi L-2011-02-19 relative à la formation des enseignants est abrogée
Article 2 : Le gouvernement Adélie propose la loi suivante relative à la formation des enseignants de l’enseignement primaire, élémentaire et secondaire
Loi sur la formation des enseignants en primaire, élémentaire et secondaire
Titre I : Des lieux de formation et de leur entrée
Article 101 : La présente loi met en place les Instituts pour la Formation des Enseignants (IFE). Ces établissements sont les seuls habilités par l’Etat frôceux pour délivrer les diplômes nécessaires à l’enseignement dans un établissement scolaire.
Article 102 : La République frôceuse possède six Instituts pour la Formation des Enseignants. Chaque région devra donc construire, avec l’aide de l’Etat, un institut sur leur territoire.
Article 103 : Un candidat à l’entrée d’un Institut doit être titulaire d’un BNES (Brevet National de l'Enseignement Scolaire) +3.
Article 104 : Chaque année, les Instituts proposent un concours d’entrée. Ce dernier aura lieu au mois d’avril et se composera d’un écrit dans les domaines du français, des mathématiques, de l’histoire géographie et d’une langue vivante choisir par l’étudiant. Ce concours est national, les sujets étant les mêmes dans tous les établissements
Article 105 : Le concours d’entrée est noté sur 150 points. Pour pouvoir entrer dans l’IFE de sa région, l’étudiant doit avoir au minimum 75 points sur les 150 points
Titre II : De la formation de enseignants en école primaire et en école élémentaire
Article 201 : La formation au sein des Instituts pour la Formation des Enseignants se déroule sur deux années. Une des années est destinée à un apprentissage purement théorique tandis que la deuxième année s’articule autour apprentissage pratique
Article 202 : La première année de formation est destinée à donner aux futurs enseignants les bases lui permettant d’avoir une culture solide dans les domaines du français et des mathématiques (65% de la formation) et dans les domaines de l’histoire géographie, de l’anglais et des arts (35% de la formation). La répartition horaire des enseignements est laissée à la libre décision des Instituts.
Article 203 : La deuxième année de formation est divisée entre la poursuite des enseignants théoriques au sein des Instituts pour la Formation des Enseignants (50% du temps) et la participation à des stages rémunérés dans un établissement de l’académie dans laquelle l’étudiant suit sa formation (50% du temps)
Article 204 : La formation des étudiants se destinant à l’enseignement en école primaire et élémentaire se termine par le passage d’un examen, dans le cadre de l’obtention du Certification d’Aptitude à l’Enseignement Primaire et Elémentaire (CAEPE). Cet examen se scinde en deux parties
Article 204 – 1 : Les étudiants seront convoqués à passer des épreuves écrites qui se dérouleront sur 3 demies-journées. Cet examen aura lieu au mois de novembre de la deuxième année de formation. Il prend en compte les enseignements délivrés au cours de la première année de formation. Les étudiants devront passer un examen de français (coefficient 4 dans la note final), de mathématiques (coefficient 4 dans la note finale), d’histoire-géographie et de langues vivantes (coefficient 2 chacun). Afin d’être admissible à l’orale, l’étudiant devra obtenir une moyenne générale, au minimum, de 10/20.
Article 204 – 2 : Dans le cas où l’étudiant obtient une moyenne de 10/20 aux épreuves écrites, il est convoqué au passage de deux épreuves orales. Ces épreuves se déroulent au moins de juin de la seconde année de formation et prennent en compte le programme délivré au cours de cette même deuxième année de formation. L’étudiant sera invité à passer une épreuve de français et une épreuve de mathématiques dont il tirera à chaque fois au sort le sujet sur lequel il passera.
Article 204 – 3 : L’étudiant obtient son CAEPE à partir du moment où il obtient une note moyenne de 12/20. Il sera dès lors affecté dans un établissement scolaire de son académie afin de commencer sa carrière, en tant que professeur stagiaire (voir titre IV de la loi)
Titre III : De la formation des enseignants en secondaire
Article 301 : La formation au sein des Instituts pour la Formation des Enseignants se déroule sur deux années. Une des années est destinée à un apprentissage purement théorique tandis que la deuxième année s’articule autour apprentissage pratique
Article 302 : La première année de formation est destinée à donner aux futurs enseignants les bases lui permettant d’avoir une culture solide dans le domaine que l’étudiant envisage d’enseigner à la fin de sa formation.
Article 303 : La deuxième année de formation est divisée entre la poursuite des enseignants théoriques au sein des Instituts pour la Formation des Enseignants (50% du temps) et la participation à des stages rémunérés dans un établissement de l’académie dans laquelle l’étudiant suit sa formation (50% du temps). La répartition horaire des enseignements est laissée à la libre décision des Instituts.
Article 204 : La formation des étudiants se destinant à l’enseignement en établissement secondaire se termine par le passage d’un examen, dans le cadre de l’obtention du Certification d’Aptitude à l’Enseignement Secondaire (CAES). Cet examen se scinde en deux parties
Article 204 – 1 : Les étudiants seront convoqués à passer une épreuve écrite qui se dérouleront sur une demi-journée. Dans le cadre d’une formation sur deux matières (Histoire-Géographie et Sciences Physiques, sera convoqué pour deux demies journées). Cet examen aura lieu au mois de novembre de la deuxième année de formation. Il prend en compte les enseignements délivrés au cours de la première année de formation. Afin d’être admissible à l’oral, l’étudiant devra obtenir une moyenne générale, au minimum, de 10/20.
Article 204 – 2 : Dans le cas où l’étudiant obtient une moyenne de 10/20 aux épreuves écrites, il est convoqué au passage d’une épreuve orale. Cet épreuve se déroule au moins de juin de la seconde année de formation et prennent en compte le programme délivré au cours de cette même deuxième année de formation. L’étudiant sera invité à passer une épreuve dont il tirera à chaque fois au sort le sujet sur lequel il passera. Dans le cadre d’un double enseignement (Histoire-Géographie et Sciences Physiques) l’étudiant passera deux épreuves orales selon les mêmes modalités.
Article 204 – 3 : L’étudiant obtient son CAES à partir du moment où il obtient une note moyenne de 12/20. Il sera dès lors affecté dans un établissement scolaire de son académie afin de commencer sa carrière, en tant que professeur stagiaire (voir titre IV de la loi)
Titre IV : De la titularisation des enseignants
Article 401 : Le titulaire d’un CAEPE ou d’un CAES est affecté dans un établissement pour une durée d’une année scolaire, en qualité de stagiaire d’enseignement. Durant cette période, le professeur stagiaire est encadré par un professeur référent, volontaire, ainsi que par le chef d’établissement.
Article 402 : Au cours de l’année scolaire, le professeur stagiaire est évalué par son professeur référent et par le chef d’établissement, selon des critères mis en place au sein même de l’établissement. Au cours d’observation des cours du stagiaire, le professeur référent et le chef d’établissement le note sur une échelle de vingt points par le professeur référent et par le chef d’établissement. Tous deux sont tenus de joindre un rapport justifiant la notation. Cette évaluation doit avoir lieu avant la fin avril et la note connue par l’enseignant stagiaire avant la mi-mai.
Article 403 : Si le professeur stagiaire n’obtient pas la moyenne de treize sur vingt, lors de son évaluation, une deuxième évaluation peut avoir lieu au cours du mois de mai. En cas de deuxième échec, le professeur stagiaire effectuera une deuxième année de stage dans le même établissement.
Article 403 : Tout stagiaire d’enseignement ayant une note moyenne supérieur à treize points sur vingt est déclaré titulaire, au bout de sa première année d’enseignement.
Article 404 : Durant trois ans, le nouveau titulaire est affecté à un poste fixe, dans un établissement scolaire choisi parmi les vœux qu’il a réalisé suite à sa titularisation. Cette décision ne pourra pas être remise en cause et le professeur ne pourra pas changer d’établissement avant les trois ans de rigueur.
Article 405 : Passé le délai de trois ans, l’enseignant pourra demander au maximum une mutation par an, régie par le principe de vœux réalisés dans divers établissements scolaires d’une même ou de plusieurs académies frôceuses.
Article 3 : La présente loi entrera en vigueur pour l’année scolaire 2011 / 2012, en cas de vote positif de l’assemblée nationale et de promulgation par la Présidence de la République.
Aspen, le XX/XX/XX
Charles de la Tour, Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche
Morgane Adélie, Premier Ministre
Asuka Finacci, Président de la République
Charles de la Tour, Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche
Morgane Adélie, Premier Ministre
Asuka Finacci, Président de la République
Maître du Jeu
Re: [Débat] Loi sur la Formation des enseignants
M. de la Tour, poouvez-vous m'expliquer le pourquoi des matières de sélection du concours d'entrée en IFE (français, mathématiques, histoire-géo, langue vivante) ?
Pourquoi celles-ci et pas d'autres ?
Pourquoi celles-ci et pas d'autres ?
- Charles de la Tour
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Re: [Débat] Loi sur la Formation des enseignants
Comme je l'ai dit dans le précédent débat, mis en place hier ou avant-hier, l'école primaire et élémentaire doit se baser sur un socle solide de connaissances dans les domaines du français, des mathématiques et dans une moindre mesure dans les domaines de l'art, de l'histoire-géo et des langues vivantes. A titre personnel, il me parait donc logique que nos futurs ensiegnants aient également les bases dans les domaines du "socle commun" de l'école primaire et élémentaire.
Maître du Jeu
- Thomas François
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Re: [Débat] Loi sur la Formation des enseignants
Pour encadrer un enseignant dans sa première année, vous évoquez la base du volontariat. Ne serait-il pas plus intéressant qu'un professeur qui par exemple à 2 ans de sa retraite et ayant un minimum de 15 années d'enseignement, aie l'obligation d'encadrer un stagiaire ? J'y vois ici une grande expérience dans le domaine plus favorable pour le stagiaire ainsi qu'un effectif bien plus certain de personnes disponible pour la finalisation de la "formation" des futurs enseignants.
Premier Ministre
Maire de Tosla-Les-Bains
Membre co-fondateur de l'ARC - Médaillé culturel de la République
Maire de Tosla-Les-Bains
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- Charles de la Tour
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Re: [Débat] Loi sur la Formation des enseignants
Le soucis que l'on a c'est que nous ne sommes pas sur que nous ayons assez d'enseignants pour encadrer les stagiaires si on reste sur la base de rendre obligatoire l'encadrement par des personnes à deux ans de la retraite ou avec 15 années d'enseignement au compteur. Je pense que le terme de "volontaire" est un oubli de ma part parce que j'ai quand même repris une parti du travail de mon prédécesseur, qui n'avait pas que du mauvais.Thomas François a écrit :Pour encadrer un enseignant dans sa première année, vous évoquez la base du volontariat. Ne serait-il pas plus intéressant qu'un professeur qui par exemple à 2 ans de sa retraite et ayant un minimum de 15 années d'enseignement, aie l'obligation d'encadrer un stagiaire ? J'y vois ici une grande expérience dans le domaine plus favorable pour le stagiaire ainsi qu'un effectif bien plus certain de personnes disponible pour la finalisation de la "formation" des futurs enseignants.
Maintenant, à voir si on ne peut pas réduire l'expérience de 15 ans à 5 ans voire 10 ans
Maître du Jeu