Re: Communiqués du ministère de l'éducation
Posté : 31 janv. 2013, 01:41
Le nouveau ministre de l'Education, de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche convoqua dès le lendemain de sa nomination une conférence de presse pour présenter l'action du gouvernement dans les domaines de compétence de son ministère.
Jusqu'ici l'Economie, les affaires étrangères et la justice avaient été les pôles les plus actifs du nouveau gouvernement.
François Bertrand tenait à ce que l'ambition courageuse de la nouvelle droite au pouvoir s'inscrive également dans la politique d'éducation.
"Mesdames, Messieurs,
Tout d'abord je me réjouis de servir à nouveau mon pays, cette fois ci en qualité de ministre de l'Education, de l'Enseignement supérieur et de la recherche. Je tiens également à remercier M. Borgia et Mme Finacci de la confiance qu'ils m'accordent suite à cette nomination.
Le nouveau gouvernement dont la légitimité sort des urnes s'est attaché à promouvoir les valeurs de liberté et de mérite en toute circonstance. Je l'annonce et je le dis de manière solennelle, ces deux grandes idées de l'Histoire humaine seront au coeur des préoccupations de mon ministère tout au long de cette mandature.
Les agents du ministère qui m'accompagneront dans les réformes profondes qui vont très vite s'engager feront leur travail avec détermination et courage et ce, dans un état d'esprit qui est aussi le mien : celui de servir l'intérêt général. Dès lors les tabous et les frictions qui ont longtemps caractérisé la politique de l'éducation en France comme en Frôce n'auront pas lieu d'être.
En ce qui concerne le domaine de l'éducation le programme commun du gouvernement sera mis en oeuvre, sans pour autant déroger à une règle essentielle : l'écoute de tous les acteurs de l'éducation nationale, à savoir les parents, les professeurs et les élèves.
La politique de la recherche doit être orientée au service des activités économiques et financières. Dès lors il faut organiser la recherche en concertation avec le secteur privé. Les économistes, et notamment Schumpeter, ont révélé le rôle crucial de l'innovation dans la croissance économique.
S'agissant de l'enseignement supérieur, domaine crucial qui influera sur l'avenir économique de la nation tout en dessinant les contours de la société de demain, je consacrerai mes efforts à la promotion de l'excellence comme du mérite en évitant tous les défauts que l'on peut rencontrer chez nos voisins européens comme celui d'une massification de l'Université qui s'est mal déroulée, privilégiant le plus grand nombre d'inscrits au plus grand nombre de méritants afin de présenter de façon illusoire une hypothétique méritocratie alors que l'ascenseur social reste encore toujours en panne. C'est le modèle socialiste égalitariste.
Mais il s'agira également d'accorder une place importante au mérite. Ainsi les défauts remarqués dans le système anglo-saxon doivent également attirer notre attention : il ne faut pas faire de l'enseignement supérieur le lieu propice à toute forme de reproduction sociale en privant les plus défavorisés. Les plus méritants peuvent et doivent avoir leur chance de réussir.
Cet équilibre, ces nuances et ce juste milieu caractérise l'esprit frôceux. Celui d'un esprit libre qui sait poser des limites et des bases saines sans dogmatisme mais avec pragmatisme. Cet esprit frôceux, nous l'avons hérité de cette Histoire commune que nous partageons en partie avec la France. Cet esprit frôceux, je vais tenter de l'animer dans la politique du ministère que je dirige et ce, pour qu'un modèle d'excellence et de réussite puisse faire de la Frôce un des pays les plus compétitifs en matière de formation et sur la valeur du diplôme obtenu dans nos établissements d'enseignement supérieur. Ce modèle d'excellence, ce sera le modèle frôceux. Et la réalisation de ce modèle frôceux de formation, ce sera l'ambition de mon ministère que j'accomplirai avec sans doute le soutien du gouvernement et sous l'autorité du Premier ministre.
Enfin et pour jauger l'efficacité des mesures qui seront prises, je resterai attentif aux classements internationaux des Ecoles & Universités, notamment le classement de Shanghai qui semble faire foi malgré les réticences de certains universitaires. La priorité sera donnée à la valeur du diplôme universitaire frôceux sur le marché du travail et pour cela, les entreprises tant sur le plan national qu'international doivent pouvoir faire confiance à l'individu qui est sortit diplômé du système frôceux.
Je vous remercie"
Jusqu'ici l'Economie, les affaires étrangères et la justice avaient été les pôles les plus actifs du nouveau gouvernement.
François Bertrand tenait à ce que l'ambition courageuse de la nouvelle droite au pouvoir s'inscrive également dans la politique d'éducation.
"Mesdames, Messieurs,
Tout d'abord je me réjouis de servir à nouveau mon pays, cette fois ci en qualité de ministre de l'Education, de l'Enseignement supérieur et de la recherche. Je tiens également à remercier M. Borgia et Mme Finacci de la confiance qu'ils m'accordent suite à cette nomination.
Le nouveau gouvernement dont la légitimité sort des urnes s'est attaché à promouvoir les valeurs de liberté et de mérite en toute circonstance. Je l'annonce et je le dis de manière solennelle, ces deux grandes idées de l'Histoire humaine seront au coeur des préoccupations de mon ministère tout au long de cette mandature.
Les agents du ministère qui m'accompagneront dans les réformes profondes qui vont très vite s'engager feront leur travail avec détermination et courage et ce, dans un état d'esprit qui est aussi le mien : celui de servir l'intérêt général. Dès lors les tabous et les frictions qui ont longtemps caractérisé la politique de l'éducation en France comme en Frôce n'auront pas lieu d'être.
En ce qui concerne le domaine de l'éducation le programme commun du gouvernement sera mis en oeuvre, sans pour autant déroger à une règle essentielle : l'écoute de tous les acteurs de l'éducation nationale, à savoir les parents, les professeurs et les élèves.
La politique de la recherche doit être orientée au service des activités économiques et financières. Dès lors il faut organiser la recherche en concertation avec le secteur privé. Les économistes, et notamment Schumpeter, ont révélé le rôle crucial de l'innovation dans la croissance économique.
S'agissant de l'enseignement supérieur, domaine crucial qui influera sur l'avenir économique de la nation tout en dessinant les contours de la société de demain, je consacrerai mes efforts à la promotion de l'excellence comme du mérite en évitant tous les défauts que l'on peut rencontrer chez nos voisins européens comme celui d'une massification de l'Université qui s'est mal déroulée, privilégiant le plus grand nombre d'inscrits au plus grand nombre de méritants afin de présenter de façon illusoire une hypothétique méritocratie alors que l'ascenseur social reste encore toujours en panne. C'est le modèle socialiste égalitariste.
Mais il s'agira également d'accorder une place importante au mérite. Ainsi les défauts remarqués dans le système anglo-saxon doivent également attirer notre attention : il ne faut pas faire de l'enseignement supérieur le lieu propice à toute forme de reproduction sociale en privant les plus défavorisés. Les plus méritants peuvent et doivent avoir leur chance de réussir.
Cet équilibre, ces nuances et ce juste milieu caractérise l'esprit frôceux. Celui d'un esprit libre qui sait poser des limites et des bases saines sans dogmatisme mais avec pragmatisme. Cet esprit frôceux, nous l'avons hérité de cette Histoire commune que nous partageons en partie avec la France. Cet esprit frôceux, je vais tenter de l'animer dans la politique du ministère que je dirige et ce, pour qu'un modèle d'excellence et de réussite puisse faire de la Frôce un des pays les plus compétitifs en matière de formation et sur la valeur du diplôme obtenu dans nos établissements d'enseignement supérieur. Ce modèle d'excellence, ce sera le modèle frôceux. Et la réalisation de ce modèle frôceux de formation, ce sera l'ambition de mon ministère que j'accomplirai avec sans doute le soutien du gouvernement et sous l'autorité du Premier ministre.
Enfin et pour jauger l'efficacité des mesures qui seront prises, je resterai attentif aux classements internationaux des Ecoles & Universités, notamment le classement de Shanghai qui semble faire foi malgré les réticences de certains universitaires. La priorité sera donnée à la valeur du diplôme universitaire frôceux sur le marché du travail et pour cela, les entreprises tant sur le plan national qu'international doivent pouvoir faire confiance à l'individu qui est sortit diplômé du système frôceux.
Je vous remercie"