Re: Privatisation des entreprises publiques
Posté : 02 août 2010, 19:16
Voilà, c'est si bien résumé.Vincent Valbonesi a écrit :Notre économie, qui est ou va devenir une économie de marché totale
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Voilà, c'est si bien résumé.Vincent Valbonesi a écrit :Notre économie, qui est ou va devenir une économie de marché totale
Merci beaucoup, voila enfin une réponse claire. Bah, on peut donc pas dire que la décision n'est pas justifiée. Selon moi il faudrait par contre faire ceci très, très lentement et laisser à l'Etat dans chaque secteur au moins une entreprise pour qu'il puisse intervenir si l'économie déraille.Vincent Valbonesi a écrit :Notre économie, qui est ou va devenir une économie de marché totale doit être capable de s'adapter à la mondialisation. La mondialisation va de pair avec la privatisation. Il est nécessaire aujourd'hui de permettre à toutes ces entreprises d'augmenter leur moyen, de maximiser leur profit et de rester des entreprises de pointes dans leurs secteurs. Le Monde évolue, l'économie évolue, l'entreprise doit s'adapter à tous ces changements. L'investisseur privé est le seule capable d'optimiser au maximum l'efficacité économique de son entreprise. A partir de là, un constat simple : certes, perte de revenu régulier en cas de bénéfices, ce qui n'est pas nécessairement vraie à l'heure actuelle mais au final, nous sortons gagnant à l'issu des privatisations car la vente des parts de l'État rapportera des sommes d'argent conséquentes à l'État. Puis, en cherchant l'efficacité, donc le gain maximal pour son entreprise, les bénéfices ne seront que plus élevés et donc les taxes étatiques permettront d'augmenter des rentrées ad'argent conséquentes et bien supérieures aux rentrées d'argent qu'elles nous procurent à l'heure actuelle. Les actions qui seront mises e ventes atteindront le frôceux lambda comme de grands investisseurs étrangers ou des partenaires institutionnels de notre pays, tel que des banques, des sociétés d'assurances etc. Le Mouvement Libéral se veut l'initiateur de la liberté de l'individu dans tous les domaines, la liberté d'entreprendre, la liberté d'investir est aussi importante qu'une aitre. Avec la privatisation des entreprises publiques, nous avons l'intime conviction qu'une sorte d'actionnariat "populaire" regroupant des petits épargnants, des frôceux lambda, des salariés va se créer. C'est également une manière pour nous de faire participer le salarié dans la réussite de son entreprise. Toutes les "manières" de privatiser seront étudiées afin de trouver la meilleure des solutions, eu cas par cas bien entendu. Voila mon objectif, voilà l'objectif du Gouvernement.
Pour vous répondre Monsieur Vinel, nous avons eu durant toute la campagne pour les présidentielles ainsi que pour celle des législatives l'occasion lors de chaque discours d'expliquer les raisons et les conditions des privatisations. Pas une seule fois nous n'avons eu à l'esprit l'idée de privatiser tous les secteurs de l'économie sans réfléchir et sans penser aux salariés. Ceux qui remettent en doute cela n'ont pas compris les ambitions du Mouvement Libéral et Gouvernement pour notre pays. Une privatisation partielle s'impose dans le cadre d'une entreprise qui ne produit pas de service pouvant être assimilé à des services régaliens, ni pour l'exploitation et la redistribution énergétique. L'État se doit de garder le contrôle dans certain domaine et de laisser la gouvernance à des investisseurs privés pour d'autres secteurs. Réflexion inverse pour les privatisations totales. J'ajoute que lorsque je parle de privatisation totale, l'État ne cèdera pas forcément l'intégralité de ses parts, mais une grande partie très probablement.Julien Vinel a écrit :Pourrait-on connaître les raisons qui fondent le choix entre privatisation totale et partielle ?
Nous avions remarqué que le gouvernement actuel préfère de loin se préoccuper des marchés financier que des millions de salariés...Vincent Valbonesi a écrit :Il ne faut pas s'attendre non plus à des miracles sociaux, ça n'est pas le genre de politique économique que nous souhaitons entreprendre.
Elle est bonne celle là... Oui ils pourraient vivre trop bien et se prendre à rêver de vivre dignement.A l'heure actuelle, il n'est pas dans les papiers du Ministère de mettre en place un salaire minimum. Nous pensons aux salariés et à l'emploi, le Ministère estime qu'un salaire minimum en Frôce serait néfaste pour les salariés
Peut être que ça vaudrait mieux que le gouvernement les oublient un peu, vu les ravages sociaux que vous allez provoquer.Les salariés ne seront pas oubliés
Et pourquoi Son Excellence le Ministre et sa cour estiment néfaste le salaire minimal? Je suis vraiment mais vraiment impatient d'entendre la justification.Vincent Valbonesi a écrit :A l'heure actuelle, il n'est pas dans les papiers du Ministère de mettre en place un salaire minimum. Nous pensons aux salariés et à l'emploi, le Ministère estime qu'un salaire minimum en Frôce serait néfaste pour les salariés, donc ça n'est pas d'actualité et c'est un autre débat que je lancerais peut être.
Bizarre, monsieur...Pendant la dictature, sa fonctionnait très bien...Vincent Valbonesi a écrit :Je ne sais pas si les mesures que nous proposeront aux salaires seront fortes, mais ce que je sais, c'est qu'elles seront à la hauteur des moyens dont le Gouvernement dispose. Il ne faut pas s'attendre non plus à des miracles sociaux, ça n'est pas le genre de politique économique que nous souhaitons entreprendre. A l'heure actuelle, il n'est pas dans les papiers du Ministère de mettre en place un salaire minimum. Nous pensons aux salariés et à l'emploi, le Ministère estime qu'un salaire minimum en Frôce serait néfaste pour les salariés, donc ça n'est pas d'actualité et c'est un autre débat que je lancerais peut être. Et puis comme vous le savez déjà, on ne peut jamais satisfaire tout le monde à la fois. Les salariés ne seront pas oubliés, et avant le lancement du plan de privatisation, nous rencontreront les partenaires sociaux afin de discuter avec eux des modalités et des possibilités qui s'offrent à nous pour faire de ces privatisations un succès économique et social. Il est important de se réunir, de discuter d'entamer un dialogue constructif entre l'État et les syndicats. Je ne souhaite pas que les salariés de ces entreprises là aient le sentiment de se sentir abandonner, ça n'est pas le cas, ça n'est pas du tout notre but. Nous accompagneront les salariés dans le transfert de l'entreprise mais une fois que le changement aura été effectué, le Gouvernement n'interviendra plus, cela est logique car l'entreprise n'appartiendra plus à l'État Frôceux.