Communiqué de presse du 20 mai 2011.
Mesdames et Messieurs,
Je tiens tout d'abord à remercier Monsieur le Premier ministre, Sylvain Kelmann ainsi que Monsieur le Président de la République, Mays Madarjeen de me faire l'immense honneur de m'accorder leur confiance en portant leur choix sur mon nom dans le but d'accompagner l'avancée de notre pays sur la scène mondiale en tant que Ministre de l'Économie, des Finances, des Affaires sociales et du Travail.
Bien entendu, l'élite politico-médiatique fut surprise de voir arriver un jeune loup entrer au gouvernement, qui plus est, à un tel poste. 'Inexpérience', le mot a été lâché. Néanmoins, s'il y a bien une chose que cette élite ignore totalement, c'est que l'économie et les finances sont un domaine dans lequel je travail depuis dès années.
En effet, après avoir mené des études à la Harvard Business School, j'en suis ressorti avec un Master of Business Administration et je suis entré dans la finance en tant qu'opérateur de marché. En tant que tel, je me devais d'intervenir sur les marchés financiers internationaux en vendant et en achetant des titres, des matières premières et des produits dérivés, pour le compte d’une société de bourse à New-York, puis à Londres. Il s'agissait réellement d'un véritable job de négociateur, je devais mettre en concurrence des vendeurs et des acheteurs afin d'obtenir les meilleurs prix. Les sommes engagées étaient pour la plupart du temps colossales et le stress était omniprésent dans la profession. Je sais pertinemment ce qu'est un poste à lourdes responsabilités.
Plusieurs années ont passées et j'ai cessé cette activité en 2006 pour fonder ma propre société d'investissement à Los Angeles en Californie. Les affaires marchent très bien et le business et un domaine où je suis très à l'aise.
C'est véritablement un honneur de servir mon pays en tant que Ministre de l'Économie, des Finances, des Affaires sociales et du Travail et je tacherai d'être à la hauteur. Soyez-en certain.
De nombreux chantiers nous attendent, parmi lesquels la création d'un service minimum dans les transports pendant les jours de grève, d'une loi visant à radier de la liste des bénéficiaires des allocations chômages tout demandeur d'emploi ayant refusé trois offres correspondant à son profil, d'une loi sur l'exonération des droits de succession pour tous les conjoints ainsi que le plafonnement à 150 000 pluzins par enfant, une loi permettant de favoriser l’égalité salariale et professionnelle entre les femmes et les hommes, une loi sur le développement du commerce équitable et des nouveaux métiers de l'environnement, une loi permettant la mise en place d’un système de tutorat liant un sénior et un jeune au sein d’une entreprise, avec exonération des charges sur ces deux emplois, la création d’une Couveuse d’Etat, prenant en charge les dépenses de fonctionnement d’une société nouvellement créée tout en gelant ses recettes pendant un an, une autre loi permettant la révision de la procédure des appels d’offre par le biais d’un barème favorisant les PME génératrices d’emploi et enfin, une loi permettant la mise en place d'un cadre de maitrise durable des finances publiques.
Ces chantiers sont ceux prévu dans le programme présidentiel du Parti Républicain Frôceux. Monsieur Madarjeen ayant reçu la confiance d'une large majorité des citoyens de notre pays, son projet, notre projet, sera, comme promis, mise en œuvre point par point.
D'autres chantiers me tiennent personnellement à cœur en tant que Ministre de l'Économie, des Finances, des Affaires sociales et du Travail, et j'aimerai également les mettre en place lors du mandat qui m'est confié. C'est la raison pour laquelle je m'entretiendrai d'ici peu avec Monsieur le Premier ministre, Sylvain Kelmann ainsi que Monsieur le Président de la République, Mays Madarjeen. Je vous tiendrai au courant de cela, soyez-en sûr.
Je vous remercie toutes et tous de votre présence, je vous dis 'à très bientôt' et je vais me mettre de ce pas au travail. Bonne journée à tous.