Nouvelle donne

[Mauro Garibaldi]

Plusieurs choses me chagrinent alors je vais les poster ici:

- Plusieurs voix nous manquent. C'est inacceptable. On passe pour des baltringues, et ça fragilise notre position politique.

- Matiou tu n'as pas a prendre position pour le second tour sans en référer au parti. Déjà une position personnelle c'est limite car tu est le candidat du parti, mais encore moins engager la parole du parti dans tes prises de position...

J'attends des réponse, pas pour moi-même mais pour le parti.

[Matiou Callet]

Alors un de mes votes est allé à Kyo : celui de Marie Cossac. Je fais partie de ceux qui veulent que l'on joue le jeu et je critique ceux qui ne le font pas. Ça explique une voix.

Pour le reste je pense avoir le droit à une posture personnelle. En me relisant, effectivement, j'engage avec moi le parti et ça c'est déraper. Si vous voulez vous désolidariser et le reste vous en avez le droit et je reconnaîtrai mon erreur publiquement. En revanche, je tiens à ma liberté de parole personnelle.

[Mauro Garibaldi]

Je peux comprendre ta réponse sur le 1er point même si je ne cautionne pas, mais la deuxième m'étonne fortement.

Prenons donc position ensemble pour le parti.

Pour ma part je pense que nous devons appeler au rassemblement de la gauche de manière claire et précise. La question n'est pas qui on aime, ou pas, mais de faire barrage à la droite de la manière la plus efficace.

[Matiou Callet]

Pour ma part je ne veux pas me range derrière n'importe quoi. J'aimerais bien que l'UGR nous assure quelques garanties. Ils auront ma voix c'est sûr, mais je ne veux pas être un appoint qu'on oublie lorsqu'il n'y a pas élection.

[Mauro Garibaldi]

Pourquoi ne pas leur dire au lieu de faire une déclaration publique de méfiance vis à vis d'eux. A mon avis ça doit se régler dans la maison de la gauche et pas sur la place publique.

[Matiou Callet]

Parce que j'ai trouvé que l'attitude de Zélie lors de la soirée électorale ne devait pas rester sans réponse. Je suis un partenaire, pas un caddie.

[Mauro Garibaldi]

Je n'en doute pas, mais l'attitude d'une personne ne peux pas passer avant le rassemblement de la gauche. Elle ne représente pas la pensée de l'ensemble de sa formation politique et tu le sais. Alors soit nous rallions ceux qui nous respectent en nous élevant au dessus des phrases à la con de Zélie, soit nous nous coupons d'eux. Y compris de ceux qui nous respectent.