[Législatives mai] Débat Education et Affaires Sociales
Re: [Législatives mai] Débat Education et Affaires Sociales
Passéiste ? Vous jugez passéiste le fait d'interdire la drogue ? Vous jugez passéiste le fait de protéger nos enfants ? Je préfère, pour répondre à vos questions, que nos jeunes ne touchent pas à la drogue.
- Richard Cypher
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Re: [Législatives mai] Débat Education et Affaires Sociales
Il est évident que la drogue est un fléau. Mais l'interdire n'est pas la solution.Cela ne fera qu'aggraver la situation. Les jeunes adorent aller à l'encontre de ce que l'on leur interdit. C'est donc une très mauvaise idée même si la légalisation n'est pas non plus la solution. Pourquoi ne pas proposer une certaine dépénalisation dans certains cas?
Pour répondre à M.Mcgregor qui accuse le RSE de ne pas s'intéresser à l'avenir de nos enfants, je lui réponds qu'il se trompe. En effet, les enfants n'ont pas tous à la base la même chance pour réussir. Mais devons pour autant les oublier? Laisser ceux qui n'ont statistiquement aucune chance dans leurs coins et aider les autres? Et bien non! Et nous aidons ces jeunes par la mixité sociale. Le tutorat ne fonctionnera que par cette mixité. Donc oui M.Mcgregor, nous privilégions la mixité pour ensuite permettre une entraide et pourquoi pas apporter une aide aux jeunes!
Pour répondre à M.Mcgregor qui accuse le RSE de ne pas s'intéresser à l'avenir de nos enfants, je lui réponds qu'il se trompe. En effet, les enfants n'ont pas tous à la base la même chance pour réussir. Mais devons pour autant les oublier? Laisser ceux qui n'ont statistiquement aucune chance dans leurs coins et aider les autres? Et bien non! Et nous aidons ces jeunes par la mixité sociale. Le tutorat ne fonctionnera que par cette mixité. Donc oui M.Mcgregor, nous privilégions la mixité pour ensuite permettre une entraide et pourquoi pas apporter une aide aux jeunes!
Maire de Farelle
Trésorier et Vice-Président du RSE
Président de la Fédération Frôceuse de Kayak
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- Vincent Valbonesi
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Re: [Législatives mai] Débat Education et Affaires Sociales
Le Rassemblement pour la République, conscient des problèmes actuels que rencontre l’école de la République propose des solutions concrètes, efficaces et optimales pour permettre à chacun de bénéficier des mêmes chances et d’une qualité d’enseignement parmi les meilleures au monde.
Pour cela, l’environnement extérieur d’un élève compte beaucoup. Il est une priorité pour nous de refaire de l’école un lieu de vie en collectivité où la violence est exclue et où le respect des est la règle. Nous ne pouvons instruire les enfants et futurs travailleurs de demain dans un cadre qui n’est pas propice à l’enseignement et à l’apprentissage. Aucun enfant ne doit avoir peur ou une quelconque appréhension avant d’aller à l’école. Nous proposons la redéfinition du temps de travail et du statut des enseignants afin de permettre à chacun de retrouver la foi dans ce métier, probablement l’un des plus merveilleux. L’enseignant doit bénéficier d’un statut revalorisé à la hauteur de la tâche qui est la sienne au sein de notre société. Celui-ci doit également faire un effort d’adaptation concernant ses horaires de travail afin de permettre plus de flexibilité. Toujours dans une optique d’égalité, nous proposons l’instauration de concours systématique pour les recrutements nationaux. En effet, la nomination ou la sélection sont devenu aujourd’hui profondément has been. De plus, l’effet de piston ou de connaissance d’une connaissance provoque bien souvent l’injustice. Le système républicain ne peut tolérer plus longtemps de telles pratiques. Nous nous devons de prendre les meilleurs, noir ou blanc, grand ou petit, riche ou pauvre. Voilà la véritable école de la République, voilà la véritable école qui donne sa chance à chacun.
Pour les élèves, nous pensons qu’au minimum la moitié du temps passé à l’école primaire doit être consacré à la maitrise de l’écrit et de la langue. Notre culture est exceptionnelle, notre patrimoine linguistique l’est tout autant. Il est inconcevable aujourd’hui de faire passer des élèves dans des niveaux d’enseignements supérieurs alors qu’ils ne connaissent pas les bases fondamentales de la communication en groupe. C’est pour cela que nous interdirons les passages dans le secondaire pour les élèves qui ne maitrisent pas la lecture et l’écriture. Il ne s’agit pas de pénaliser ces élèves, au contraire, il faut être pragmatique. Il serait honteux de poursuivre la politique qui est en place qui consiste à faire passer toujours plus d’élèves pour remplir des objectifs chiffrés. Faire passer ces élèves revient à leur détruire toute chance de succès plus tard.
Il est important de permettre à un enseignant d’enseigner dans une classe comportant un nombre juste d’élèves. Les classes surchargées ne sont pas la solution. On sait tous que le cas par cas n’est pas possible à l’école et qu’un enseignant n’a pas la possibilité de s’occuper d’un élève en particulier ou de s’arrêter sur chaque élève. C’est pourquoi il apparait comme nécessaire de réduire les effectifs des classes, surtout dans le premier cycle en maternelle et en primaire. Nous interdirons également les devoirs à la maison dans les classes du primaire. En effet, on le sait tous, chacun n’a pas les mêmes chances, les mêmes possibilités. Tous les élèves n’ont pas un parent docteur, professeur ou avocat, par conséquent, il convient de ne plus pénaliser une catégorie d’élèves au profit des autres. Les devoirs à la maison n’ont aucun intérêt si ce n’est celui d’accentuer la différenciation sociale. Ils seront donc interdit en primaire, peut-être, dans le secondaire, nous en discuterons plus tard avec les enseignants et les associations de parents d’élèves.
Nous proposons la mise en place d’un « Forum des métiers » pour chaque élève en moyenne tous les deux à trois ans dès l’entrée dans le secondaire afin de faire réellement connaitre dans le fond les possibilités qui s’offrent à un jeune élève dans notre pays. Il est inconcevable qu’un jeune à l’aube de quitter le système scolaire secondaire n’ai aucune idée de ce qu’il souhaite faire plus tard. Ce manquement est dû à un manque crucial d’information tout au long du parcours scolaire de l’élève. Nous allons remédier à ce manque via ce « Forum des métiers ». Nous mettrons en place des stages en entreprise obligatoire dès le secondaire et chaque année pour chaque élève avec une obligation d’effectuer ce stage. Si l’élève ne trouve pas dans une entreprise privée, alors le secteur public aura l’obligation de lui trouver un stage dans les administrations ou entreprises publiques correspondant à ses préférences. Le passage de l’école à l’entreprise ne doit plus être un cataclysme ou une crainte dans la vie d’un élève.
Le taux de scolarisation des enfants handicapés est aujourd’hui à un tel niveau dans notre pays qu’il est difficile de ne pas avoir honte. Ce sentiment de honte, le Rassemblement pour la République le comprend et va le combattre. Un programme encore jamais vu de scolarisation et de prise en charge des enfants handicapés sera mis en place pour accueillir et scolariser ces enfants qui ont droit à une éducation de qualité au même titre que chaque enfant dans notre pays. Pour vérifier la mise en place de cette politique, des objectifs chiffrés seront publiés dans chaque région en fonction des moyens attribués. Ainsi, les établissements qui ne respecteront pas les engagements de la République en la matière se verront pénaliser. L’école ne doit en aucun cas devenir un lieu de discrimination. Une des missions de l’école, c’est l’apprentissage certes, mais aussi et surtout la prévention. L’école, c’est l’école de la vie. C’est apprendre la vie en communauté. C’est respecter l’espace et le droit d’autrui. Chaque enfant intègre ces principes fondamentaux dès son plus jeune âge. En conséquence, nous augmenterons les moyens alloués à l’éducation mais aussi aux campagnes de prévention contre les addictions tels que l’alcool, le tabac ou les produits stupéfiants qui font un véritable carnage dans notre jeunesse. Nous développerons l’éducation numérique afin de rompre cette injustice sociale qui consiste à observer sans rien dire des enfants défavorisés ne pas avoir accès aux nouvelles technologies et des enfants de privilégies au contraire, avoir accès à toutes les technologies. C’est aussi un rôle de l’école de la République que de combler ces inégalités. Chaque enfant recevra une formation pour maitriser les nouveaux outils de communications. Chaque établissement scolaire se verra subventionner l’achat d’équipements informatiques par exemple. Enfin, nous encouragerons chaque établissement scolaire à mettre en place des classes du soir pour permettre aux élèves volontaires, qui souhaitent travailler plus ou comprendre davantage, d’en avoir la possibilité. L’école n’est pas un temps strict et limitée. La soif de connaissance et de savoir des jeunes élèves ne doit jamais être limitée par quiconque.
Pour cela, l’environnement extérieur d’un élève compte beaucoup. Il est une priorité pour nous de refaire de l’école un lieu de vie en collectivité où la violence est exclue et où le respect des est la règle. Nous ne pouvons instruire les enfants et futurs travailleurs de demain dans un cadre qui n’est pas propice à l’enseignement et à l’apprentissage. Aucun enfant ne doit avoir peur ou une quelconque appréhension avant d’aller à l’école. Nous proposons la redéfinition du temps de travail et du statut des enseignants afin de permettre à chacun de retrouver la foi dans ce métier, probablement l’un des plus merveilleux. L’enseignant doit bénéficier d’un statut revalorisé à la hauteur de la tâche qui est la sienne au sein de notre société. Celui-ci doit également faire un effort d’adaptation concernant ses horaires de travail afin de permettre plus de flexibilité. Toujours dans une optique d’égalité, nous proposons l’instauration de concours systématique pour les recrutements nationaux. En effet, la nomination ou la sélection sont devenu aujourd’hui profondément has been. De plus, l’effet de piston ou de connaissance d’une connaissance provoque bien souvent l’injustice. Le système républicain ne peut tolérer plus longtemps de telles pratiques. Nous nous devons de prendre les meilleurs, noir ou blanc, grand ou petit, riche ou pauvre. Voilà la véritable école de la République, voilà la véritable école qui donne sa chance à chacun.
Pour les élèves, nous pensons qu’au minimum la moitié du temps passé à l’école primaire doit être consacré à la maitrise de l’écrit et de la langue. Notre culture est exceptionnelle, notre patrimoine linguistique l’est tout autant. Il est inconcevable aujourd’hui de faire passer des élèves dans des niveaux d’enseignements supérieurs alors qu’ils ne connaissent pas les bases fondamentales de la communication en groupe. C’est pour cela que nous interdirons les passages dans le secondaire pour les élèves qui ne maitrisent pas la lecture et l’écriture. Il ne s’agit pas de pénaliser ces élèves, au contraire, il faut être pragmatique. Il serait honteux de poursuivre la politique qui est en place qui consiste à faire passer toujours plus d’élèves pour remplir des objectifs chiffrés. Faire passer ces élèves revient à leur détruire toute chance de succès plus tard.
Il est important de permettre à un enseignant d’enseigner dans une classe comportant un nombre juste d’élèves. Les classes surchargées ne sont pas la solution. On sait tous que le cas par cas n’est pas possible à l’école et qu’un enseignant n’a pas la possibilité de s’occuper d’un élève en particulier ou de s’arrêter sur chaque élève. C’est pourquoi il apparait comme nécessaire de réduire les effectifs des classes, surtout dans le premier cycle en maternelle et en primaire. Nous interdirons également les devoirs à la maison dans les classes du primaire. En effet, on le sait tous, chacun n’a pas les mêmes chances, les mêmes possibilités. Tous les élèves n’ont pas un parent docteur, professeur ou avocat, par conséquent, il convient de ne plus pénaliser une catégorie d’élèves au profit des autres. Les devoirs à la maison n’ont aucun intérêt si ce n’est celui d’accentuer la différenciation sociale. Ils seront donc interdit en primaire, peut-être, dans le secondaire, nous en discuterons plus tard avec les enseignants et les associations de parents d’élèves.
Nous proposons la mise en place d’un « Forum des métiers » pour chaque élève en moyenne tous les deux à trois ans dès l’entrée dans le secondaire afin de faire réellement connaitre dans le fond les possibilités qui s’offrent à un jeune élève dans notre pays. Il est inconcevable qu’un jeune à l’aube de quitter le système scolaire secondaire n’ai aucune idée de ce qu’il souhaite faire plus tard. Ce manquement est dû à un manque crucial d’information tout au long du parcours scolaire de l’élève. Nous allons remédier à ce manque via ce « Forum des métiers ». Nous mettrons en place des stages en entreprise obligatoire dès le secondaire et chaque année pour chaque élève avec une obligation d’effectuer ce stage. Si l’élève ne trouve pas dans une entreprise privée, alors le secteur public aura l’obligation de lui trouver un stage dans les administrations ou entreprises publiques correspondant à ses préférences. Le passage de l’école à l’entreprise ne doit plus être un cataclysme ou une crainte dans la vie d’un élève.
Le taux de scolarisation des enfants handicapés est aujourd’hui à un tel niveau dans notre pays qu’il est difficile de ne pas avoir honte. Ce sentiment de honte, le Rassemblement pour la République le comprend et va le combattre. Un programme encore jamais vu de scolarisation et de prise en charge des enfants handicapés sera mis en place pour accueillir et scolariser ces enfants qui ont droit à une éducation de qualité au même titre que chaque enfant dans notre pays. Pour vérifier la mise en place de cette politique, des objectifs chiffrés seront publiés dans chaque région en fonction des moyens attribués. Ainsi, les établissements qui ne respecteront pas les engagements de la République en la matière se verront pénaliser. L’école ne doit en aucun cas devenir un lieu de discrimination. Une des missions de l’école, c’est l’apprentissage certes, mais aussi et surtout la prévention. L’école, c’est l’école de la vie. C’est apprendre la vie en communauté. C’est respecter l’espace et le droit d’autrui. Chaque enfant intègre ces principes fondamentaux dès son plus jeune âge. En conséquence, nous augmenterons les moyens alloués à l’éducation mais aussi aux campagnes de prévention contre les addictions tels que l’alcool, le tabac ou les produits stupéfiants qui font un véritable carnage dans notre jeunesse. Nous développerons l’éducation numérique afin de rompre cette injustice sociale qui consiste à observer sans rien dire des enfants défavorisés ne pas avoir accès aux nouvelles technologies et des enfants de privilégies au contraire, avoir accès à toutes les technologies. C’est aussi un rôle de l’école de la République que de combler ces inégalités. Chaque enfant recevra une formation pour maitriser les nouveaux outils de communications. Chaque établissement scolaire se verra subventionner l’achat d’équipements informatiques par exemple. Enfin, nous encouragerons chaque établissement scolaire à mettre en place des classes du soir pour permettre aux élèves volontaires, qui souhaitent travailler plus ou comprendre davantage, d’en avoir la possibilité. L’école n’est pas un temps strict et limitée. La soif de connaissance et de savoir des jeunes élèves ne doit jamais être limitée par quiconque.
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Ancien Président de la République
Ancien Premier ministre
Ancien Président de l'Assemblée Nationale
Ancien Ministre de l'Economie, des Finances et du Travail
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Re: [Législatives mai] Débat Education et Affaires Sociales
En matière d'éducation, l'ACP a toujours été favorable à une égalité affirmée et revendiquée entre tous les élèves. C'est pourquoi nous avions soutenu l'abrogation du contrôle terminal proposée par M. Finacci. En revanche, je fais simplement remarquer que les élèves ne sont pas tous des tricheurs. Parce qu'une poignée d'entre eux font faire leurs devoirs par une tierce personne, il faudrait donc restreindre les devoirs à la maison ? Les révisions et les exercices sont nécessaires. Ce qu'il faut surtout c'est mieux répartir les devoirs dans les matières, éviter par exemple que les week-end et les vacances soient trop chargés par les révisions et que ces dernière donnent lieu à des explications véritables et à une correction méticuleuse. C'est pour cela que nous proposons deux mesures importantes : la création de postes d'enseignants et un effectif maximal par classe, pour permettre aux professeurs de mieux encadrer et aider leurs élèves. La préparation des devoirs doit se faire en classe, pour donner l'envie à l'élève de progresser. Et de toute évidence, si parmi eux se trouve un tricheur, rien n'empêche de lui faire tomber le masque lors d'un contrôle surprise. Après tout, c'est ce qui se fait couramment et le contrôle continu est un bon moyen pour vérifier l'acquisition des connaissances.
J'aimerais en profiter pour revenir sur la proposition de Monsieur Valbonesi, qui ose encore demander plus de souplesse aux enseignants. Non, un enseignant pour bien faire son travail, il doit rester concentré sur une poignée d'élèves et ne pas se disperser à travers tout un établissement. Il y a un besoin rgent aujourd'hui d'embaucher des professeurs pour que nos enfants puissent avoir des cours de qualité. La QUA-LI-TE ! C'est ça l'enjeu de l'éducation nationale aujourd'hui. Pourquoi vouloir inventer le couteau-prof suisse, Monsieur Valbonesi ? Parce que c'est dans l'air du temps de mélanger les genres ? Nos jeunes méritent mieux que cela ! Et dans une époque où les ravages d'une telle politique sont désormais visible, regardez un peu du côté de nos voisins français, par exemple, il y a une nécessité de colmater les brèches et d'en finir avec un système qui plombe la qualité de l'enseignement. Mieux répartir les élèves, mieux répartir les postes d'enseignants, redéfinir leurs affectations pour que chaque école ne soit pas en manque de personnel, c'est ça la priorité. Quant à votre idée sur les concours, elle va tout simplement ouvrir la voie à l'élitisme et donc partager les élèves en deux catégories : ceux qui ont réussi et ceux qui ont échoué. Alors pour ceux qui vont réussir, on sait ce qui les attend, mais pour ceux qui ont échoué ??? On se le demande... Il doit y avoir deux critères qui doivent être pris en compte pour accéder aux recrutements nationaux : la motivation et le dossier scolaire. Par ce qu'après tout, comme vous dites, noir ou blanc, riche ou pauvre, grand ou petit, génie ou élève en difficulté, ce qui compte c'est l'investissement et les efforts fournis, ce qu'on pourrait définir comme le mérite. En plus, vous n'allez pas me faire croire qu'un enfant de riche va galérer pour financer une école de prépa aux concours. Alors qu'un enfant issu d'une famille défavorisé, lui va réellement peiner pour être à la hauteur.
L'Ecole de la République doit être l'école du respect à la fois des individus et des différences. La question de l'uniforme revient souvent, à droite comme à gauche. Il est important de la régler et d'organiser un référendum sur le sujet. Le peuple frôceux doit se prononcer clairement pour ou contre et l'Etat doit en tirer les conclusions qui s'imposent. Nous proposons aussi de séparer les cours d'instruction civique des matières Histoire et Géographie, pour que les enseignants puissent préparer les jeunes générations à la société et leur donner l'ensemble des éléments à connaître sur ce thème. Et nous sommes favorables à ce que l'hymne national soit connu des élèves, et entendu au moins une fois dans l'année scolaire. Enfin, pour les jeunes invalides, ne pouvant pas se déplacer en établissement scolaire il est crucial que nous mettions en oeuvre une vrai politique de soutien avec des cours à domicile. Et cela ne doit bien évidemment pas arrêter l'aménagement des écoles pour les personnes à mobilité réduite, bien au contraire.
J'aimerais en profiter pour revenir sur la proposition de Monsieur Valbonesi, qui ose encore demander plus de souplesse aux enseignants. Non, un enseignant pour bien faire son travail, il doit rester concentré sur une poignée d'élèves et ne pas se disperser à travers tout un établissement. Il y a un besoin rgent aujourd'hui d'embaucher des professeurs pour que nos enfants puissent avoir des cours de qualité. La QUA-LI-TE ! C'est ça l'enjeu de l'éducation nationale aujourd'hui. Pourquoi vouloir inventer le couteau-prof suisse, Monsieur Valbonesi ? Parce que c'est dans l'air du temps de mélanger les genres ? Nos jeunes méritent mieux que cela ! Et dans une époque où les ravages d'une telle politique sont désormais visible, regardez un peu du côté de nos voisins français, par exemple, il y a une nécessité de colmater les brèches et d'en finir avec un système qui plombe la qualité de l'enseignement. Mieux répartir les élèves, mieux répartir les postes d'enseignants, redéfinir leurs affectations pour que chaque école ne soit pas en manque de personnel, c'est ça la priorité. Quant à votre idée sur les concours, elle va tout simplement ouvrir la voie à l'élitisme et donc partager les élèves en deux catégories : ceux qui ont réussi et ceux qui ont échoué. Alors pour ceux qui vont réussir, on sait ce qui les attend, mais pour ceux qui ont échoué ??? On se le demande... Il doit y avoir deux critères qui doivent être pris en compte pour accéder aux recrutements nationaux : la motivation et le dossier scolaire. Par ce qu'après tout, comme vous dites, noir ou blanc, riche ou pauvre, grand ou petit, génie ou élève en difficulté, ce qui compte c'est l'investissement et les efforts fournis, ce qu'on pourrait définir comme le mérite. En plus, vous n'allez pas me faire croire qu'un enfant de riche va galérer pour financer une école de prépa aux concours. Alors qu'un enfant issu d'une famille défavorisé, lui va réellement peiner pour être à la hauteur.
L'Ecole de la République doit être l'école du respect à la fois des individus et des différences. La question de l'uniforme revient souvent, à droite comme à gauche. Il est important de la régler et d'organiser un référendum sur le sujet. Le peuple frôceux doit se prononcer clairement pour ou contre et l'Etat doit en tirer les conclusions qui s'imposent. Nous proposons aussi de séparer les cours d'instruction civique des matières Histoire et Géographie, pour que les enseignants puissent préparer les jeunes générations à la société et leur donner l'ensemble des éléments à connaître sur ce thème. Et nous sommes favorables à ce que l'hymne national soit connu des élèves, et entendu au moins une fois dans l'année scolaire. Enfin, pour les jeunes invalides, ne pouvant pas se déplacer en établissement scolaire il est crucial que nous mettions en oeuvre une vrai politique de soutien avec des cours à domicile. Et cela ne doit bien évidemment pas arrêter l'aménagement des écoles pour les personnes à mobilité réduite, bien au contraire.
- Historique des points Godwin mention Staline -
Jean-Baptiste Marshall : 3 pts
- Gavroche Finacci
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Re: [Législatives mai] Débat Education et Affaires Sociales
Ce n'est pas parce que les tricheurs ne sont qu'une minorité qu'il faut pénaliser les élèves honnêtes et travailleurs. De plus, ces exercices coutent beaucoup de temps qui pourrait être utilisé dans l'épanouissement personnel d'un jeune. Les révisions sont nécessaires et plutôt équitables, je n'ai aucun problème avec, mais un exercice noté peut faire monter de façon artificielle la note d'un élève favorisé ce qui me parait profondément injuste.
Concernant l'uniforme, je ne pense pas qu'un référendum soit utile pour une mesure coûteuse et à l'efficacité douteuse alors que les fonds devraient revenir à l'embauche de plus de personnel ou à l'entretien des locaux, le propre de la démocratie représentative c'est de savoir prendre ses responsabilités.
Concernant l'uniforme, je ne pense pas qu'un référendum soit utile pour une mesure coûteuse et à l'efficacité douteuse alors que les fonds devraient revenir à l'embauche de plus de personnel ou à l'entretien des locaux, le propre de la démocratie représentative c'est de savoir prendre ses responsabilités.
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Re: [Législatives mai] Débat Education et Affaires Sociales
Monsieur Finacci, la question n'est pas de savoir ce que vous pensez mais ce que le peuple frôceux veut. Il y a une nuance que vous n'aurez aucun mal à saisir. La question de l'uniforme est certes couteuse, mais la question mérite réflexion. Je vous sais farouche opposant de ce concept, c'est votre droit, néanmoins, je pense que des règles vestimentaires strictes, après une future interdiction des écoles privées, pourraient permettre une meilleure égalité entre les élèves. Ainsi nos enfants ne seraient plus jugés sur leur survêt Adidas ou leur survêt acheté en supermarché. Après tout, ils n'ont pas choisi le milieu financier dans lequel ils sont nés. Et il devrait en aller de même pour les fournitures. L'Etat devrait mettre à disposition les mêmes fournitures pour tous et interdire tout signe que j'appellerais "signe de classe". C'est cette nouvelle conception de la vie scolaire que nous aspirons à soumettre au référendum. Vous qui prônez l'égalité, je trouve paradoxal que vous soyez opposé au fait de gommer les différences de richesse à l'école. C'est pourtant le lieu où les enfants sont sensé apprendre à la fois le respect et le savoir nécessaire à leur avenir. Il ne sert à rien de s'enticher d'éléments pertubateurs à leur évolution future dans la société.
En ce qui concerne les exercices, il ne faut pas non plus généraliser. Vous avez raison sur le fait que ça peut favoriser des élèves et en défavoriser d'autres. Et s'il s'agit simplement d'enlever les devoirs maison notés, alors nous sommes d'accord. Mais ce que nous devons avant tout faire, c'est nous assurer que les notes données lors des contrôles par exemple soient justes. D'où, l'utilité d'étendre la double correction de façon générale et également de revoir dans la formation des enseignants une partie de ce qu'on leur transmet afin qu'ils puissent par le biais de corrections personnalisées donner des axes d'amélioration aux élèves. L'idée mériterait d'être creusée, non ?
En ce qui concerne les exercices, il ne faut pas non plus généraliser. Vous avez raison sur le fait que ça peut favoriser des élèves et en défavoriser d'autres. Et s'il s'agit simplement d'enlever les devoirs maison notés, alors nous sommes d'accord. Mais ce que nous devons avant tout faire, c'est nous assurer que les notes données lors des contrôles par exemple soient justes. D'où, l'utilité d'étendre la double correction de façon générale et également de revoir dans la formation des enseignants une partie de ce qu'on leur transmet afin qu'ils puissent par le biais de corrections personnalisées donner des axes d'amélioration aux élèves. L'idée mériterait d'être creusée, non ?
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Re: [Législatives mai] Débat Education et Affaires Sociales
Un référendum sur l'uniforme, et pourquoi pas un référendum sur la taille standard des préservatifs ? Nous sommes dans une démocratie représentative, les députés doivent avoir le courage de leurs convictions, si le peuple est mécontent il ne les reconduira pas, c'est aussi simple que ça. Demander un référendum pour tout et n'importe quoi, c'est le chemin ouvert pour le rétablissement de la peine de mort. Le référendum doit être réservé aux questions institutionnelles.
Concernant l'avis du PDF sur l'uniforme, je dirais simplement que les élèves pourront toujours se distinguer entre ceux qui ont une coupe de cheveux "haut de gamme" et ceux qui demandent à leur grand frère de passer un coup de tondeuse. Ils pourront toujours se distinguer selon la marque du téléphone portable qui sera sorti en douce à la récréation ou qui sera sorti ostensiblement à la sortie. Et n'oublions pas le fait que les élèves de la même classe se revoient souvent à l'extérieur, et personne ne pourra les forcer à porter un uniforme à ce moment là.
Je défends les mesures qui perfectionnent l'égalité des chances de façon réelle, une mesure qui n'a d'effets positifs qu'en théorie en raison des multiples possibilités de la contourner mais qui parait égalitaire ne figure pas parmi le type de mesures que je défends.
Concernant la double correction, l'idée est intéressante en effet.
Concernant l'avis du PDF sur l'uniforme, je dirais simplement que les élèves pourront toujours se distinguer entre ceux qui ont une coupe de cheveux "haut de gamme" et ceux qui demandent à leur grand frère de passer un coup de tondeuse. Ils pourront toujours se distinguer selon la marque du téléphone portable qui sera sorti en douce à la récréation ou qui sera sorti ostensiblement à la sortie. Et n'oublions pas le fait que les élèves de la même classe se revoient souvent à l'extérieur, et personne ne pourra les forcer à porter un uniforme à ce moment là.
Je défends les mesures qui perfectionnent l'égalité des chances de façon réelle, une mesure qui n'a d'effets positifs qu'en théorie en raison des multiples possibilités de la contourner mais qui parait égalitaire ne figure pas parmi le type de mesures que je défends.
Concernant la double correction, l'idée est intéressante en effet.
- Alessandra Gasparini
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Re: [Législatives mai] Débat Education et Affaires Sociales
Une nation qui néglige son système éducatif et de recherche est une nation qui sacrifie sa jeunesse et son avenir. Il est des domaines où tenter de faire des économies de bouts de ficelles est un crime. Pour le RSE, l'éducation et la recherche sont à ce titre des domaines prioritaires qui auront toute l'attention d'un futur gouvernement.
En effet, nous ne pouvons plus tolérer un système éducatif à plusieurs vitesses, les enfants des classes dirigeantes se reproduisant entre eux dans des écoles de l'élite, et les enfants des autres qui restent dans des établissements ghettos, où l’ascenseur social reste désespérément bloqué au sous-sol... Pour lutter contre ce phénomène nous mettrons en place une carte scolaire stricte qui assure une mixité sociale. A la place de la concurrence entre établissement pour s'attirer les meilleurs éléments, nous ferons la promotion de la coopération, bien plus efficace en matière d'enseignement et de savoir. Nous le clamons, les écoles, collèges, lycées et universités ne sont pas des entreprises. Elles ne forment pas des salariés "clé en main" pour le patronat, mais forment de nouveaux citoyens, capables d'être acteurs de leur vie sur le plan politique, comme citoyen dans l'entreprise, notamment par le biais des nouveaux droits pour les travailleurs que nous instaurerons. Les buts n'étant pas les mêmes que les entreprises, la gestion des lieux d'enseignements ne peux pas se faire de la même manière.
Nous voyons bien que les inégalités se creusent dès le plus jeune âge, dans les premiers mois d'apprentissages d'éléments aussi simple que le dessin, ou la reconnaissance des couleurs. Ainsi dès 3 ans, les écarts de niveaux sont flagrants entre les enfants pris en charges et ceux qui ne le sont pas. Nous ferons donc en sorte que l'éducation nationale assure la prise en charge pédagogique des enfants dès l'âge de 2 ans, pour mettre un frein à ses inégalité, qui seront plus facile à corriger à cet âge que plus tard, dans la suite du cursus scolaire. Ainsi cela réduira la reproduction sociale, quelque soit son milieu d'origine, tant sur le plan du capital financier, que du capital culturel.
La culture est un vecteur d'émancipation et dans la mesure où notre but est l'émancipation de tous les citoyens, il est normal que le RSE porte une attention toute particulière à cet aspect. Nous rendrons tous les musées de Frôce gratuits pour les moins de 26 ans et les retraités dans un premier temps, et nous lancerons une réflexion globale sur l'accès à la culture pour tous, car les inégalités viennent en premier lieu des conditions matérielles il est vrai, mais également des conditions culturelles.
La recherche à quand à elle trop souvent été le parent pauvre en Frôce, se faisant baladé de ministères en ministères... Nous en finirons en la rattachant une fois pour toute avec l'éducation nationale et l'enseignement supérieur. Nous jouons là l'avenir de la nation et nous ne pouvons pas laisser cela aux mains de laboratoires de recherches privés, préoccupés seulement par le profit à très court terme au détriment de la recherche fondamentale, qui profite pourtant à l'ensemble de la société, pendant des décennies, mais également de manière très concrète aux entreprises de Frôce. Si le capitalisme n'est pas capable d'avoir une vue à long terme, ce sera la communauté qui s'en chargera au moyen d'un grand pôle public de la recherche qui en donnant aux chercheurs la liberté et les moyens de leurs recherches assurera leur maintient en Frôce et la prospérité de la recherche.
Nos mesures sociales ne tiennent pas précisément dans des points de redistributions classiques. Bien sûr nous maintiendrons les aides, vitales pour tant de nos concitoyens, mais nous aurons une double action, tant sur la façon dont la production s'organise, que sur la fiscalité, qui aura pour conséquence de réduire profondément et durablement les inégalités sociales, bien plus que des mesurettes passagères. Ainsi nos actions en matières de logement, d'emploi, d'accès à la santé, à la culture de manière gratuite, de fiscalité, et précédemment développées dans les autres débats, peuvent constituer notre socle de ce qu'on appelle rapidement la "politique sociale".
En effet, nous ne pouvons plus tolérer un système éducatif à plusieurs vitesses, les enfants des classes dirigeantes se reproduisant entre eux dans des écoles de l'élite, et les enfants des autres qui restent dans des établissements ghettos, où l’ascenseur social reste désespérément bloqué au sous-sol... Pour lutter contre ce phénomène nous mettrons en place une carte scolaire stricte qui assure une mixité sociale. A la place de la concurrence entre établissement pour s'attirer les meilleurs éléments, nous ferons la promotion de la coopération, bien plus efficace en matière d'enseignement et de savoir. Nous le clamons, les écoles, collèges, lycées et universités ne sont pas des entreprises. Elles ne forment pas des salariés "clé en main" pour le patronat, mais forment de nouveaux citoyens, capables d'être acteurs de leur vie sur le plan politique, comme citoyen dans l'entreprise, notamment par le biais des nouveaux droits pour les travailleurs que nous instaurerons. Les buts n'étant pas les mêmes que les entreprises, la gestion des lieux d'enseignements ne peux pas se faire de la même manière.
Nous voyons bien que les inégalités se creusent dès le plus jeune âge, dans les premiers mois d'apprentissages d'éléments aussi simple que le dessin, ou la reconnaissance des couleurs. Ainsi dès 3 ans, les écarts de niveaux sont flagrants entre les enfants pris en charges et ceux qui ne le sont pas. Nous ferons donc en sorte que l'éducation nationale assure la prise en charge pédagogique des enfants dès l'âge de 2 ans, pour mettre un frein à ses inégalité, qui seront plus facile à corriger à cet âge que plus tard, dans la suite du cursus scolaire. Ainsi cela réduira la reproduction sociale, quelque soit son milieu d'origine, tant sur le plan du capital financier, que du capital culturel.
La culture est un vecteur d'émancipation et dans la mesure où notre but est l'émancipation de tous les citoyens, il est normal que le RSE porte une attention toute particulière à cet aspect. Nous rendrons tous les musées de Frôce gratuits pour les moins de 26 ans et les retraités dans un premier temps, et nous lancerons une réflexion globale sur l'accès à la culture pour tous, car les inégalités viennent en premier lieu des conditions matérielles il est vrai, mais également des conditions culturelles.
La recherche à quand à elle trop souvent été le parent pauvre en Frôce, se faisant baladé de ministères en ministères... Nous en finirons en la rattachant une fois pour toute avec l'éducation nationale et l'enseignement supérieur. Nous jouons là l'avenir de la nation et nous ne pouvons pas laisser cela aux mains de laboratoires de recherches privés, préoccupés seulement par le profit à très court terme au détriment de la recherche fondamentale, qui profite pourtant à l'ensemble de la société, pendant des décennies, mais également de manière très concrète aux entreprises de Frôce. Si le capitalisme n'est pas capable d'avoir une vue à long terme, ce sera la communauté qui s'en chargera au moyen d'un grand pôle public de la recherche qui en donnant aux chercheurs la liberté et les moyens de leurs recherches assurera leur maintient en Frôce et la prospérité de la recherche.
Nos mesures sociales ne tiennent pas précisément dans des points de redistributions classiques. Bien sûr nous maintiendrons les aides, vitales pour tant de nos concitoyens, mais nous aurons une double action, tant sur la façon dont la production s'organise, que sur la fiscalité, qui aura pour conséquence de réduire profondément et durablement les inégalités sociales, bien plus que des mesurettes passagères. Ainsi nos actions en matières de logement, d'emploi, d'accès à la santé, à la culture de manière gratuite, de fiscalité, et précédemment développées dans les autres débats, peuvent constituer notre socle de ce qu'on appelle rapidement la "politique sociale".
Maire de Sainte-Marie-les-Bains
Vice-Présidente et Porte Parole du NPS
Ancienne Représentante Parlementaire
Ancienne Ministre d'Etat, de la Défense et des Affaires Etrangères
Ancienne Ministre du Travail, de l'Industrie, de la Solidarité, chargée des affaires familiales
Vice-Présidente et Porte Parole du NPS
Ancienne Représentante Parlementaire
Ancienne Ministre d'Etat, de la Défense et des Affaires Etrangères
Ancienne Ministre du Travail, de l'Industrie, de la Solidarité, chargée des affaires familiales
Re: [Législatives mai] Débat Education et Affaires Sociales
votre rhétorique est un peu bizarre . oui oui l'égalité dans l’école il faut régler ce problème , on dit non à l'uniforme , mais on ne propose rien de sérieux . l'APC veut prendre le taureau par les cornes et répondre à cette question car le principal c'est l'exemplarité si l'APC ne peut pas imposer l'uniforme partout elle doit le faire à l’école de la république pour apprendre auxGavroche Finacci a écrit : Concernant l'avis du PDF sur l'uniforme, je dirais simplement que les élèves pourront toujours se distinguer entre ceux qui ont une coupe de cheveux "haut de gamme" et ceux qui demandent à leur grand frère de passer un coup de tondeuse. Ils pourront toujours se distinguer selon la marque du téléphone portable qui sera sorti en douce à la récréation ou qui sera sorti ostensiblement à la sortie. Et n'oublions pas le fait que les élèves de la même classe se revoient souvent à l'extérieur, et personne ne pourra les forcer à porter un uniforme à ce moment là.
Je défends les mesures qui perfectionnent l'égalité des chances de façon réelle, une mesure qui n'a d'effets positifs qu'en théorie en raison des multiples possibilités de la contourner mais qui parait égalitaire ne figure pas parmi le type de mesures que je défends.
Concernant la double correction, l'idée est intéressante en effet.
enfants du pays les valeurs d'égalité qui sont les nôtres .
et pour votre discours sur la coiffure , le téléphone vous l'avez compris nous avons ni vous ni nous la formule de l'égalité complète et totale mais nous agissons pour l'égalité la ou nous est possible d'agir , agir à l’école permettra d'inculquer les valeurs d'égalité
- Asuka Finacci
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Re: [Législatives mai] Débat Education et Affaires Sociales
HRP / Merci de ne pas utiliser les balises quote durant un débat \ HRP
Asuka Finacci AsatoPrésident de la Cour SuprêmeAncien Président de la RépubliqueAncien Premier ministre