[Débat] Salaire Minimum de Croissance (SMC)

[Victoria Lopez de Ayala]

Projet de loi sur le Salaire Minimum de Croissance (SMC)

Il convient tout d’abord de faire un tour d’Europe des salaires minimums, en sachant que, 1 pz = 1€, les données sont de 2011 et elles sont exprimées en euros :

- Espagne : 748€/mois (PIB/hab : 22 000 €)
- France : 1 365€/mois (PIB/hab : 26 000 €)
- Slovénie : 748€/mois (PIB/hab : 22 000 €)

La Frôce dispose d’un PIB/hab de 20 000 €.

Durée légale de travail (en 2011) :
- Espagne : 38,5 heures par semaine
- France : 35 heures par semaine
- Slovénie : 40 heures par semaine

La Frôce dispose d’une durée légale de travail fixé à 39 heures par semaine.

Ce qui nous donne un taux brut minimal par heure (en 2011) de :
- Espagne : 4,85 €/h
- France : 9,75 €/h
- Slovénie : 4,67 €/h

En 1995, la France disposait d’un PIB/hab équivalant à 20 000 €, soit le même que la Frôce actuellement, et le salaire minimum était alors de 5,60 €/h.

Je laisse le débat s’ouvrir et j’attends vos participations. Personne ici, et encore moins le gouvernement ne s’oppose au progrès social. Il n’est pas question de réduire les acquis sociaux, seulement d’y parvenir en prenant soin de s’adapter à l’économie réelle de notre pays, et non en s’appuyant sur des fantasmes idéologiques vieux comme le monde. Mais comprenez bien que 7 ou 8 pluzins pour un pays qui a notre situation économique, ça n’est pas possible. M. Valbonesi, alors député à l’époque expliquait ici même que la Frôce arriverait à un tel stade d’ici une dizaine années si nous connaissons une croissance économique forte et une inflation modérée, c'est effectivement ce qui se passera, mais il faut laisser le temps au temps, et cela, les travailleurs le savent. Si je lance ce débat, c'est également pour réformer le mode de révision de ce futur salaire minimum qui n'est absolument pas en adéquation avec les réalités économiques de notre pays : l'instauration du SGH à un niveau incontrôlable a fait explosé l'inflation à 16% et cela devrait perdurer tant que le taux horaire brut ne redevient pas à un niveau crédible pour notre pays et économiquement supportable pour nos entreprises.

[Mackenzie Calloway]

Madame la ministre,

Entre réalité economique et volonté politique, il y a une différence ... Je suis profondément attachée à garder notre salaire minium pour les froceux. Même si cela est couteux, idéologiquement, un gouvernement qui baisse le cout du travail, n'est pas vraiment populaire et cela veut dire simplement que vous privilégiez la facilité au courage politique !

Il doit bien avoir d'autres moyens avant de diminuer le salaire minium !

[Paul Rogin]

S'il y a d'autres proposition que la baisse du cout du travail j'attends que vous me les citiez Mme. Allen!

[Mackenzie Calloway]

Justement, j'attends dans les heures avenir que le conseil économique et social me fasse parvenir une séries de chiffres. Et ceux afin que je puisse faire des proposition concrète mais dans l'absence de chiffres cohérent, il serais inconscient de ma part de faire des propositions !

[Paul Rogin]

C'est entendu, je les attends avec impatience!

/HRP/ Flemme de te répondre pour la TVA mais c'est ok /HRP/

[Mackenzie Calloway]

Mais je suis déjà profondément contre la baisse du coût du travail, donc imaginez déjà les pistes sur lequel, je peu m'appuyer ! je suis sur que vous avez déjà une petite idée ou j'irais cherche cet argent !!

De plus, la prise en compte des pays Européen de ne tien pas, la Froce étant indépendante !

[Mackenzie Calloway]

Madame la Ministre, Monsieur Rogin,

Je viens d'avoir une première ébauche des chiffres demander, en effet avec une croissance de -0.1% en début 2012, je comprend vos réticences à garder le SMC. Mais plus que jamais face à une crise international, il faut gardez ce SMC 7.5 Plz brut, protéger nos citoyens est la première priorité.

c'est pourquoi nous avons des moyens pour financer le SMC :

* Création d'une TIPP :

On pourrais faire la création de la Tipp contrôlé et payable que par les industrielles puis-que selon le Conseil économique et social, la tipp n'existerai pas en frôce. Cela veut simplement dire que tout les usines international se gaffe en frôce, alors que les autre pays Européen subisse des augmentations disproportionner !

Exemple si on se fixe à la situation de l’Espagne en 2012 :

Sp95 : 1.440€ soit 1.440Plz
Sp98 1.560€ soit 1.560Plz
Diesel 1.380€ soit 1.380 Plz

je propose la tipp suivante :

100% du prix = prix in changer à la pompe, le prix sera bloquer jusqu’à la mise en place de la loi
33% marge aux raffineries
33% de marge au commerçants ( pompiste etcc)
33% de taxe de l’État

Je suis actuellement entrain de demander les ressources supplémentaire à la création de la Tipp en frôce !

Sources : FIA - Dernière mise à jour : 13/03/2012 http://www.automobile-club.org/se-depla ... rants.html

[Vincent Valbonesi]

Vous mélangez beaucoup de chose Madame Allen, un salaire minimum n’est pas financé, ceci est du n’importe quoi. Il n’est pas question que l’Etat prenne sur ses propres deniers en charge le paiement d’une potentielle différence entre le salaire actuel d’un salarié et le salaire minimum qui sera mis en place par le biais du salaire minimum de croissance (SMC). Par conséquent, une quelconque TIPP n’a aucun sens ici.

Pour en revenir au taux horaire que j’envisage, celui-ci serait de 5,0 pluzins par heure.

Ce chiffre constitue une base solide pour avancer ensuite progressivement au fur et à mesure de notre développement. Une baisse prolifique et miraculeuse presque de l’inflation et du niveau global des prix sera assurée. Les mécanismes de l’économie l’imposent : soit nous mettons un seuil logique en cohérence avec notre pays, soit nous acceptons 16% d’inflation par an pendant 10 ans. Et dans ce cas, l’Allemagne des années 30 ne sera pas loin de nous.

[Mackenzie Calloway]

Monsieur le premier ministre,

Je fait des propositions, je participe à vos débats afin de donner un avis citoyen.

Mais je ne suis pas plus bette qu'une autre monsieur le premier ministres, tout le monde sait que pour lutter efficacement pour lutter contre l'inflation l'État doit :

- Lutter contre Inégalité sociale : L'inflation ne va pas toucher les ménages de la même façon. *Les classes aisées dirigent généralement leur épargne vers des placements plutôt risqués donc ... rémunérateurs.
*Les classes moyennes quant à elles, quand elles pourront placer leur épargne, elles le feront sur des placements peu risqués (exemple : Livret d’épargne) donc, peu rémunérateurs.

De plus, les pouvoirs en terme de négociation de salaire sont plus importants chez les classes aisées. Ce pouvoir est très rigide, voir immobile chez les classes moyennes.
En période d'inflation, les classes aisées seront mieux couvertes et donc moins affectées par la hausse des prix.

- Les taux d'intérêt augmentent : Les préteurs de capitaux (ex : banques) vont se protéger de l'inflation en augmentant leurs taux. En période d'inflation, la garantie de remboursement est moins élevée. Ceci explique cette réaction par la hausse des taux. Le coût de l'emprunt augmentera donc, et les liquidités seront plus difficiles à obtenir.

- Consommation réduite : Avec des taux d'intérêts élevés, l'emprunt est cher, mais les placements plus attractifs ! Les ménages vont donc réduire leur consommation, au profit de leur épargne. Sauf que l'épargne, c'est de l'argent qui "dort". La baisse de la consommation, véritable pilier de croissance, aura des conséquences néfastes sur l'activité nationale.

- Investissement réduits : Le schéma n'est pas plus positif pour les entreprises. Le coût du crédit étant devenu trop élevé, les entreprises vont réduire leurs investissements (car pour investir bien souvent, il faut emprunter). Or, l'investissement, tout comme la consommation, est une des composantes principale de la croissance.

- Exportations réduites : Enfin, dans la suite, la hausse des taux d'intérêts aura pour effet d'augmenter la valeur de la monnaie. Les placements, en vue du niveau élevé des taux, seront attractifs. Cela attirera les capitaux étrangers (qui vont là où le capital est le mieux rémunéré). Une monnaie recherché, sollicité, prend de la valeur. Or, avec une monnaie forte, on baisse le niveau des exportations. Les pays désireux d'acheter nos produits, devront payer plus cher qu'en temps normal.

Alors j'ai le droit de m’inquiétai des méfaits de la baisse des salaires Frôce, A chaque gouvernement à ces priorités !

[Victoria Lopez de Ayala]

Ces propos ne sont pas de vous, le gouvernement ne les prendra pas en compte.