L'émission débute sous les applaudissements du public.
Mesdames, Messieurs, bonsoir et merci d'être toujours plus nombreux à suive notre émission. Ce soir, l'émission courte sera consacrée à la campagne électorale.
Ouverture du bal.....
Alors que la campagne débute, pour le moment aucun meeting officiel.
Trois candidats se présentent donc devant les Frôceux, pour la gauche et donc la succession de monsieur de St Imberb, Gegorge Montgomery, pour la droite, François Bertrand et le candidat caméléon qui se veut ni de droite, ni de gauche, au point de risquer d'être nulle part, Valentino Borgia.
Ceux qui ne veulent pas danser.....
Pour le moment, silence radio du côté des appareils politiques. Ceux dont sont issus les candidats ne s'expriment peu ou pas, mais surtout les autres partis restent complètement silencieux. Cette situation est totalement surprenante au vu de la modification constitutionnelle. En effet, comment imaginer un seul instant que ces partis ont une vision de la Frôce s'ils sont incapables de prendre position pour un des trois candidats en présence.
Certains pourraient me dire que venant du centre dirigeant le gouvernement, cela est normal pour ne pas se fâcher avec le futur locataire d'Anthelme. Mais dire ceci est donc considérer que notre Premier Ministre pour ne citer que lui préfère donc sa carrière politique à l'avenir de la Frôce. On peut attendre de lui un choix clair et qu'il se prononce sur ce sujet, plutôt que sur des émissions télévisées Frôceuse.
Un autre silence est pesant, celui du président sortant. Son cœur balancerait entre deux candidatures, son long silence attestant d'une hésitation certaine.
Que le combat commence....
Pendant ce temps-là, les débats ont débuté.
Je ne reviendrai pas sur les propositions même s'il est à saluer que l'on rentre, enfin oserais-je dire, dans le concret. La seule chose que l'on peut souligner est la double volonté. Tout d'abord, celle de monsieur Borgia, de vouloir être d'accord avec ses concurrents pour montrer après sa différence. Cette méthode permettra-t-elle à monsieur Borgia de ne pas être le figurant de cette élection ? Ceci est très loin d'être sûr.
L'autre volonté est celle de lissage de monsieur Bertrand. Soucieux de montrer qu'il n'est pas le candidat d'un camp, prenant au passage les électeurs Frôceux pour des lapins de trois semaines, il en arrive à défendre des propositions surprenantes dans sa bouche et qui risquent de froisser tout un pan de l'électorat qui lui était acquis, qui pourrait être tenté de voter blanc ou d'aller à la pêche. En effet, se cacher derrière le rassemblement sans assumer ses convictions n'a jamais porté chance.
Monsieur Montgomery pour sa part se montre assez mordant, au point de réussir à faire sortir de leurs gonds ses adversaires. Prenons le cas du débat sur la diplomatie qui s'est transformé en débat entre monsieur Montgomery et monsieur Bertrand, débat portant sur leur histoire politique, et débordant aisément du sujet. D'ailleurs, ce débat s'est transformé en tribunal où le procureur Montgomery rappelle et évoque le passé politique de François Bertrand, assez combatif mais mal à l'aise dans ses justifications.
Le mérite de ces débats est de montrer la combativité des postulants à Anthelme.
Mesdames, Messieurs, bonsoir et merci d'être toujours plus nombreux à suive notre émission. Ce soir, l'émission courte sera consacrée à la campagne électorale.
Ouverture du bal.....
Alors que la campagne débute, pour le moment aucun meeting officiel.
Trois candidats se présentent donc devant les Frôceux, pour la gauche et donc la succession de monsieur de St Imberb, Gegorge Montgomery, pour la droite, François Bertrand et le candidat caméléon qui se veut ni de droite, ni de gauche, au point de risquer d'être nulle part, Valentino Borgia.
Ceux qui ne veulent pas danser.....
Pour le moment, silence radio du côté des appareils politiques. Ceux dont sont issus les candidats ne s'expriment peu ou pas, mais surtout les autres partis restent complètement silencieux. Cette situation est totalement surprenante au vu de la modification constitutionnelle. En effet, comment imaginer un seul instant que ces partis ont une vision de la Frôce s'ils sont incapables de prendre position pour un des trois candidats en présence.
Certains pourraient me dire que venant du centre dirigeant le gouvernement, cela est normal pour ne pas se fâcher avec le futur locataire d'Anthelme. Mais dire ceci est donc considérer que notre Premier Ministre pour ne citer que lui préfère donc sa carrière politique à l'avenir de la Frôce. On peut attendre de lui un choix clair et qu'il se prononce sur ce sujet, plutôt que sur des émissions télévisées Frôceuse.
Un autre silence est pesant, celui du président sortant. Son cœur balancerait entre deux candidatures, son long silence attestant d'une hésitation certaine.
Que le combat commence....
Pendant ce temps-là, les débats ont débuté.
Je ne reviendrai pas sur les propositions même s'il est à saluer que l'on rentre, enfin oserais-je dire, dans le concret. La seule chose que l'on peut souligner est la double volonté. Tout d'abord, celle de monsieur Borgia, de vouloir être d'accord avec ses concurrents pour montrer après sa différence. Cette méthode permettra-t-elle à monsieur Borgia de ne pas être le figurant de cette élection ? Ceci est très loin d'être sûr.
L'autre volonté est celle de lissage de monsieur Bertrand. Soucieux de montrer qu'il n'est pas le candidat d'un camp, prenant au passage les électeurs Frôceux pour des lapins de trois semaines, il en arrive à défendre des propositions surprenantes dans sa bouche et qui risquent de froisser tout un pan de l'électorat qui lui était acquis, qui pourrait être tenté de voter blanc ou d'aller à la pêche. En effet, se cacher derrière le rassemblement sans assumer ses convictions n'a jamais porté chance.
Monsieur Montgomery pour sa part se montre assez mordant, au point de réussir à faire sortir de leurs gonds ses adversaires. Prenons le cas du débat sur la diplomatie qui s'est transformé en débat entre monsieur Montgomery et monsieur Bertrand, débat portant sur leur histoire politique, et débordant aisément du sujet. D'ailleurs, ce débat s'est transformé en tribunal où le procureur Montgomery rappelle et évoque le passé politique de François Bertrand, assez combatif mais mal à l'aise dans ses justifications.
Le mérite de ces débats est de montrer la combativité des postulants à Anthelme.