Sans Concessions - Caroline Askalovitch

Verrouillé
Avatar du membre
Raphael Belgard
Messages : 67
Enregistré le : 10 juin 2013, 09:43
Type de compte : Principal

Sans Concessions - Caroline Askalovitch

Message par Raphael Belgard »

jeu.jpg
jeu.jpg (3.65 Kio) Vu 1240 fois
La défense de l'environnement est un combat qui me passionne et qui a occupé la majeur partie de ma vie, je me suis engagé pour protéger notre planète dans la sphère juridique puis en réalisant des opérations au sein d'associations
Caroline Askalovitch, Ministre de l'Education Nationale
Madame le Ministre, soyez la bienvenue. Vous connaissez le principe de l'émission, des questions sans concession. Un verre et une bouteille d'eau est à votre disposition sous la tablette

Comme de plus en plus de monde, je regarde votre émission. Merci de m'avoir invité à répondre à vos questions Monsieur Belgard.

Madame le ministre, ce n'est pas vous faire insulte que de dire que vous êtes peu connu, aussi présentez-vous si vous le voulez bien...

Peu connue ? Voyons, Monsieur Belgard, ne me faites pas croire que vous ne vous intéressez pas à la vie privée de nos dirigeants. Je veux bien que le beau pays qu'est la Frôce soit attaché à la barrière entre vie privée et vie publique mais du fait de l'alliance que je porte, on va dire que j'ai une certaine renommée à l'inverse d'autres nouvelles têtes dans le paysage politique. Mais c'est vrai que depuis que mon mari a quitté la présidence de la République, du temps s'est écoulé et on a pu m'oublier. D'un côté, c'est plutôt bien pour mon avenir politique si une partie des gens ne m'assimile pas comme la simple "femme d'Askalovitch", ou l'ancienne première Dame, c'est un peu réducteur. Bref, je suis canadienne, née à Montréal, j'ai étudié le droit et me suis spécialisée à Vancouver dans le droit environnemental. Après avoir travaillé quelques années au Canada, je suis partie aux États-Unis où j'ai rencontré mon mari, à l'époque journaliste. Par la suite, avec des associés, nous avons monté notre cabinet d'avocats - Ming, Askalovitch & Associates - qui se consacre exclusivement aux affaires touchant à l'environnement en Amérique du Nord. Enfin, quand mon mari a décidé de venir faire de la politique dans son pays d'origine, la Frôce, je l'ai suivi tout en gardant un œil sur le cabinet que j'ai fondé. C'est à ce moment-là que j'ai obtenu la nationalité frôceuse. A Anthelme, j'ai continué mon engagement pour l'environnement par le biais de diverses fondations. Comme vous le voyez, je suis assez portée sur la question. Cependant, je ne voulais pas m'engager en politique tant que la carrière de mon mari suivait son cours car nous n'avons pas forcément les mêmes idées et il aurait été difficile de gérer deux engagements distincts en termes d'image publique, mais aussi au niveau privé. Maintenant qu'il est retraité, c'est à mon tour de faire bouger les choses.

Madame le ministre, soyons clairs. C'est votre personne qui m'intéresse aujourd'hui. Je ne crois pas qu'une épouse n'existe que par le prisme de son mari. Madame le Ministre, depuis quand cette envie de politique?

Cette envie est présente depuis longtemps chez moi mais elle s'incarne dans un thème qui m'est cher. La défense de l'environnement est un combat qui me passionne et qui a occupé la majeur partie de ma vie, je me suis engagé pour protéger notre planète dans la sphère juridique puis en réalisant des opérations au sein d'associations. Je me suis donc naturellement tourné vers la politique pour réellement faire avancer les choses, c'est une suite logique. De plus, j'avoue avoir pris goût à la politique en voyant François progressé, je participais activement à son action politique et j'ai attrapé le virus si je puis dire (rires).

Vous nous parlez depuis tout à l'heure d'environnement, aussi, je me mets à chercher dans mes fiches et me voilà rassuré. Vous n'êtes pas ministre de l'environnement.....Pourquoi au vu de votre attachement à cette thématique?

Parfois, vous embrassez une thématique, vous sentez que vous pourriez dédier votre vie à cela. Je ne sais pas si on peut l'expliquer rationnellement, j'imagine que c'est le cas pour tous ceux qui vivent leur passion à 300%. Mon entrée politique est consécutive à cette envie de s'orienter vers une société de progrès en accord avec la Terre que les peuples partagent. Si je suis, aujourd'hui, à la tête du ministère de l’Éducation Nationale, c'est parce qu'il me l'a été proposé par Monsieur le Premier Ministre et je n'ai pas pour habitude de faire la fine bouche quand il s'agit de se mettre au service de notre pays. L'éducation de nos enfants, ainsi que la recherche, sont des projets d'avenir comme peut l'être l'environnement. L'écologie que je conçois, ce n'est pas uniquement l'objet d'une poignée d'éoliennes à mettre sur pieds, c'est une réelle vision de notre société. Une vraie politique durable en soit. L'école en est l'incarnation parfaite puisque ce que nous pouvons mettre en place à l'heure actuelle aura des répercussions sur les générations futures. La recherche est aussi une façon de se projeter dans le futur. Je défend une société en mouvement qui tend vers le progrès des libertés en ayant toujours en tête l'avenir, ce qui est parfaitement en adéquation avec les fonctions auxquelles j'ai été nommée.

Êtes-vous en train de me dire que vous allez utiliser votre fonction pour mettre en place vos idées sur l'environnement?

Non, je ne vois pas du tout où j'ai pu sous-entendre cela. Je vous explique simplement que si je suis entrée en politique, ce n'est pas par soucis d'argent ou de pouvoir mais simplement pour développer des idées écologiques. Mais, vous le concevez, la politique d'un pays, ce n'est pas uniquement s'occuper de l'environnement même si c'est primordial: il y a aussi l'économie, la sécurité, la justice, l'éducation, le sport... Je vais répéter ce que je viens de dire. Me souciant de la politique environnementale, je vois la politique comme des enjeux pour notre avenir, c'est important d'avoir à l'esprit un projet à long terme. Une politique éducative fonctionne exactement sur une logique similaire. Pour en revenir à votre suggestion, j'ai bien été nommée au ministère de l’Éducation Nationale, de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche et je m'appliquerai à agir dans ce domaine. Monsieur McGregor est à l'Environnement, je ne veux en aucun cas lui couper l'herbe sous le pied, tout comme lui qui s'est dédié à l’Éducation Nationale un long moment ne vient pas empiéter sur mes prérogatives. Par contre, on peut très bien imaginer un projet commun, je lui en ai déjà parlé, nous n'avons pas encore matérialisé la chose mais il me paraît intéressant de lier nos deux missions: la recherche dans le domaine environnemental est à développer, tout comme les filières universitaires pour orienter nos jeunes vers de l'économie verte ou encore faire de la prévention auprès des enfants. Les idées sont multiples. Mais je ne coopérerai pas exclusivement avec ce ministère, Charles de la Tour et moi-même projetons, par exemple, de développer nos universités sur la scène internationale. Je sais où je suis et à quoi me consacrer. L'écologie a été pour moi une porte d'entrée en politique. C'est la même chose pour un médecin qui par nature est spécialisé dans les questions de santé, et entre en politique dans le but de changer nos hôpitaux, pourtant un homme politique médecin de formation peut être un très bon ministre de l'Intérieur. Mes idées dépassent le simple cadre écologique.

Donc vous n’êtes pas venue à la politique pour le pouvoir mais vous acceptez d’être ministre...Madame le Ministre, avant de parler de vos projets, comment prenez-vous l'attaque de monsieur Borgia, homme dont les idées sont assez proches des vôtres?

Oui, je ne suis pas venue à la politique par soif de pouvoir et folie des grandeurs, je suis entrée en politique via un sujet qui me tient à cœur et qui a occupé ma vie professionnelle: je pense que c'est plutôt louable.
A propos de Monsieur Borgia, j'ai vu qu'il s'est plaint de voir notre école sur-organisée. Je ne comprends pas ses attaques sur le fond, dès lors qu'on fait le choix d'une école publique, il faut bien des textes pour la réglementer un minimum, c'est l'objectif du code de l’Éducation que j'ai proposé et qui a été validé par le conseil des ministres. J'imagine que pour avoir une telle horreur de la compilation de quelques textes concernant l’Éducation Nationale, Monsieur Borgia doit être un partisan d'une éducation privatisée. Je me considère comme une libérale raisonnée et je suis certaine que nous pouvons nous retrouver avec cet homme mais je pense que l’État doit intervenir dans le domaine éducatif, la sécurité et la justice. Ce sont ce qui doivent être les missions de l’état, selon mon point de vue. L'ADL place le curseur plus loin dans la non-intervention étatique, en tout cas je ne les suis pas dans cette voie là.

Cette réponse est claire et franche, cela est assez rare dans le monde politique, je tenais à saluer cette franchise.

Madame Askalovitch, parlons concret: quels projets allez-vous porter durant cette mandature?

Je souhaite travailler dans les trois domaines dont mon ministère est garants. Tout d'abord, à propos de l’Éducation Nationale, j'aimerais revoir un peu la formation des enseignants afin de leur donner un bagage plus important lorsqu'ils vont se présenter seul face à une classe. C'est un métier d'une importance cruciale et il y a énormément de difficultés autour de cette profession. D'ailleurs, je souhaite revenir sur la loi organique de révision générale des politiques publiques avec ma collègue Madame Da Silva, cette loi fait clairement du mal à la qualité de notre enseignement. Comme je vous l'ai expliqué, je conçois l’Éducation Nationale comme une mission prioritaire de l’État, or, ce n'est pas le sens de ce texte. En ce qui concerne l'Enseignement supérieur, mon objectif est de dynamiser nos universités, les faire émerger sur la scène internationale via l'adhésion au programme Erasmus et la création de partenariats avec des établissements à l'étranger. Enfin, je m'attacherai à rapprocher la recherche des entreprises, il faut que notre recherche permette de nous démarquer dans le cadre de la mondialisation, notre économie doit bénéficier au maximum des avancés scientifiques.

Que pensez-vous de la hausse de la rémunération des enseignants?

Cela peut être un levier pour attirer les étudiants vers ce métier. Déjà qu'il s'agit d'un métier compliqué, alors imaginez si la rémunération est faible. C'est une des options pour revaloriser la profession. Nous étudierons la question, cela n'est pas uniquement de mon ressort puisqu'il faut que nous obtenons le financement nécessaire à une augmentation de salaire

Soutenez-vous cette proposition?

Dans la mesure du possible, oui. Les enseignants méritent une rémunération en adéquation avec la difficulté de leur travail et leur parcours universitaire qui est souvent assez long.

Pourquoi ne pas l'avoir proposé, c'est vous la ministre....

Je ne suis ministre que depuis très peu de temps, permettez moi de faire mon travail consciencieusement. Je vous ai tout simplement expliqué que j'y suis favorable en théorie mais je ne vois pas ce qui m'empêche d'analyser en profondeur le sujet, en discuter avec les syndicats ou encore voire si les finances de notre pays peuvent le supporter. Il n'y a pas que mon ressenti personnel qui détermine l'entreprise ou non d'une mesure, d'autres paramètres sont en jeu. Elle a été inscrite dans le programme du gouvernement, il est logique que je m'y intéresse. J'inclurais, peut-être, ce débat dans le cadre de la formation des enseignants. Cependant, ce n'est pas ma priorité absolue, les objectifs je souhaite atteindre sont d'abord ceux que j'ai développé précédemment.

Vous avez donc été dépassé par monsieur Bertrand.....

C'est-à-dire ? Je ne comprends pas votre allusion.

Ce n'est pas du tout une allusion, mais une affirmation. Vous me dites que l'augmentation des enseignants est légitime, mais que la réflexion doit être plus globale. Mais est votée par l'Assemblée Nationale une hausse de salaire pour les enseignants, votée même par les députés de la majorité. Donc vous avez été dépassé par l'opposition sur ce sujet, non?

Ah ! Je ne voyais pas où vous voulez en venir, cette revalorisation salariale était actée dans mon esprit lorsque je vous ai répondu tout à l'heure, je pensais à une prochaine hausse des salaires. Mais j'aimerais revenir sur cette initiative des députés, je trouve clairement dommage d'avoir été exclue de ces discussions, en tant que ministre de l’Éducation Nationale, aucun contact n'a été établi entre ces parlementaires et mon cabinet. A moins que Monsieur Bertrand se considère toujours comme ministre de l’Éducation Nationale, j'aurais préféré qu'il vienne en discuter. J'ai été peut-être trop naïve en attendant un signe de sa part. Il aurait été plus intéressant de fonctionner comme il est fait pour le code diplomatique concernant lequel Monsieur Bertrand a rebroussé chemin, après avoir déposé un texte, en choisissant de collaborer avec le ministre des affaires étrangères. Enfin, je ne vais pas sermonner un député qui essaye de faire son travail. Et puis sur le fond, on est d'accord, n'est-ce pas ce qu'il y a de primordial ?

Sûrement, sûrement...Quel sera votre prochain projet concrètement?

Dans les prochains jours, je compte organiser une table ronde avec des représentants d'universités pour faire un point sur la situation de notre enseignement supérieur. J'aimerais dans la foulée avoir avancé sur le projet d'adhésion au programme Erasmus avec Monsieur de la Tour. Parallèlement, nous allons abroger la loi sur la réforme générale des politiques publiques, du moins nous annulerons les suppressions de postes dans l'enseignement.

Très bien. Augmenter le salaire des enseignants, arrêter les suppressions de postes, seriez-vous de gauche madame Askalovitch?

Je ne crois pas que ces deux mesures soient de profonds marqueurs idéologiques, réduire mes convictions au seul domaine de l'éducation serait léger. Monsieur Belgard, je ne suis pas de gauche et je pense que c'est clair dans l'esprit de celui qui a composé le gouvernement. Disons qu'à ma place actuelle, je suis peut-être davantage enclin avec l'aile gauche de l'équipe gouvernementale que si j'avais été nommé à un autre ministère. C'est donc plutôt habile de la part de Thomas François.

Quelles seront les limites idéologiques à votre participation à ce gouvernement d'union?

Je suis une femme de compromis mais évidement, il y a des limites à ma participation à un gouvernement. Je ne me vois pas prendre part à un gouvernement bolchévik qui enchaînerait les restrictions de libertés économiques ou encore dans une équipe qui pencherait vers un conservatisme rigoriste en matière sociétale. Sans tomber dans ces extrêmes, oui des choses peuvent me heurter dans un gouvernement d'union. Cependant, il faut comprendre que j'ai accepté d'entrer au gouvernement en tant qu'indépendante de tout appareil partisan, c'est pourquoi j'ai, peut-être, moins de légitimité à imposer ma façon de voir les choses dans les domaines qui ne sont pas sous ma responsabilité. Sachez bien que si, un jour, je passe plus de temps à m'opposer aux positions de mes collègues qu'à les soutenir, je quitterais immédiatement ma fonction. Mais j'ai eu l'assurance de faire partie d'un gouvernement relativement peu éloigné de mes idées au moment de ma nomination.

Vous êtes bien membre d'un parti?

Non, jusqu'à preuve du contraire.

Pourtant on ne cesse d'annoncer, en off je le reconnais, votre entrée imminente à l'ARC...

C'est complètement faux, je n'ai jamais fait part à quiconque de ce genre de désir, c'est pure fantaisie.

Vous contredisez donc les rumeurs, très bien. Et celle qui explique que votre mari aurait fait jouer toutes ses influences pour que vous ayez ce poste?

Je ne le pense pas. J'étais en contact avec le Premier Ministre avant les élections législatives et, à la suite de diverses rencontres, il m'a proposé d'entrée au gouvernement. François Askalovitch n'est pas intervenu là-dedans. Après, si les gens veulent y croire, je n'y peux rien.

Vous apportez la réponse, merci. Dites-moi, vous qui êtes membre du gouvernement, ça a l'air assez tendu chez vous en ce moment, non?

Globalement, cela se passe bien. Si vous voulez me faire parler de Benjamin McGregor, je ne le ferais pas. Ce n'est pas mon rôle de juger l'attitude des autres ministres, surtout lorsqu'il s'agit d'un homme d'expérience comme il l'est. La décision concernant sa présence ou non, si elle doit être posée, est une affaire entre le Premier Ministre et lui, un point c'est tout.

Donc aucun avis?

J'ai pour principe de défendre la cohésion de l'équipe gouvernementale à laquelle je participe, c'est pour cela que je ne commente pas aux micros ce genre de choses.

Ne pas commenter est déjà s'exprimer....On dit que vous auriez préféré travailler avec l'UDR qu'avec le NPS, est-ce vrai?

Sur un plan programmatique en se basant sur les différentes productions pour la dernière élection législative, on peut dire que je suis plus proche de l'UDR que du NPS, surtout si l'on parle du défunt MSE, à quoi bon cacher cette évidence ? Je ne vois pas exactement le problème. Vous aurez tout de même remarqué que je ne fais pas partie d'un gouvernement NPS.

Oui c'est juste, mais disons que le NPS influence tout de même fortement la politique gouvernementale.....

Pas plus que l'ARC et le RSLP ou encore les indépendants comme Monsieur McGregor et moi-même, dans le cas contraire, je ne serai plus ministre depuis bien longtemps.

Mouais, pourquoi pas....Madame Askalovitch, une dernière question, parlez-nous de votre avenir politique....

Aujourd'hui, mon avenir s'inscrit au sein du gouvernement. Les prochaines échéances électorales sont encore loin, j'ai donc relativement de temps pour réfléchir à ce que je vais faire par la suite. Je ne suis pas là pour faire un one shot et puis repartir, j'imagine que vous allez continuer d'entendre parler de moi.

Je ne veux rien moi vous savez. Mais je prends donc date. Je vous remercie pour vos réponses madame le Ministre.

Ce fut avec plaisir, bonne continuation dans vos activités médiatiques !
Avatar du membre
Thomas François
Représentant Parlementaire
Messages : 966
Enregistré le : 28 nov. 2010, 10:22
Type de compte : Principal
Localisation : Tosla Les Bains

Re: Sans Concessions - Caroline Askalovitch

Message par Thomas François »

Pas une seule remarque n'a été faite sur le fait que l'émission eu été tournée il y à plus d'une semaine et que depuis, le gouvernement à changé. C'est bien dommage.
Premier Ministre
Maire de Tosla-Les-Bains

Membre co-fondateur de l'ARC - Médaillé culturel de la République
Avatar du membre
Caroline Askalovitch
Non inscrit sur les listes électorales
Messages : 58
Enregistré le : 09 juin 2013, 17:55
Type de compte : PNJ (secondaire)
Localisation : Aspen

Re: Sans Concessions - Caroline Askalovitch

Message par Caroline Askalovitch »

HRP/ L'interview s'est clause le 28 juin et elle avait démarré le 22, le contexte n'était pas exactement celui du 9 juillet
Avatar du membre
Thomas François
Représentant Parlementaire
Messages : 966
Enregistré le : 28 nov. 2010, 10:22
Type de compte : Principal
Localisation : Tosla Les Bains

Re: Sans Concessions - Caroline Askalovitch

Message par Thomas François »

Comme tout bon journaliste, il aurait pût indiquer juste avant l'interview "Propos recueillis avant le remaniement gouvernemental" puisque qu'il la diffuse presque deux semaines plus tard.
Premier Ministre
Maire de Tosla-Les-Bains

Membre co-fondateur de l'ARC - Médaillé culturel de la République
Avatar du membre
Raphael Belgard
Messages : 67
Enregistré le : 10 juin 2013, 09:43
Type de compte : Principal

Re: Sans Concessions - Caroline Askalovitch

Message par Raphael Belgard »

Le bon journaliste fait ce qu'il veut, si vous n'êtes pas content, ne regardez pas cette émission. J'ose espérer qu'un Premier Ministre en exercice ait mieux à faire.
Verrouillé

Retourner vers « TCF »