Merci, et bonjour à tous, merci d'etre toujours aussi nombreux à nous suivre:
Serial killer
C'est ce que l'on pourrait penser de notre gouvernement. Après le départ du ministre de l'Intérieur, voilà que le ministre des Affaires Étrangères suit le même chemin, avec en prime sa démission de l'Assemblée Nationale. Voilà un retrait de la vie politique qui ne dit pas son nom...
Nous ignorons pour l'instant qui succédera à ces deux ministres... Le Premier Ministre a tout de même tenté de mettre fin aux spéculations en annonçant qu'il discutait actuellement avec le NPS.
Ce qui semble étonnant serait de voir un ministre NPS de plus, pas sur que le RSLP acceptera de voir un parti de la coalition renforcé alors que lui se contente des miettes...
Ce qui peut nous frapper aussi est ce besoin de longues discussions. On peut penser que ces dernières doivent être dures pour convaincre le partenaire de gauche, au vue de la durée de vacances de ces deux ministères fondamentaux......Affaire à suivre !
Préparations
Au vu de cette situation, l'ADL de monsieur Borgia est sorti de son silence, annonçant que son parti se plaçait jusqu'à nouvel ordre dans l’opposition.
Le leader de l'UDR lui n'y va pas par quatre chemins, il appelle le Premier Ministre à quitter le pouvoir.
Ce qui est clair est que ce gouvernement est déjà mort : défections en série, cacophonie, manque de poigne.....Que cela soit l'ADL, l'UDR ou même le NPS, cela paraît clair : tout le monde regarde vers les prochaines élections et se tient prêt en cas de dissolution, qui signerait la mort d'un centre aux manettes du pays......Affaire à suivre
Référendum....
Hé oui, ce week-end se tenait dans notre pays un référendum fondamental. Tellement fondamental que nous fûmes le seul média à en parler...Tellement fondamental qu'aucun parti n'a donné de consignes de vote....Tellement fondamental qu'aucun responsable politique, hormis notre président n'a daigné l'évoquer....Et enfin, tellement fondamental que son résultat n'a été commenté par personne, hormis le président !
Il faut dire que personne n'a de quoi être fier...Si le résultat est sans appel : 82,54% de oui, le nombre de votants est lui bien inquiétant, puisque nous sommes à 57,27% de votants. Au nombre d'inscrits, le oui remporte 47,27%, très loin des 82,54% exprimés.
Si la victoire du oui est incontestable, le peu de participation atteste de la vitalité chancelante de notre démocratie et devrait inquiéter sérieusement nos responsables politiques, qui ont clairement été défaillants sur ce sujet important....
Disparition....
Samedi soir, un homme qui aura marqué la politique de notre pays s'est éteint. Hugo Salinovitch est donc décédé chez lui d'un arrêt cardiaque. Son employé l’ayant découvert inanimé, il a tout de suite tenté un massage cardiaque tout en appelant les secours. Ces derniers rapidement arrivés sur les lieux n'ont rien pu faire, ne pouvant que constater le décès d'Hugo Salinovitch.
Revenant sur son parcours : Hugo Salinovitch fut l'enfant turbulent de la gauche froceuse. Clairement socialiste, il était à l'origine du changement de nom de l'UDR en RDS, désireux voir le sigle socialiste présent dans le débat. Rapidement ministre sous McGregor, leurs querelles qui auront marqué la gauche froceuse conduiront McGregor à démissionner de son poste de Premier Ministre. C'est le premier gouvernement Salinovitch, gouvernement éphémère, Salinovitch désireux de ne pas provoquer de nouvelles élections démissionnant rapidement. C'est la traversée du désert qui durera plusieurs années, où Hugo Salinovitch fut un turbulent député, très souvent rappelé à l'ordre, mais aussi un maire actif à Orgues-les-Bains son fief. Il fonda alors avec Stefano Peruzzi le RSE, fusion du RDS et du REC.
Il redevient des années plus tard Premier Ministre sous la présidence de Laurent de Montredon. Marquant son passage par l’adoption de mesures très à gauche, il ne réussit pas à être réélu et doit laisser la place à Maxime Dellas. Il refusera suite à cet échec tout nouveau poste gouvernemental.
Les années se succèdent et Hugo Salinovitch devient l'inamovible député de gauche, véritable vigie, refusant de céder sur ses valeurs. Mais aussi l'inamovible maire d'Orgues-les-Bains.
Lors des dernières présidentielles, c'est le baroud d'honneur. Hugo Salinovitch se présente, et suite à une campagne discrète, de terrain, il réunit 18% des voix. Il n'est pas qualifié pour le second tour. Il refuse de donner la moindre consigne de vote, et décide de se retirer définitivement de la vie politique. Il démissionna de son poste de député, puis de celui de maire. Il ne participa pas à la fusion du NPS et du RSE, qu'il approuvait cependant.
Malgré son retrait,il accepte néanmoins d’être membre de la commission parlementaire mais aussi de répondre aux questions de notre collègue PAB mais aussi à une interview que j'ai enregistré avec lui quelques heures avant sa mort subite et qui sera diffusée dans la semaine.
Les réactions à sa mort n'ont pas tardé. Ainsi, son meilleur ennemi si j'ose dire, Benjamin McGregor a salué un homme plus fougueux, plus austère mais plus à gauche. Ecoutons monsieur McGregor :
On peut penser que monsieur McGregor a sûrement été touché par cette disparition. Les deux hommes ayant croisé le fer, cet hommage spontané et sincère atteste de l'attachement que pouvaient avoir ces deux leaders.
Un autre hommage est venu du président de la République, qui en direct à la télévision hier soir, s'est livré à un long hommage à son ancien challenger :
On pouvait clairement voir la tristesse sur le visage du Président de St Imberb.
Un dernier hommage, assez inattendu est venu de l'ADL. Ce parti rend hommage, non pas à l'homme politique, mais au combattant contre la dictature qu'il fut dasn sa jeunesse.
En effet, Hugo Salinovitch avait connu la prison sous Lacroix, mais aussi la torture qui l'avait d'ailleurs physiquement marqué. Mais c'est d'une mort brutale qu'il est parti, à l'instar de son caractère diront certains, à l'instar de son mérite diront d'autres.
C'est tout pour aujourd'hui, je vous donne rendez-vous rapidement pour notre interview d'avec mosnieur Montgomery.
C'est ce que l'on pourrait penser de notre gouvernement. Après le départ du ministre de l'Intérieur, voilà que le ministre des Affaires Étrangères suit le même chemin, avec en prime sa démission de l'Assemblée Nationale. Voilà un retrait de la vie politique qui ne dit pas son nom...
Nous ignorons pour l'instant qui succédera à ces deux ministres... Le Premier Ministre a tout de même tenté de mettre fin aux spéculations en annonçant qu'il discutait actuellement avec le NPS.
Ce qui semble étonnant serait de voir un ministre NPS de plus, pas sur que le RSLP acceptera de voir un parti de la coalition renforcé alors que lui se contente des miettes...
Ce qui peut nous frapper aussi est ce besoin de longues discussions. On peut penser que ces dernières doivent être dures pour convaincre le partenaire de gauche, au vue de la durée de vacances de ces deux ministères fondamentaux......Affaire à suivre !
Préparations
Au vu de cette situation, l'ADL de monsieur Borgia est sorti de son silence, annonçant que son parti se plaçait jusqu'à nouvel ordre dans l’opposition.
Le leader de l'UDR lui n'y va pas par quatre chemins, il appelle le Premier Ministre à quitter le pouvoir.
Ce qui est clair est que ce gouvernement est déjà mort : défections en série, cacophonie, manque de poigne.....Que cela soit l'ADL, l'UDR ou même le NPS, cela paraît clair : tout le monde regarde vers les prochaines élections et se tient prêt en cas de dissolution, qui signerait la mort d'un centre aux manettes du pays......Affaire à suivre
Référendum....
Hé oui, ce week-end se tenait dans notre pays un référendum fondamental. Tellement fondamental que nous fûmes le seul média à en parler...Tellement fondamental qu'aucun parti n'a donné de consignes de vote....Tellement fondamental qu'aucun responsable politique, hormis notre président n'a daigné l'évoquer....Et enfin, tellement fondamental que son résultat n'a été commenté par personne, hormis le président !
Il faut dire que personne n'a de quoi être fier...Si le résultat est sans appel : 82,54% de oui, le nombre de votants est lui bien inquiétant, puisque nous sommes à 57,27% de votants. Au nombre d'inscrits, le oui remporte 47,27%, très loin des 82,54% exprimés.
Si la victoire du oui est incontestable, le peu de participation atteste de la vitalité chancelante de notre démocratie et devrait inquiéter sérieusement nos responsables politiques, qui ont clairement été défaillants sur ce sujet important....
Disparition....
Samedi soir, un homme qui aura marqué la politique de notre pays s'est éteint. Hugo Salinovitch est donc décédé chez lui d'un arrêt cardiaque. Son employé l’ayant découvert inanimé, il a tout de suite tenté un massage cardiaque tout en appelant les secours. Ces derniers rapidement arrivés sur les lieux n'ont rien pu faire, ne pouvant que constater le décès d'Hugo Salinovitch.
Revenant sur son parcours : Hugo Salinovitch fut l'enfant turbulent de la gauche froceuse. Clairement socialiste, il était à l'origine du changement de nom de l'UDR en RDS, désireux voir le sigle socialiste présent dans le débat. Rapidement ministre sous McGregor, leurs querelles qui auront marqué la gauche froceuse conduiront McGregor à démissionner de son poste de Premier Ministre. C'est le premier gouvernement Salinovitch, gouvernement éphémère, Salinovitch désireux de ne pas provoquer de nouvelles élections démissionnant rapidement. C'est la traversée du désert qui durera plusieurs années, où Hugo Salinovitch fut un turbulent député, très souvent rappelé à l'ordre, mais aussi un maire actif à Orgues-les-Bains son fief. Il fonda alors avec Stefano Peruzzi le RSE, fusion du RDS et du REC.
Il redevient des années plus tard Premier Ministre sous la présidence de Laurent de Montredon. Marquant son passage par l’adoption de mesures très à gauche, il ne réussit pas à être réélu et doit laisser la place à Maxime Dellas. Il refusera suite à cet échec tout nouveau poste gouvernemental.
Les années se succèdent et Hugo Salinovitch devient l'inamovible député de gauche, véritable vigie, refusant de céder sur ses valeurs. Mais aussi l'inamovible maire d'Orgues-les-Bains.
Lors des dernières présidentielles, c'est le baroud d'honneur. Hugo Salinovitch se présente, et suite à une campagne discrète, de terrain, il réunit 18% des voix. Il n'est pas qualifié pour le second tour. Il refuse de donner la moindre consigne de vote, et décide de se retirer définitivement de la vie politique. Il démissionna de son poste de député, puis de celui de maire. Il ne participa pas à la fusion du NPS et du RSE, qu'il approuvait cependant.
Malgré son retrait,il accepte néanmoins d’être membre de la commission parlementaire mais aussi de répondre aux questions de notre collègue PAB mais aussi à une interview que j'ai enregistré avec lui quelques heures avant sa mort subite et qui sera diffusée dans la semaine.
Les réactions à sa mort n'ont pas tardé. Ainsi, son meilleur ennemi si j'ose dire, Benjamin McGregor a salué un homme plus fougueux, plus austère mais plus à gauche. Ecoutons monsieur McGregor :
nos caractères étaient voués à s'opposer sans cesse. Tu étais plus fougueux, plus austère mais plus à gauche. Tu étais malgré tout un homme qui a marqué la gauche frôçeuse
On peut penser que monsieur McGregor a sûrement été touché par cette disparition. Les deux hommes ayant croisé le fer, cet hommage spontané et sincère atteste de l'attachement que pouvaient avoir ces deux leaders.
Un autre hommage est venu du président de la République, qui en direct à la télévision hier soir, s'est livré à un long hommage à son ancien challenger :
Hugo Salinovitch était un homme droit, honnête, intègre, qui s'est battu en chaque instant pour défendre les valeurs de la République. Nous avons certes été adversaires, mais nos valeurs communes et l'admiration que je porte aujourd'hui pour cet homme me poussent à le voir davantage comme un camarade, un grand camarade républicain que comme un adversaire (…) Il a laissé dans l'histoire de Frôce l'image d'un homme de gauche profondément attaché à des valeurs que personne ne saurait renier (...) Cet homme qui semblait inébranlable s'est éteint, laissant vide la place du juge qui officie dans la réflexion pour le bien commun, et non dans l'intérêt personnel. Hugo Salinovitch manquera à la République
On pouvait clairement voir la tristesse sur le visage du Président de St Imberb.
Un dernier hommage, assez inattendu est venu de l'ADL. Ce parti rend hommage, non pas à l'homme politique, mais au combattant contre la dictature qu'il fut dasn sa jeunesse.
En effet, Hugo Salinovitch avait connu la prison sous Lacroix, mais aussi la torture qui l'avait d'ailleurs physiquement marqué. Mais c'est d'une mort brutale qu'il est parti, à l'instar de son caractère diront certains, à l'instar de son mérite diront d'autres.
C'est tout pour aujourd'hui, je vous donne rendez-vous rapidement pour notre interview d'avec mosnieur Montgomery.